Le thème de la semaine
Cette semaine, j’ai eu un petit moment d’hésitation, au moment de choisir un thème. La maladie a déjà été abordée, le monde de l’édition et du livre aussi.
Aussi, il ne me reste qu’à vous parler du milieu médical.
Cette semaine, j’ai eu un petit moment d’hésitation, au moment de choisir un thème. La maladie a déjà été abordée, le monde de l’édition et du livre aussi.
Aussi, il ne me reste qu’à vous parler du milieu médical.
Née en 1884, Nelly Martyl rêve de devenir chanteuse à l’Opéra de Paris. Malgré toutes les difficultés qu’elle doit affronter, elle atteint son objectif et devient rapidement une vedette, l’emblème de sa génération. Après son mariage avec le peintre Georges Scott, Nelly est une femme heureuse et épanouie. Mais tout bascule en 1914, lorsque la guerre éclate entre la France et l’Allemagne. Nelly souhaite aider son pays et ses compatriotes. Elle abandonne sa carrière de chanteuse et s’engage dans l’armée comme infirmière. Admirée pour son courage et sa volonté de fer, Nelly Martyl fait partie de ces femmes qui se sont battues pour la liberté.
Juillet 1915. Le navire-hôpital Maheno quitte Wellington pour emmener vers les champs de bataille 70 infirmières néo-zélandaises. Parmi elles, Adelina Harrigton et Meg Dutton se retrouvent dans la même cabine. Addie, issue d’une famille unie et aimante, est réservée, tout le contraire de Meg, jeune femme coquette qui ne résiste pas au plaisir de s’amuser et va l’entraîner dans son tourbillon. Alors qu’elles servent auprès des soldats blessés, en Egypte, puis en France, va se nouer entre les deux jeunes femmes une amitié qui résistera à toutes les épreuves.
Quand Meg rencontre le chirurgien englais Wallace Madison, elle tombe immédiatement amoureuse de lui et s’engage dans une relation passionnelles. Addie pressent pourtant que cet homme secret cache de nombreuses blessures. Leur amour survivra-t-il à la guerre, au milieu du chaos, des épidémies et des drames ?
Infirmière en chef, Dawn sacrifie toute son énergie à ses patients, jusqu’à sa vie personnelle. Le manque de moyens et d’effectifs, la solitude, les tragédies – rien n’entame sa bonne volonté. Jusqu’au jour ou, cédant aux suppliques d’une vieille dame, la jeune femme commet l’irréparable…
Ce geste de pitié n’a pas échappé à tout le monde : un mystérieux maître chanteur entre dans la danse. Entre culpabilité, remords et paranoïa, la vie de Dawn dérape…
Dans ce deuxième volet de la trilogie Les Filles de Caleb, c’est la fille d’Émilie, Blanche Pronovost, qui nous entraîne sur les chemins aventureux de sa vie. Blanche rêve de médecine et si elle vient à Montréal au début des années trente afin d’y suivre un cours d’infirmière, c’est toutefois en Abitibi qu’elle ira pratiquer le métier qui la passionne. À La Sarre, dans son dispensaire « confortable et sans richesse », elle sera appelée à relever les défis les plus inattendus, parmi une population durement éprouvée. Dans la froideur de l’hiver abitibien, Blanche croisera un sourire irrésistible qui lui donnera à penser que « son hiver venait de fondre ». C’est celui d’un Franco-Manitobain au sens de l’humour irrésistible, Clovis Lauzé…
Tout dans ce livre est vrai, mais sera difficile à croire…
Vous découvrirez :
– les différents incidents qui émaillent une journée, ou une nuit, aux urgences d’un quelconque hôpital.
– les difficultés que rencontrent les soignants.
– les patients les plus loufoques et les plus attachants.
– les situations improbables qui forment le quotidien d’un service hospitalier.
– les manquements des grands hôpitaux de France et d’Europe.
Elles s’appellent Caroline, Pamela, Marie… Ils s’appellent Jean, Mamadou, Charlie… Ils sont infirmiers, médecins, brancardiers ou aides-soignants et travaillent aux urgences de l’hôpital dans lequel vous pourriez entrer.
Ils travaillent aussi dans les services où les urgences pourraient vous envoyer, une fois le diagnostic établi.
La question reste toujours : vous soigneront-ils ? Ou vous enverront-ils à la morgue ?
Actrice de terrain, Louise est infirmière depuis une quinzaine d’années. Pétillante et spontanée, elle nous délivre un témoignage à son image
» J’avais dix-huit ans, j’étais élève infirmière et le blanc m’allait bien. L’hôpital m’a tout de suite plu. Lui et moi, nous nous sommes trouvés très vite et nous n’avons pas fini de nous aimer. On entend beaucoup le point de vue des hommes politiques et des médecins sur l’hôpital. Mais que serait cette gigantesque machine sans les infirmières ? Pour comprendre l’hôpital, il faut l’avoir vu d’en bas. C’est parce que je n’ai jamais hésité à dire ce que j’en pensais et parce que j’en connais tous les services, tous les rouages, toutes les coulisses que j’ai la passion de l’hôpital. Je l’aime tout entier.
1936. Tandis que l’Europe assiste impuissante à la montée inéluctable du nazisme, Flavie Prévot, vingt-deux-ans, intègre l’école d’infirmières de l’hôpital Notre-Dame de Montréal, un des plus importants établissements de santé du Canada. Mais ce rêve d’enfant sera bien vite tempéré par les religieuses, peu enthousiastes de voir leur influence diminuer au profit de l’émancipation des jeunes femmes, et par les médecins, plus désireux de multiplier les conquêtes que de tomber amoureux.
Qu’importe. Flavie, idéaliste, n’a qu’un objectif : alléger la souffrance des patients. Elle se lie d’amitié avec Simone, une jeune orpheline réservée et sérieuse qui entend échapper au mariage et à la maternité. Tout le contraire d’Evelina, qui veut devenir infirmière pour épouser un médecin. Malgré leurs différences, les trois jeunes femmes vont nouer une indéfectible amitié.