C’est lundi, que lisez-vous?

Rendez-vous initié par Mallou qui s’est inspirée de It’s Monday, What are you reading ? de One Person’s Journey Through a World of Books. Le récapitulatif des liens se fait maintenant sur le blog de Pixie

Ce que j’ai lu la semaine dernière

Ce que je lis en ce moment

Cette semaine, je lirai les chapitres 31 et 32.

Après avoir supporté les premiers soubresauts de la vie conjugale, Jeanne et Maurice entrent dans une routine amère. Ils quittent la rue de la glacière pour la grande rue Notre-Dame, en plein coeur du quartier ouvrier. Maurice s’emporte encore pour un oui ou pour un non, Jeanne se referme de plus en plus en elle-même, et les enfants… les enfants comprennent bien vite que le temps de l’enfance passe en un éclair. Michel David, sans jamais tomber dans la nostalgie ou la critique, nous fait plonger dans un Québec encore attaché aux traditions rurales. La vie à Montréal dans les années ’50 est marquée par l’urbanisation, les aléas économiques des ouvriers, la perte de la foi religieuse, les émissions de radio comme « Un homme et son péché » et « Chez Miville »… L’auteur témoigne avec justesse de cette époque grise traversée par les éclats colorés de la modernité, la routine écrasante des travailleurs et l’arrivée de la captivante télévision dans les vitrines des magasins de la rue Mont-Royal… Sur la Rue Notre-Dame, le temps s’écoule au gré des rentrées scolaires, des célébrations de Noël, des naissances et des vacances, des disputes, des épreuves et des moments de bonheur. L’argent, au centre de tous les litiges, se fait de plus en plus rare à mesure que s’agrandit la famille Dionne, et Maurice a du mal à supporter la pression. Si Jeanne, périodiquement enceinte, va trouver conseil, aide et réconfort au presbytère, elle échoue à transmettre sa foi à ses enfants. Paul, l’aîné de la famille, ne voit d’ailleurs en Dieu qu’une solution pour sortir enfin de cet éternel combat contre la misère…

Ce que je vais lire ensuite

Trois années se sont écoulées depuis la bataille de Kenorrin. Pour autant, le royaume de Tanera n’est pas en paix. Morleod, le puissant Mage à l’origine de cette guerre, a reconstitué une armée dans le but de faire tomber les terres du royaume voisin.

Lera, maintenant Mage confirmée, se lance à la recherche des manuscrits d’Ewenlod. Mais la jeune fille ne sait plus sur qui compter depuis qu’Alistair, son instructeur, a disparu. Aidée de ses dons de perception, elle part en quête de réponses. Commence alors une véritable chasse au trésor…

Elle devra faire appel à tout son courage et son abnégation pour faire face aux mystères qui l’entourent et aux forces obscures qui ne cessent de croître.

Les plus belles histoires d’amour ne meurent jamais.

Elles continuent de vivre dans nos souvenirs et les coïncidences cruelles que notre esprit invente.

Mais quand, pour Nathy, ces coïncidences deviennent trop nombreuses, doit-elle croire qu’il n’y a pas de hasard, seulement des rendez-vous ?

Qui s’évertue à lui faire revivre cette parenthèse passionnelle qui a failli balayer sa vie ?

Quand passé et présent se répètent au point de défier toute explication rationnelle, Nathy doit-elle admettre qu’on peut remonter le temps ?

En quatre escales, Montréal, San Diego, Barcelone et Jakarta, dans un jeu de miroirs entre 1999 et 2019, J’ai dû rêver trop fort déploie une partition virtuose, mêlant passion et suspense, au plus près des cœurs qui battent trop fort.

Et vous, que lisez-vous?