In my mailbox

Coucou!!

Ma boîte de réception a littéralement explosé cette semaine!!!

De quoi faire mon bonheur…

Baker Street

Lorsqu’il accepte un poste d’assistant du Dr Leatherby, le jeune médecin Alexander Dennison trouve l’ambiance étrange. Logé dans la grande maison du Dr Leatherby, il n’arrive pas à mettre le doigt sur les sources de son malaise ; ses suspicions se multiplient. Des allées et venues secrètes, des personnes au comportement et aux paroles contradictoires, un patient qui meurt mystérieusement peu après une consultation, des pratiques pour le moins douteuses… Plus il cherche à comprendre et plus il se trouve confronté à l’hostilité des uns et des autres. Personne ne veut le laisser en apprendre plus… Mais Dennison va s’accrocher à la recherche de la vérité, et se trouvera dans une spirale de plus en plus vertigineuse… Paru en 1929 et inédit en France, Miasmes est le neuvième roman d’Elisabeth Sanxay Holding, mais sa première incursion dans le domaine du polar. Elle nous emporte dans une ambiance délétère et suprêmement ambiguë. Les rebondissements se succèdent et laissent le lecteur, comme le héros, dans le doute perpétuel. Holding fait preuve d’une ingéniosité diabolique dans la construction d’une intrigue dont il est impossible de décrocher.

City éditions

Paris, mars 1942. Dans la capitale occupée, Eulalie Fontanel tente de survivre. En acceptant de devenir danseuse aux Folies Bergères pour nourrir sa fille Beata, elle a l’impression de trahir son mari qui a été envoyé au front. La jeune femme se sent prisonnière de ce Paris occupé où elle côtoie les lieux les plus huppés et les bureaux clandestins qui organisent le marché noir.

Le pire, c’est d’avoir attiré l’attention de Lubin Von Baden, un mystérieux officier de l’armée allemande qui la poursuit de ses assiduités. Alors, pour son bien et celui de sa fille, elle décide de fuir et se réfugie chez des cousins en Charente. Mais cela ne suffit pas à éloigner l’officier allemand qui s’est transformé en dangereux prédateur.

Des décennies plus tard, Beata tente de découvrir les secrets de cette époque troublée ou sa mère tentait d’échapper aux orages de la guerre…

Nathan jeunesse

Quand j’étais petite, j’imaginais ma vie à vingt ans. J’irais à la fac à New York, je partagerais une petite chambre avec une coloc râleuse, et mon copain m’appellerait “chérie”.

Je viens d’avoir vingt ans. Je vais à la fac à Tokyo, je partage une grande maison avec six colocs géniaux, et ma copine m’appelle “ma petite otarie”.

Alors oui, je suis peut-être pas très forte en imagination de vie. Mais tu sais quoi ? C’est pas grave. La vie, c’est comme une blague. C’est plus rigolo quand t’as pas deviné la fin.

°°°

Des petits doigts qui s’entrelacent. Un presque Peter Pan. Un épi de maïs au bout d’une laisse. Une baleine à qui on parle. Une honte rétroactive. Un ananas porte-bonheur. Une addiction au Dr Pepper. Une prison bananière. Des métaphores camélidées. Une fille-garou. Une pesée de gel douche. Un pont embrasé. Une carapace bleue. Un biscuit sacralisé. Une polychronie dangereuse. Un antidote délicieux. Des moitiés séparées. Un fantôme qui rassure. Un synoptophore. Une plage secrète

Presses de la Cité

La vie de Gabrielle Renard est un roman. Un roman vrai et en couleurs qui commence en 1894, quand, toute jeune, elle quitte sa Champagne natale pour devenir bonne à Paris chez les Renoir. Sa beauté simple mais rayonnante lui vaut de poser bientôt pour le célèbre peintre. Également nourrice du petit Jean, le futur cinéaste, elle contribue grandement à son éducation. De cette complicité, de cette tendresse, Renoir saisit sur la toile les instants pleins de grâce. Gabrielle suit la famille au gré de ses pérégrinations et de ses secrets, et côtoie de grands artistes : Manet, Degas… Toujours disponible quand le maître la réclame comme modèle, toujours admirative, de plus en plus experte en art…

Ainsi va la vie hors du commun de Gabrielle dans l’intimité de deux artistes majeurs du XXᵉ siècle.

2000, Gemma est une jeune New-Yorkaise vive, séduisante, pragmatique, travaillant avec passion dans l’entreprise familiale de produits alimentaires. A la mort de sa mère, elle découvre que sa « vraie » grand-mère était française ; elle décide alors de partir, seule, sur ses traces. Ce voyage à la recherche de ses origines la conduit en Normandie. En sillonnant la région, Pont-l’Evêque, Le Havre, Barfleur, Colleville, l’Américaine recueille les témoignages de ceux qui ont connu Philippine. Tout commence en 1944, quand, en faisant du marché noir à Deauville, la jeune Normande rencontre Ethan, un GI, cajun de Louisiane.

Deux destins de femmes, deux continents, deux époques… L’une est en quête, la seconde se raconte. Gemma trouvera un nouveau sens à sa vie et comprendra comment Philippine a payé le prix de sa liberté. Avec en filigrane cette question douloureuse : pourquoi a-t-elle abandonné sa fille aux Etats-Unis ?

Je complète ma série


Trois enfants au milieu de nulle part, perdus au loin, dans les couloirs inconnus, cherchent le chemin de Kilmore Cove.

Nos héros découvrent un étrange endroit : le pays des glaces ! De retour à Kilmore Cove, Jason, Julia, Rick et Anita font une inquiétante découverte : un traître se cache parmi les habitants du village. Il œuvre dans l’ombre depuis des années et se prépare à assouvir sa vengeance avec l’aide des Incendiaires. C’est le docteur Bowen, le pharmacien, qui voudrait détruire les portes du temps. En suivant toute une série d’indices, les quatre amis découvrent l’existence d’un lieu mystérieux : Agarthi, la cité légendaire perdue au milieu des glaces.

Personne, pas même Ulysse Moore, n’avait jamais réussi à l’atteindre. Jason, sans prévenir les autres, décide de s’y rendre et franchit la Porte du Parc aux Tortues. Il parvient à Agarthi grâce à un coquillage des neiges que Julia et Rick ont trouvé chez le docteur Bowen, et qu’il a emporté à leur insu, ainsi qu’un carnet de Morice Moreau. Pendant ce temps, à la Villa Argo, Rick et Julia vont essayer de neutraliser le docteur Bowen, et de se débarrasser définitivement des Incendiaires, en les enfermant dans les grottes, sous la Villa, là où est amarré le voilier « le Métis »…

Et vous, qu’avez-vous découvert?