In my mailbox
Hello,
J’espère que vous avez trouvé de jolies choses cette semaine!!
La semaine a été calme, mais bien intéressante au niveau des réceptions!
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J’espère que vous avez trouvé de jolies choses cette semaine!!
La semaine a été calme, mais bien intéressante au niveau des réceptions!
Une histoire de femmes: une mère et ses deux filles. Le père, libraire passionné, est décédé mais il a eu le temps de transmettre sa passion des livres à la cadette. Les rapports des deux sœurs ont tendus et la vie ne les épargnera pas. L’une a deux jeunes enfants, Corentin et Manon, de deux pères différents. Egarée, elle cumule une situation professionnelle précaire, un célibat non désiré et des problèmes financiers. L’autre a planifié chaque aspect de sa vie avec méthode et rigueur : mariée à Germain, elle tente cependant de tomber enceinte depuis des années.
La résilience, le désir d’enfant et les ravages des secrets de famille sont au cœur de Là où l’on s’aime, il ne fait jamais nuit. Ensemble, en restant à l’écoute de l’autre, Félicité et Mathilde arriveront à surmonter leurs épreuves et retrouver le chemin de la vie, ou plutôt du bonheur qui conduit la vie. Un message d’optimisme porté par une plume sensible et brillante.
« Jusqu’en 1991, j’étais une enfant comme les autres. Je faisais des choses normales. J’avais des amis et une mère aimante mais, un jour, on m’a volé ma vie…
Je suis restée prisonnière pendant dix-huit ans. J’ai été un objet dont quelqu’un a usé et abusé. Pendant dix-huit ans, on m’a interdit de prononcer mon nom.
Je suis devenue mère, et on m’a forcée à devenir la sœur de mes enfants. Pendant dix-huit ans, j’ai supporté l’insoutenable.
Le 26 août 2009, j’ai retrouvé mon nom. Je m’appelle Jaycee Dugard. J’ai survécu. Ceci est mon histoire, écrite avec mes mots, à ma manière, de la façon dont je me la rappelle. »
« Jusqu’en 1991, j’étais une enfant comme les autres. Je faisais des choses normales. J’avais des amis et une mère aimante mais, un jour, on m’a volé ma vie…
Je suis restée prisonnière pendant dix-huit ans. J’ai été un objet dont quelqu’un a usé et abusé. Pendant dix-huit ans, on m’a interdit de prononcer mon nom.
Je suis devenue mère, et on m’a forcée à devenir la sœur de mes enfants. Pendant dix-huit ans, j’ai supporté l’insoutenable.
Le 26 août 2009, j’ai retrouvé mon nom. Je m’appelle Jaycee Dugard. J’ai survécu. Ceci est mon histoire, écrite avec mes mots, à ma manière, de la façon dont je me la rappelle. »