Coucou tout le monde!!

J’ouvre mon carnet pour faire la rétrospective de mes activités de la semaine !

Qu'ai-je fait la semaine dernière?

Cette semaine aura été sous le signe du cinéma.
Je me suis d’abord intéressée à un film que je n’avais vu qu’une seule fois, mais déconcentrée, n’en avais pas compris grand-chose.
Ce second visionnage,heureusement, plus tranquille, m’a permis de l’apprécier.
Je suis ensuite tombée sur un film qui m’intéressait beaucoup lors de sa sortie au cinéma. Très touchant, et fort intéressant!
Histoire de changer de style, j’ai regardé les 6 premiers petits épisodes de cette série. J’adore leur humour sarcastique, mais je suis surtout tombée raide dingue de leur maison sur la plage!
Sur ma lancée des découvertes, je me suis résolue à regarder Ce film-ci. Jamais regardé, et pour dire jamais lu (j’ai avalé les 200 premières pages du premier tome, pour faire honneur à la personne qui me l’avait offert…), et maintenant que ce si énorme engouement est retombé, je voulais en voir la raison. Moui.. Bon.. A part une playlist d’enfer, je n’ai pas trouvé grand chose d’autre d’intéressant.
Pour poursuivre mon expérience, j’ai enchaîné avec le second volet. Une playlist toujours aussi belle, et un peu plus de matière à se mettre sous la dent, mais je ne trouve toujours rien qui me dise que je les regarderai à nouveau.
J’ai terminé mon abécédaire!! Youhouu, je suis très contente du résultat.
Et puis, comme prévu, j’ai repris le troisième abécédaire pour ma seconde nièce. Elle aussi aime la fée Clochette

Que vais-je faire cette semaine?

Il faut absolument que je me dégote une nouvelle série télé à me mettre sous la dent. Je suis sur plusieurs pistes, à voir sur laquelle je m’arrêterai.
Chandeleur oblige (et gourmandise qui dit oui oui oui!), ce week-end, je fais des crèpes!
Je compte bien travailler sur mon abécédaire durant le week-end.
Lundi, c’est enfin le grand jour! Mes questions pour mon prochain interview est prêt, et je vais ouvrir grand mes mirettes. Je vous en dis plus bientôt

La découverte de la semaine

Voilà un acteur que j’aime énormément, et ce film à l’air pas mal du tout!

Le thème de la semaine

Cette semaine, le thème choisi se rapporte à l’un des événements de ma semaine prochaine hihi
 Angel Robinson a l’impression de vivre un rêve. Elle qui ne jure que par les livres vient de décrocher un poste d’assistante dans la plus célèbre agence littéraire des Etats-Unis. Mais elle découvre rapidement qu’il faut composer avec une patronne hystérique, des collègues lunatiques et des auteurs capricieux. elle réussit pourtant, grâce à son sens littéraire hors pair, à se rendre indispensable et repère plusieurs projets intéressants. Un en particulier : le roman d’un auteur anonyme, livré chapitre par chapitre. Angel tombe sous le charme au gré des envois du mystérieux écrivain. Jusqu’au jour où elle comprend que les texte s’inspire de sa propre vie…
« Bonjour Eden. Tu me manques. On peut se parler ? Appelle-moi. »
Il est tard lorsque Eden, jeune éditrice new-yorkaise, reçoit ce message de sa mère, Tara. Leurs relations sont distantes depuis que celle-ci a refait sa vie avec un homme de treize ans son cadet dont elle a eu un petit garçon, Jeremy. Pour Flynn Darby, séduisant diplômé de Harvard, Tara a tout quitté : sa fille, son mari, leur maison. Quitte à payer le prix fort : affronter la rancune d’Eden et devoir élever un enfant atteint d’une maladie génétique très grave.
En décidant de ne pas répondre, Eden n’imagine pas un instant qu’elle n’entendra plus jamais la voix de sa mère : le lendemain, Tara se suicide après avoir tué Jeremy… Rongée par la culpabilité, Eden n’a d’autre choix que de se mettre en danger pour connaître la vérité. Peu à peu, elle découvre un aspect de sa mère qu’elle ignorait mais aussi la personnalité étrange de Flynn…
Virtuose du suspense psychologique, Patricia MacDonald explore les secrets et les fêlures du passé au fil d’une intrigue redoutable.
« Ainsi va tout poisson… »
Candy et Karl ne sont pas des tueurs à gages ordinaires : ils ont des scrupules et ne tuent que les personnes qui, selon eux, le méritent. Leur nouvelle mission : éliminer un agent littéraire véreux, L. Basse Hess, qui cherche à extorquer des commissions exorbitantes à ses clients pour des titres qu’il n’a même pas vendus ! Mais Hess va leur donner du fil à retordre…
Cyril Gramenk est un obscur romancier qui rêve de gloire. Pour se débarrasser d’un contrat qu’il ne veut pas honorer, il donne à son éditeur le manuscrit épouvantable qu’un admirateur lui a envoyé. À son plus grand étonnement, le livre est un succès. C’est là que les ennuis commencent; le retour d’une ancienne maîtresse et la découverte de l’existence d’un fils caché n’arrangent rien… Sa vie n’est plus alors qu’une succession de situations délirantes, hilarantes ou pour le moins surprenantes, pour le plus grand plaisir du lecteur qui jubile à chaque rebondissement, jusqu’au bouquet final.
Maudit Best-Seller est le récit d’une savoureuse dégringolade. On se prend d’emblée d’empathie pour cet anti-héros aussi touchant qu’agaçant, et à chaque malheur qui lui tombe dessus, on en redemande.
 
 Alice passe un été pourri, car sa carrière d’éditrice est au point mort, et elle vient de se faire larguer. Mais la roue tourne. Elle doit remplacer sa chef pour une super mission à l’étranger : s’isoler dans une villa en Sicile avec un acteur qu’elle admire, afin de le pousser à finir son autobiographie. Or, Alice doit confronter Sam, l’agent de la star, qui ne souhaite pas que ce projet voit le jour. La jeune femme va lutter pour tenter de remplir le contrat, mais elle va vite s’adonner à d’autres activités beaucoup moins professionnelles…
Tout semble sourire à Kyle Broder, jeune éditeur dans une grande maison d’édition new-yorkaise. Lorsque Kyle est contacté par William Lansing, son professeur à l’université, il est ravi et décide de présenter son mentor à sa charmante petite amie, Jamie. À cette occasion William propose à Kyle le manuscrit d’un texte sur lequel il travaille depuis de nombreuses années.
Au départ, Kyle est enchanté à l’idée de le publier, mais après avoir lu quelques pages, il est profondément choqué par la perversité du récit.
Lorsque Kyle en refuse la publication, William commence à ruiner la vie de l’éditeur, s’en prenant successivement à son chat, sa copine et son auteur vedette. Kyle est alors obligé de se replonger dans le roman de William, Devil’s Hopyard et il découvre alors que le livre fait étrangement écho à l’histoire de la disparition non élucidée de Mia – sa petite amie à l’université – et ressemble cruellement à la confession d’un criminel.
 À Londres, à l’aube de la Seconde Guerre mondiale, la passionnante saga d’une famille d’éditeurs. Un tourbillon d’aventures et d’émotions. Professionnellement, Celia Lytton a de quoi être fière. En vingt ans, cette femme de tête a fait d’une petite maison d’édition un véritable empire. Mais sa vie familiale est plus chaotique : Celia a du mal à garder la mainmise sur ses cinq enfants. Pourquoi Barty, qu’elle a élevée comme sa propre fille, veut-elle mettre un océan entre elles ? Pourquoi Kit, son préféré, s’est-il épris de cette Isabella ? Comment satisfaire les ambitions de Giles, le vilain petit canard de la famille ? Quant aux jumelles, frivoles et étourdies, sauront-elles faire face aux caprices du destin ? Alors que grondent les échos de la guerre, Celia va devoir user de toutes ses forces pour préserver les siens, coûte que coûte…
Andy Larkham est un type sans histoire. Employé chez un petit éditeur, il rêve d’avoir sa propre collection mais n’obtient pas la moindre promotion. Sa petite amie, une jeune mannequin blonde filiforme est agacée par ce manque apparent de volonté de sa part. Bref, sa vie est moyenne.
Lorsqu’il doit se rendre à l’enterrement d’un de ses anciens professeurs, Andy est en retard, comme à son habitude. Il court sous la pluie et se retrouve dans une chapelle quasiment vide où seules deux personnes assistent à l’enterrement d’un homme qui n’est apparemment pas son professeur.
Poli, le jeune homme n’ose pas sortir de la chapelle avant la fin et va même jusqu’à signer le registre qu’on lui tend pour ne froisser personne.
C’est ainsi qu’il se retrouve à la tête d’un héritage de 17 millions de livres sterling. L’homme qu’on enterrait dans cette chapelle avait en effet légué tous ses biens aux personnes qui assisteraient à son enterrement. Elles étaient trois, Andy, le notaire de cet homme non concerné par le testament et une femme.
 Voilà, c’est ici que je referme mon cahier. A la semaine prochaine!