Hello les amis! 

J’ouvre mon cahier pour noter tout ce que j’ai fait, vu ou lu durant la semaine écoulée

Qu'ai-je fait la semaine dernière?

Collée sous ma couverture avec une rhino-pharyngite, je vous avoue ne pas avoir eu très envie de faire grand-chose…
J’ai eu ma petite nièce de 5 ans à la maison durant quelques jours. Une grande première que j’ai adoré!
Nous avons fêté l’anniversaire de notre louveteau qui pour l’occasion s’est vu doté de nouveaux rollers, qu’il a bien entendu immédiatement testé! Ils sont à son goût!
Malgré tout, mon ordinateur à portée de main, j’ai pu un peu travailler sur mes futures chroniques, de quoi prendre un peu d’avance
Evidemment, chéri et moi avons fêté la Saint-Valentin comme il se doit. Surtout qu’il s’agit également du 4ème anniversaire  de sa demande en mariage!! Je dois dire, d’ailleurs, que cette année encore, chéri n’a pas lésiné sur les moyens pour me faire plaisir!
Cette semaine, il y a eu Les choristes qui passait à la télévision. Je me suis régalée une nouvelle fois avec ce film!

Que vais-je faire cette semaine?

Vendredi, je me rends à la Foire du Livre de Bruxelles! Une belle journée en perspective puisqu’il s’agira de rencontres d’auteurs, et donc de préparations d’interviews.
Ces derniers jours, j’ai pioché allègrement dans ma Pal. Et je vois donc la partie la plus « urgente » fondre presque comme je le voudrais. J’espère donc pouvoir arriver à continuer sur cette lancée
Je n’ai eu aucun courage la semaine dernière, mais je voudrais tout de même bien reprendre mon abécédaire
Je n’ai pas eu l’envie la semaine dernière, mais je voudrais cette semaine regarder l’épisode 2 de la série Hannibal. Le premier m’avait intrigué tout de même.

La découverte de la semaine

Comme souvent, je vous parle d’une bande-annonce découverte cette semaine, et qui annonce un film pas mal intrigant!
A vrai dire, je n’aime pas l’actrice principale (Emily Blunt) mais le thème est assez original pour passer outre.

Le thème de la semaine

Cette semaine, je vous parle de livres traitant de personnages malades (eh oui, je veux partager avec vous le plaisir de se réveiller à 4h du matin à cause de quintes de toux hihi)

L’année de ses 16 ans, Travis Coates a perdu la tête.

Littéralement.

Frappé par une leucémie incurable. Il a accepté la folle proposition des médecins : laisser mourir son corps et cryogéniser sa tête, dans l’espoir que les progrès scientifiques permettront de la greffer un jour sur le corps d’un donneur.

Personne n’y croyait vraiment, Travis le premier.

Et pourtant…

Cinq ans plus tard, il revient à la vie.

Il a toujours 16 ans, mais autour de lui tout a changé : sa maison, ses parents, son meilleur ami et surtout son amour de toujours, Cate, qui vient de fêter ses 21 ans…

Cette nouvelle vie est peut-être un cadeau… Mais d’un genre très compliqué à gérer.

Immigrée irlandaise courageuse et obstinée arrivée seule à New York à la fin du XIXe siècle, Mary Mallon travaille comme lingère avant de se découvrir un talent caché pour la cuisine. Malheureusement, dans toutes les maisons bourgeoises où elle est employée, les gens contractent la typhoïde, et certains en meurent. Mary, de son côté, ne présente aucun symptôme de la maladie. Au contraire, sa robustesse est presque indécente. Des médecins finissent par s’intéresser à son cas, mais la cuisinière déteste qu’on l’observe comme une bête curieuse et refuse de coopérer. Pourquoi la traite-t-on comme une malade alors qu’elle est en parfaite santé ? Les autorités sanitaires, qui la considèrent comme dangereuse décident de l’envoyer en quarantaine sur une île au large de Manhattan. Commence alors pour Mary Mallon, femme indépendante, un combat à armes inégales pour sa liberté…

Transportée aux urgences de l’hôpital de Strasbourg pour un malaise, Angèle Lieby commence à avoir des difficultés à s’exprimer, puis perd connaissance. On la plonge dans un coma artificiel pour l’intuber. Le quatrième jour, elle ne se réveille pas. Or Angèle est consciente et souffre sans pouvoir réagir. Pour le personnel médical, elle est très vite considérée comme morte. Le miracle : une larme. Le 25 juillet, jour de l’anniversaire de son mariage, sa fille aperçoit une larme au coin de son œil. Elle avertit le personnel médical qui rétorque que c’est impossible. Puis Angèle bouge le petit doigt. Commence alors une longue période de rééducation qui va durer presque un an. Un cas exceptionnel pour la science. La maladie d’Angèle est le syndrome de Bickerstaff. Il peut se déclencher après une infection aussi commune qu’une rhinopharyngite… Son histoire fait aujourd’hui l’objet de présentations dans divers congrès de médecine et de recherches.

Je pensais qu’en me lançant dans ce pacte je risquais seulement ma vie, mais c’est ma raison qui est train de s’envoler.

Je l’ai embrassé, mais ce n’est pas ce qui est le plus déraisonnable.

Ce qui l’est, c’est que j’ai aimé ça.

 

L’histoire commence sur une plage, quand Anne-Dauphine remarque que sa petite fille marche d’un pas un peu hésitant, son pied pointant vers l’extérieur. Après une série d’examens, les médecins découvrent que Thaïs est atteinte d’une maladie génétique orpheline. Elle vient de fêter ses deux ans et il ne lui reste que quelques mois à vivre. Alors l’auteur fait une promesse à sa fille : « tu vas avoir une belle vie. Pas une vie comme les autres petites filles, mais une vie dont tu pourras être fière. Et où tu ne manqueras jamais d’amour. »

Ce livre raconte l’histoire de cette promesse et la beauté de cet amour. Tout ce qu’un couple, une famille, des amis, une nounou sont capables de mobiliser et de donner. Il faut ajouter de la vie aux jours, lorsqu’on ne peut pas ajouter de jours à la vie.

Pour sa dernière année de lycée, Camille a enfin la chance d’avoir ses meilleurs amis dans sa classe. Avec sa complice de toujours, Léa, avec Axel, Léo, Marie et leur joyeuse bande, la jeune fille découvre ce qui fait la vie. À quelques mois du bac, tous se demandent encore quel chemin ils vont prendre. Ils ignorent qu’avant l’été, le destin va leur en faire vivre plus que dans toute une vie… Du meilleur au pire, avec l’énergie délirante et l’intensité de leur âge, entre espoirs démesurés, convictions et doutes, ils vont expérimenter, partager et se battre. Il faut souvent traverser le pire pour vivre le meilleur Avec cette nouvelle aventure, Gilles signe un roman comme il en a le secret et qui, entre éclats de rire et émotions, nous ramène là où tout commence vraiment. Cette histoire est aussi la nôtre. Bienvenue dans ce que nous partageons de plus beau et qui ne meurt jamais.

L’Ecume des jours : ce titre léger et lumineux annonce une histoire d’amour drôle ou grinçante et inoubliable, composée par un écrivain de vingt-six ans. C’est un conte de l’époque du jazz et de la science-fiction, à la fois comique et poignant, heureux et tragique, merveilleux et fantastique, féerique et déchirant. Dans cette oeuvre d’une modernité insolente, l’une des plus célèbres du Xxe siècle et livre-culte depuis plus de trente ans, Duke Ellington croise le dessin animé, Sartre devient une marionnette burlesque, le cauchemar va jusqu’au bout du désespoir. Mais seules deux choses demeurent éternelles et triomphantes : le bonheur ineffable de l’amour absolu et la musique des noirs américains…

Oscar a dix ans et il vit à l’hôpital. Même si personne n’ose le lui dire, il sait qu’il va mourir. La Dame Rose, qui lui rend visite et « qui croit au ciel », lui propose, pour qu’il se sente moins seul, d’écrire à Dieu.

 C’est ici que je referme mon cahier et que je vous dis à la semaine prochaine!