In my mailbox

Hello!! 

En Belgique, nous fêtons les mamans aujourd’hui. Alors bonne fête à toutes!

Presses de la Cité

 
En 1935, le roman de Claire qui a l’audace d’assumer, seule, sa maternité. Seule, elle doit faire des choix seule, elle doit conquérir son émancipation. Trois hommes, autour d’elle, seront tout à la fois les obstacles et les révélateurs de son courageux parcours de femme.
 
Ce désir d’enfant, Claire Goussaud le porte en elle intensément. La vie bourgeoise qu’elle mène à Paris auprès de son mari, Pierre, banquier, ne lui suffit plus. Car il y a ce fossé, irréversible, entre eux : lui refuse d’être père. A vingt-six ans, n’est-il pas temps de vivre enfin pour elle-même ? Faisant fi des préjugés de son époque, de son milieu, Claire quitte le domicile conjugal. Et se découvre enceinte de Pierre. C’est auprès d’une vieille tante, Léontine, qui a su elle aussi faire montre de courage en son temps, qu’elle se réfugie, près de Brive. Là, Claire donne libre cours à sa passion du dessin, en créant du mobilier et de la mode pour enfants. Au village, on se gausse, on ricane, on jase ; certains hommes aimeraient bien profiter de son apparente vulnérabilité… Le hasard lui fait rencontrer Antoine, ferronnier au charme troublant, avec lequel elle tisse une étrange relation. Une chance pour Claire ? L’homme la déroute : sa prévenance parfois trop possessive et ce voile opaque sur son passé…
Alors, en dépit des obstacles et des doutes, il est temps pour Claire de suivre le chemin qu’avait ouvert Léontine avant elle : celui de la liberté.

Baker Street

Dans ce récit qui oscille entre thriller, roman initiatique et satire sociale, un écrivain multi-refusé cherche à pénétrer les arcanes de la Manufacture des histoires, ce lieu mythique où il rencontrera enfin reconnaissance, gloire et fortune. Cette quête, traversée par un souffle d’humour et de parodie, sera truffée de pièges et de révélations. On y croisera des personnages aussi étonnants qu’un vendeur de machines à écrire, un marabout accoucheur d’histoires, les fantômes de la Beat Generation, des fanatiques obsédés par le Volume et même la nouvelle Shéhérazade, perdue parmi les flots de sans histoire fixe qui peuplent les rues. C’est en mettant sa plume au service de quelques hommes de pouvoir sans scrupules qu’il connaîtra le succès et ses conséquences extravagantes. Roman de notre temps, La Manufacture des histoires raconte avant tout la lutte de ceux qui veulent continuer d’écrire leur propre histoire contre ceux qui veulent dicter l’histoire des hommes à leur place.

Et vous, qu’avez-vous découvert?