Pour une fois, ce n’est pas moi qui vais vous donner un avis.
Un professeur de français d’une école secondaire de Huy (une ville belge) a eu une belle idée, pour aider et intéresser ses élèves.
En cours de remédiation, il leur a proposé de rédiger un avis concernant un livre qui allait bientôt sortir en librairie, grâce à une maison d’édition qui leur en fournirait le texte.
Ces jeunes adolescents se sont donc attachés à écrire leurs impressions.
Yann Rodin, 16 ans, est la victime d’un business très lucratif : l’échange d’identités. Moyennant quelques millions de dollars, Anton Pavlovitch, un puissant trafiquant d’armes recherché par Interpol, a acheté la tranquillité de son fils Sacha, sosie parfait de Yann. Pendant que ce dernier est enfermé sur l’Archipel pour des crimes qu’il n’a jamais commis, Sacha entre dans la peau de Yann et découvre, sur Porquerolles, les plaisirs d’une vie simple, loin de la violence et des affaires sordides de son père.
Mais bientôt la découverte de surprenantes coïncidences sème le trouble dans l’esprit du jeune Pavlovitch, jusqu’ici sans remords. Tandis que l’éruption imminente d’un volcan menace d’engloutir les prisonniers de l’Archipel, dans l’indifférence des dirigeants de ce monde…
De fil en aiguille, une idée de concours récompensant les meilleures chroniques est apparue!
En effet, ci-dessous, vous allez découvrir leurs différents écrits. Il vous revient de voter pour celui qui vous semble le plus beau, le plus touchant, le plus réussi.
Ces enfants auront la chance de se voir offrir des lots de cadeaux de l’édition Casterman.
Pour vous les présenter, voici quelques photos prises lors de la visite de Bertrand Puard, l’auteur du livre qu’ils chroniquent, dans leur école, lundi dernier.
A vous de jouer maintenant! Lisez-les, et votez pour celle que vous préférez en bas de page!
A vous de jouer maintenant! Lisez-les, et votez pour celle que vous préférez en bas de page!
Pourquoi j’ai adoré le 1er tome d’Archipel ?
1. C’est un récit d’action et cela me plait beaucoup.
2. Le livre fourmille de détails, notamment sur le physique des personnages principaux. Cela permet de bien visualiser les scènes et de se représenter l’histoire. J’ai trouvé cela très intéressant.
3. Le livre est construit pour donner envie aux lecteurs de lire la suite.
4. Ce livre s’adresse à un public d’ados et je trouve que c’est cool.
Ce que je pense de ma rencontre avec l’auteur :
1. Monsieur Bertrand Puard a été très sympathique avec nous et j’ai trouvé très gentil de sa part de me signer un autographe et poser en photo avec moi.
2. J’ai été frappé par la facilité avec laquelle Monsieur Bertrand Puard répondait très précisément à nos questions.
3. Monsieur Bertrand Puard a réalisé un très gros travail de recherche pour rédiger son histoire. Il a même pris un vélo pour faire le tour de l’île de Porquerolles et avoir plus d’informations sur celle-ci.
Ce que je voudrais dire à l’auteur :
1. Je me réjouis de lire les tomes 2 et 3.
2. Je voulais remercier Casterman et Bertrand Puard pour cette aventure.
Mon jugement de goût : J’ai adoré ce roman car j’apprécie les histoires à fins ouvertes et le suspense qui me donne envie de lire la suite.
Ça m’a aussi beaucoup plu que l’histoire change de narrateur même si c’est le journal intime de Yann qui me plaisait le plus.
Je suis surpris que les lieux soyez puisent être aussi bien détaillés, mais c’est bien. Cela m’a donné l’envie de visiter l’île de Porquerolles.
Je trouve que le personnage du méchant est très réussi et ça c’est génial.
Marc-Antoine m’a emballé : d’abord, on aurait dit un psychopathe et j’ai cru qu’il était lui aussi un méchant, mais finalement, non.
Je ne sais pas si ce roman peut être considéré comme un roman policier ou un récit d’action, je pense que c’est un mélange des deux et c’est super.
J’ai particulièrement bien aimé le moment où Yann n’a pas droit à un avocat. La scène fait réfléchir. Il y a là comme une morale implicite. La dictature n’es pas loin, il faut faire attention pour qui on vote.
Bonjour, je m’appelle William Marx. Il y a une semaine, mon professeur de français m’a proposé de lire un livre prêté par les éditions Casterman, L’Archipel. Petite particularité, ce livre n’est pas encore disponible à l’achat. Etant un grand lecteur, je me suis porté volontaire pour le projet.
Toujours à la demande de mon professeur de français, je rédige ici quelques lignes sur ce que j’ai aimé et moins aimé au cours de ma lecture.
Le rythme rapide : dès les premières lignes, on est plongé dans l’action. Ca c’est super !
La double histoire/le double narrateur : même si la compréhension est un peu plus ardue, avoir deux points de vue différents sur les événements renforce le côté réaliste de l’histoire.
L‘omniprésence du suspense : l’auteur nous tient en haleine jusqu’aux dernières lignes. J’avoue avoir eu peur de ne jamais savoir qui était « elle ».
Par contre, il y a des choses que j’avais devinées assez facilement. Que c’est le père de Sacha Pavlovitch qui avait tué sa mère, par exemple.
Ma conclusion : Monsieur Puard vous devez écrire la suite !
Ce que j’ai aimé dans ce livre, c’est la sensation d’aventure combinée à un suspense quasi-permanent. Par contre, ce que je n’ai pas aimé, ce sont les scènes de violence et même de tortures.
Pour la première fois de ma vie, j’ai rencontré un écrivain et il m’a même signé un autographe. Comme on pouvait lui poser des questions, j’ai pris mon courage à deux mains, et je lui ai demandé des précisions sur une partie de l’histoire que je n’avais pas bien comprise. Il a pris tellement de temps pour me répondre que j’étais presque gêné.
En ce qui concerne l’histoire, j’ai surtout retenu le suspense incroyable et les scènes d’action. J’ai préféré les passages écrits à la troisième personne, par un narrateur extérieur, parce que cela me paraissait plus clair. Le moment où le volcan entre en éruption pendant le sauvetage de Yann Rodin reste pour moi le point fort du roman.
Ce lundi 05 février 2018, nous avons rencontré un écrivain du nom de Bertrand Puard dont nous avions lu le roman, L’Archipel (tome 1 – Latitude). Ce fut un moment parfait. Ce n’est pas habituel de pouvoir échanger des idées et des impressions de lecture avec un auteur professionnel, venu de Paris pour l’occasion. Quant au livre, je l’ai adoré. Son sujet est aussi inhabituel qu’intéressant, le vol d’identité. Le suspense est haletant du début à la … fin (provisoire), on ne s’ennuie jamais pendant la lecture, on n’a qu’une seule envie, tourner la page, lire la suite et avancer dans l’histoire. En plus les personnages principaux sont géniaux et attachants. J’ai beaucoup apprécié leurs personnalités.
J’avais apprécié la lecture du livre et la rencontre avec l’auteur a encore renforcé ce sentiment positif. Autant dire que j’ai adoré ce merveilleux moment passé avec cet écrivain professionnel et cela m’a ouvert les yeux sur un métier qui me plait. Il nous a expliqué ses sources d’inspiration, comment il a imaginé cet échange d’identités entre les 2 personnages principaux à partir d’articles de journaux. Le changement de narrateur à chaque chapitre pendant une partie du récit m’a un peu désorientée, mais je m’y suis habituée. Mon passage préféré : le moment où Sacha aide Yann à s’enfuir de l’Archipel, leur rencontre et l’explication de leur ressemblance. Là, c’était un final magnifique, un moment de lecture magique !
Ce lundi 05 février 2018, nous avons rencontré Bertrand Puard qui est l’auteur du roman, L’Archipel, que nous avons lu quelques jours avant sa parution prévue ce mercredi 07 février en librairie. Il est venu dans notre école pour répondre à nos questions en compagnie d’une attachée de presse et de deux journalistes. Ce fut un moment inoubliable. L’auteur, très sympathique, nous a parlé de son travail mais aussi des détails du récit, ce qui a renforcé les émotions ressenties lors de la lecture. C’était plus qu’émouvant, c’était juste magique ! Je ne suis pas une grande lectrice, mais ce livre m’a vraiment donné le goût de la fiction. Honnêtement, je voulais me contenter de lire seulement le 1er chapitre, mais je n’ai pas pu arrêter de continuer de poursuivre la suite. Plus je lisais, plus j’avais envie de lire. J’étais trop touchée par les personnages et ce qui leur arrivait.