Hello les amis!!
Frogzine nous laisse la pleine liberté pour le rendez-vous de cette semaine!! Oui oui, vous avez bien lu: On a le droit de choisir chacun son thème!
Du coup, je vais vous parler de livres selon mon coeur, au point de vue Histoire
Des Kennedy aux Obama, La Résidence nous plonge dans le quotidien des familles présidentielles et de ceux qui les servent.
À travers les témoignages et les anecdotes des majordomes, gouvernantes, cuisiniers, fleuristes et des autres employés qui s’occupent des 132 pièces, 35 salles de bains, 28 cheminées, 3 ascenseurs et 8 escaliers de la maison, on découvre l’intimité du palais présidentiel, comme si les murs pouvaient parler. Ces histoires tristes, touchantes ou drôles nous racontent comment Jackie Kennedy a fait son deuil, les conséquences de la démission de Nixon, ou encore comment Hillary Clinton a ouvert le crâne de son mari avec un livre !
Kate Andersen Brower lève le voile sur les habitudes des Présidents, des Premières Dames et de leurs enfants, ainsi que sur les relations, parfois amicales, parfois tendues, qu’ils entretiennent avec le staff de la Maison-Blanche.
La résidence de Kate Anderson BROWER
«La gloire est éphémère, seule la renommée est durable.» Près de deux siècles d’histoires d’amour et de beauté, perlés de tant de parfums imaginés, se sont écoulés depuis qu’un jour de 1828 Pierre-François-Pascal Guerlain (1798-1864), parfumeur-chimiste de son état, ouvrit sa première boutique, rue de Rivoli, non loin du très chic hôtel Meurice, à Paris… Son destin avait été scellé bien des années auparavant, dans ce berceau d’odeurs où s’écoula sa petite enfance à Abbeville, auprès de son père, marchand d’épices et potier d’étain. Muscade, cannelle, vanille, poivre venus de terres lointaines avaient fait rêver l’enfant et nourri sa mémoire à jamais. Des velléités d’indépendance, le désir, encore fugace, de se réaliser poussèrent sur la route un jeune homme prêt à tout pour conquérir ses rêves, et qui allait se révéler bientôt en créateur visionnaire, doué d’un génie sans égal pour combiner d’heureuses alliances olfactives… Libre et audacieux, Guerlain suivit son intuition, offrant à une clientèle exigeante des fragrances inoubliables, encloses dans des flacons aussi élégants que raffinés, comme on n’en avait encore jamais vu. Après lui, Aimé, Jacques, Jean-Paul poursuivront l’aventure en la réinventant sans cesse, au point d’incarner le Paris du luxe et de la volupté. Une réussite familiale romanesque, que fait revivre avec talent la plume d’Élisabeth de Feydeau. Une histoire, enfin, où égéries et muses ne manquent pas, qui ont inspiré parmi les grands succès de la Maison «Jicky», «L’Heure Bleue», «Mitsouko», «Shalimar»…
Le roman des Guerlain d’Elisabeth DE FEYDEAU
Juin 1918. » L’ange approche « , écrit dans son journal intime Alexandra, dernière impératrice de Russie, après quinze mois de captivité. Cet ange, un envoyé de Lénine, est un exterminateur dont l’épée s’abat un mois plus tard sur la tsarine, son époux Nicolas II, leurs quatre filles et l’unique héritier du trône, le tsarévitch Alexis, un adolescent de treize ans. La révolution bolchevique vient de tomber le masque. Y a-t-il des survivants ? Une semaine seulement après la mise à mort du 17 juillet 1918, les armées blanches ne trouvent à Ekaterinbourg que cendre et destruction. Quant au lieu présumé de l’inhumation, une mine en forêt, on n’y découvre aucun corps. Démembrés, dispersés, brûlés et enterrés, les restes des derniers Romanov demeureront introuvables jusqu’à la chute de l’URSS, donnant cours aux plus folles rumeurs. Il y aura presque autant de grandes-duchesses qu’il y eut de Louis XVII… Mais, le 22 janvier 2008, l’ADN a parlé. La sinistre forêt de Koptiaki vient de livrer son dernier mystère… C’est le récit de cette enquête scientifique et historique que livre Luc Mary, mais aussi la chronique d’un régicide annoncé : celui d’un tsar faible et influençable, promis à la chute dès le sacre, et dont la Révolution aura fait un martyr, puis un saint dont nul n’imaginait que les reliques seraient un jour vénérées sous les fenêtres de son ancien palais…
Les derniers jours des Romavov de Luc MARY
À la Belle Époque, le ballon à air chaud, vedette du ciel depuis la fi n du XVIIIe siècle, est supplanté par un engin libre de ses mouvements. Son principal concepteur, l’ingénieur allemand Ferdinand von Zeppelin (1838-1917), vient de le faire voler avec succès, le 2 juillet 1900, au-dessus du lac de Constance. D’emblée, le « dirigeable » distance l’aéroplane. Maniable, rapide et fi able, il saura conserver son avance technique pendant trois décennies. Cette suprématie germanique, étendue à l’art de la guerre, puis aux vols commerciaux, sera réduite à néant en 32 secondes, le 6 mai 1937. À son arrivée à Lakehurst, dans le New Jersey, le majestueux Hindenburg et ses 155 000 m3 d’hydrogène s’enfl amment après avoir heurté le mât d’arrimage.
On dénombre 35 victimes et un grand brûlé : le zeppelin luimême, au règne duquel le régime nazi a décidé de mettre fin… Tombés en disgrâce à l’apogée de leur gloire, les paquebots du ciel, acteurs triomphants d’une ère de défi s, entrent dans la légende. Gérard A. Jaeger retrace en détail leur incroyable histoire, des pionniers de l’aérostat aux derniers vols du Graf Zeppelin II.
Zeppelin ou l’incroyable histoire des ballons dirigeables de Gérard A. JAEGER