Bonjour les amis!
Nous voilà de nouveau arrivés à un bilan.
J’aime ce moment, où je retrouve mes dernières lectures, et où je peux les humer encore un peu.
Septembre aura eu un rythme plus calme, mais avec quelques très belles découvertes! Mes coups de coeur ont été nombreux.
En septembre donc, j’ai découvert 18 livres, voyagé à travers 5294 pages. J’ai reçu ou acheté 29 aussi enlevé 18 livres de ma Pal papier, ce qui fait donc un +11 .
Au niveau du site, ca y est, il fonctionne pleinement. Un concours a eu lieu. Je vous rassure, ça ne sera pas le seul. Je prévois un petit quelque chose aux alentours de Noël. Ca vous tente? Je vous en reparlerai, promis.
Place aux images maintenant
Et des albums jeunesse
Je vous montre ensuite, ce que j’ai prévu de lire en octobre. J’essaie d’être raisonnable hihi
Au centre de toute cette activité on retrouve les Beauchemin, menés par Baptiste, le chef de famille. Travailleur acharné, Baptiste est un des premiers arrivants de l’endroit et souhaite, après plus de 25 ans d’efforts, la reconnaissance qu’il considère mériter. Dans un patelin dépourvu de maire et de curé, il se plaît à jouer le rôle de l’homme important du village. De l’autre côté, on retrouve la famille Ellis, d’origine irlandaise, ayant à sa tête Samuel.
Entre les deux hommes, la rivalité est forte. Si l’un veut que la future chapelle soit construite en haut de la côte, son vis-à-vis exige qu’elle le soit en bas, près de chez lui. Si l’un veut un pont conçu de telle façon, l’autre défend l’idée contraire. Bref, l’un dit blanc, l’autre noir, et si l’un le dit en français, l’autre le dit évidemment en anglais! Chacun occupera à tour de rôle des fonctions décisives dans l’établissement d’un vrai village, et les commères du coin ne se gênent pas pour prendre le parti de l’un ou de l’autre, sans jamais oser beaucoup s’impliquer.
Autour de ces deux adversaires, on retrouve toute une galerie de personnages attachants comme Bernadette, l’institutrice qui aime se faire désirer des jeunes hommes ; Camille, l’aîné des Beauchemin, qui s’investit beaucoup pour venir en aide à la famille voisine dont la mère est décédée ; sans parler de Marie, Liam, du curé Ouellet ou encore de Constant Aubé.
Ambiance magnifique, personnages colorés et dialogues savoureux. On en redemande!
Le deuxième tome s’ouvre en 1871, quatre mois après la fin du premier. Baptiste est toujours vivant, mais extrêmement diminué. Paralysé, il est même incapable de parler. La famille est donc forcée de se réorganiser autour de Donat, le fils aîné, qui hérite de toutes les tâches qu’exige l’exploitation de la terre familiale.
Quant aux autres membres de la famille, Xavier travaille encore au défrichage de sa terre sur le rang Saint-Paul, tout en gardant un œil sur la belle Catherine, la « Jézabel » de la région pour certains; Bernadette, la jeune maîtresse d’école, continue de son côté d’attirer la convoitise de Constant Aubé dont le cœur chavire dès qu’il la voit; Marie, de son côté, tente tant bien que mal de garder un contrôle sur la maisonnée et d’aider son mari lourdement handicapé; Camille, l’aînée de la famille, s’affirme comme une femme forte et déterminée qui unira sa destinée avec le voisin irlandais. Jamais Baptiste n’aurait imaginé un an plus tôt qu’un Irlandais ferait un jour partie de sa famille. Les temps changent!
Les batailles de clochers entre Irlandais et Canadiens se poursuivent et seront exacerbées à l’occasion de l’élection d’un Rouge comme député de la circonscription, un certain Wilfrid Laurier, jeune avocat bien en vue. Si cette victoire réjouit les Irlandais, les francophones se consolent avec l’élection d’un gouvernement majoritaire Bleu à Ottawa. Mais pour le développement de la mission et dans la lutte pour la reconnaissance du statut de paroisse, tous les habitants de Saint-Bernard-Abbé font front commun. Des rivalités, certes, mais de l’entraide aussi, voilà qui décrit bien l’atmosphère de plusieurs régions du Québec à la fin du XIXe siècle.
Avril 1912. Tess Collins, une jeune servante anglaise, est venue à Cherbourg vivre de sa passion, la couture. Hélas, la maison qui l’emploie la traite comme une domestique.
Lorsqu’elle apprend qu’un paquebot se dirigeant vers les Etats-Unis va faire escale à Cherbourg, elle décide d’embarquer pour tenter l’aventure.
À bord du Titanic, elle fait connaissance de Lucy Duff Gordon, célébrité de la haute couture anglaise, qui s’apprête à présenter sa nouvelle collection à New York. Sa femme de chambre lui ayant fait faux bond, elle décide d’employer Tess.
En première classe du navire, Tess découvre un monde fastueux. Elle fait la rencontre de deux hommes, Jim, un marin, et Jack, un self-made-man américain. Mais, tandis qu’un triangle amoureux s’installe, le paquebot, sans que ses occupants s’en doutent, fonce vers un iceberg…
Réchappant à la catastrophe, Tess découvre que sa maîtresse a embarqué à bord d’un autre canot de sauvetage. Mais celle-ci a-t-elle survécu aux dépens d’autres passagers ? Elle se trouve bientôt face à un dilemme : rester fidèle à sa maîtresse ou dire ce qu’elle a découvert des circonstances du drame ?
Les Temps difficiles, ce sont les débuts de la révolution industrielle qui transforme l’aimable campagne anglaise en un pandémonium d’usines, de canaux, d’installations minières, de fabriques, d’entrepôts, de banlieues misérables où vit à la limite de la survie le prolétariat le plus exploité qui sans doute fût jamais. Sous un ciel de suie, Coketown, la ville du charbon (Manchester en réalité), est d’autant plus l’image de l’enfer que la classe ouvrière n’y est pas encore organisée et qu’elle apparaît ainsi comme la victime toute désignée de politiciens sans scrupules et d’une bourgeoisie, parfois compatissante et troublée dans son confort moral, mais toujours persuadée de la divinité de ses droits.
Le roman de Dickens correspond point pour point à l’analyse qu’en ces mêmes années et dans cette même Angleterre, Fr. Engels entreprenait de la naissance du capitalisme moderne.
Une fresque monumentale qui embarque bourreaux et victimes sur l’océan de l’Histoire.
Il y a Margarita, juive polonaise enceinte qui tue un lieutenant nazi pour venger la mort de son époux et déclenche alors une terrible opération de représailles ; le couple Kramer, fermiers allemands qui recueillent et cachent la jeune femme ; Lisa, la petite fille qui verra le jour à la ferme et sera élevée comme une Kramer ; et il y aussi Anna, jeune juive allemande écartée de la Shoah par un officier SS qui la désire ; Shimon, son fils né d’un viol collectif ; Sarah, Ruth et tant d’autres, qui tentent de reprendre pied après les camps ; Peretz Sarfati, l’Israélien qui veut faire émigrer en Palestine ses coreligionnaires rescapés et qui tombe éperdument amoureux d’Anna… Et il y a l’Histoire « avec une grande hache », qui emmêle et concasse et tisse cette immense saga historique entre l’Allemagne, les Carpates, la Pologne et Israël.
En 1941, dans la Sarthe, trois jeunes enfants, que la vie n’a pas épargnés, s’engagent dans un réseau de résistance, effectuant des missions essentielles de communication et d’information. Ces actes sont aussi, pour chacun d’eux, une quête éperdue d’amour et de reconnaissance.
Nez au vent, foulée légère, pour la toute première fois Julien goûte à la liberté. Il fuit sa vie ballottée d’une famille d’accueil à l’autre. Mais, vite repris par les gendarmes, l’orphelin est mené dans un centre d’éducation pour jeunes délinquants et vagabonds. Il trouve réconfort auprès de Tristan, un peu plus âgé et plus mûr, dont les parents, juifs, ont été déportés. Un jour, ils parviennent à s’enfuir, direction la Sarthe, que Julien connaît bien pour y avoir grandi. Là, leur destin sera lié à celui de la petite Marie, placée chez des fermiers qui la maltraitent.
Ces trois compagnons, que la vie n’a pas épargnés, vont alors s’enrôler dans un réseau de résistance…
Quel sera le prix de leur engagement ? Sacrifieront-ils leur enfance, leurs rêves au nom de leur combat ?
Janvier 1940, vallée des Eaux-Claires. La seconde guerre mondiale fait rage depuis quelques mois en Europe. Alors que le mari de Bertille meurt subitement cette dernière se prend d’affection pour Janine, la fille cadette de Léon, le domestique du moulin. Cette dernière vient de subir une terrible épreuve, semant la zizanie entre les deux familles. Puis au printemps, le maire de Puymoyen demande à Claire d’héberger une famille de réfugiés chassée par l’avancée des Allemands en France occupée. La mère, Yvette, est très malade, tandis que sa fille, Anne, ne tardera pas à son tour de chambouler la vie de ceux qui ont pourtant la bonté de l’héberger.
Quant à Mathieu et Jean, respectivement frère et mari de Claire, ils décident à leur manière de tenter de chasser les Allemands de France, surtout lorsqu’une troupe de soldats réquisitionnent le château de Bertille, afin d’en faire un centre de commandement. Les choses se corsent lorsqu’un jeune soldat allemand disparait mystérieusement de la région. Rapidement les soupçons se portent sur un des membres du clan élargi de Claire. C’est véritablement le chaos dans la vallée des Eaux-Claires ; fausse-couche, bagarres, meurtres, tempêtes, démence, morts, avortement et amours brisés se succèdent à un rythme effréné au fil des pages et des chapitres. Heureusement les célébrations du trente-cinquième anniversaire de mariage de Jean et de Claire viendront mettre un baume sur le cœur de tous, même si la guerre ne fait que commencer.
New York, 2006. Avant la démocratisation de Facebook et l’avènement des smartphones, avant Obama, avant la crise des subprimes. Evelyn accepte un job de recruteuse pour un nouveau réseau social réservé aux très riches. Heureusement, sa scolarité dans un pensionnat huppé
de la côte est a bien rempli son carnet d’adresses. Autrefois critique vis-à-vis de ses parents parvenus, la jeune fille décide de reprendre contact avec les anciennes stars du lycée. Parmi elles, une it-girl règne en despote : la longiligne Camilla, virevoltant entre courses à la voile dans les Adirondacks et galas de charité sur la Cinquième Avenue. Auprès de l’héritière, Evelyn se met à espérer en un avenir royal. Mais gare à qui tentera de détrôner l’impératrice… Tandis qu’Evelyn se débat dans la jungle du gotha, le monde s’apprête à tomber entre les crocs du plus grand cataclysme financier du début du XXIe siècle.
Ne vous fiez pas au bonheur de façade…
Anne et Marco sont invités à dîner chez leurs voisins. Au dernier moment, la baby-sitter leur fait faux bond. Qu’à cela ne tienne : ils emportent avec eux le babyphone et passeront toutes les demi-heures surveiller le bébé. La soirée s’étire. La dernière fois qu’ils sont allés la voir, Cora dormait à poings fermés. Mais de retour tard dans la nuit, l’impensable s’est produit : le berceau est vide.
Pour la première fois, ce couple apparemment sans histoire voit débarquer la police chez lui. Or, la police ne s’arrête pas aux apparences… Qu’est-ce que l’enquête va bien pouvoir mettre au jour ?
Depuis l’accident d’Alex, le groupe des six amis inséparables a volé en éclat. Paul et Iris ne s’adressent plus la parole, Alex s’isole, Marion s’enferre dans une nouvelle relation d’amitié empoisonnée, Rébecca aime Alex qui ne l’aime pas, Iris découvre un nouveau secret perturbant, Paul ne va plus au lycée, et Sam ne se sent nulle part à sa place. Pour couronner le tout, le bac approche avec son lot d’angoisses et de promesses de liberté… Réussiront-ils à recoller les morceaux de cette amitié qui leur donnait des ailes ? Et à trouver, chacun, la force d’affronter obstacles et rêves les plus fous ?
Et les futures sorties littéraires qui me tentent?
Voila le calendrier. Et il y a touuuuut plein de choses!!
Un joli bilan 😉
Je te souhaite de belles lectures pour octobre 🙂
merci 🙂
merci merci 🙂