In my mailbox

In my mailbox (168)

Bonjour les amis!

J’aurai eu une semaine calme, en termes de réceptions de livres.

Ca m’a permis de faire descendre un peu ma Pal hihi.

Et de travailler sur mon projet secret. Non non je ne vous dirai rien pour l’instant, sinon ça ne sera pas drôle!

Mais je vous promets, pour tous ceux qui me suivent déjà, que vous ne serez pas déçus du voyage!

Bon allez, je vous montre ce que j’ai reçu.

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L’édition De Borée m’a envoyé ce roman

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Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, Carmen, devenue institutrice, souhaite adopter Simon, le jeune juif qu’elle a protégé.
Malgré les difficultés pour établir les papiers d’adoption, ils par- viennent ensemble à démarrer une nouvelle vie paisible et heureuse.
Carmen épouse Grégoire, médecin, et Simon, lui, rencontre Marthe, exilée, comme lui. Mais plutôt radicale, elle le pousse à retrouver ses racines, et le coupe peu à peu de sa famille adoptive…

Les Editeurs Réunis m’ont fait parvenir la seconde partie de l’histoire des Médicis

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Florence, 1478. À peine sauvé de la menace de la famille Pazzi, Laurent de Médicis n’est toujours pas hors de danger. L’Italie, déjà affaiblie par des guerres fratricides, craint d’être envahie par des nations voisines. L’avenir de la République florentine est entre les mains de son souverain. Face aux forces ennemie supérieures en nombre, la diplomatie ‘avère bien plu souhaitable que l’option militaire pour désamorcer la situation. Fedora, l’un des meilleures agents des Médicis, est enceinte de Feliciano, désormais dirigeant des Aigles. Pour le bien de son enfant à venir, il lui faut s’éloigner un temps des règlements de compte sanglants. Son amoureux, lui, n’a pas ce loisir; il possède néanmoins l’influence nécessaire pour placer sa bien-aimé en lieu sûr, où elle renoue avec un cercle d’artistes auquel appartiennent Leonardo da Vinci et Sandro Botticelli. La grossesse s’annonce morne pour Fedora: accomplissant son devoir, Feliciano ne peut lui garantir qu’il sera présent pour la naissance du petit. Dans la cité des Médicis, la famille Gondi a récemment trouvé un nouveau chef, le redoutable Antonio, qui entend bien profiter du tumulte à Florence. Les poignards de ses acolytes ont sortis de leur étui. Une fois de plus, l’ombre accueille une multitude d’assassins déterminés à déposer Laurent de Médicis, de même que quiconque aurait l’audace de s’interposer …

Et enfin, de l’édition Archipel, j’ai reçu ce témoignage

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En 1973, le pianiste Robert Sutherland est invité à accompagner Maria Callas qui prépare son grand retour sur cène avec son complice de toujours, le ténor italien Giuseppe DI Stefano. D’abord recruté comme doublure du pianiste officiel de la diva, il est loin d’imager qu’il va occuper un rôle-clé dans les dernières années de son existence.
Au fil d’une tournée mouvementée qui les emmène sur les plus grandes scènes d’Europe, d’Amérique du Nord et d’Asie, il devient le confident de la soprano:elle lui parle de son enfance, de ses parents, de son professeur de chant, de son public fidèle et de la grande passion de sa vie – la musique. il découvre une femme complexe: tantôt diva, tragédienne du monde de l’opéra, tantôt amoureuse vulnérable, amie crédule ou femme-enfant.
La Callas traverse alors une période difficile: Onassis, avec qui elle a vécu neuf années de passion, est désormais l’époux de Jacqueline Kennedy. La tournée que lui propose Giuseppe Di Stefano lui apparaît comme le seul remède possible – à la fois artistique et sentimental – à son mal-être. Mais la relation tumutueuse entre ces deux monstres sacrés, digne de la Commedia dell’arte, transforme cette tournée en un feuilleton à rebondissements où les rires ne sont jamais loin des larmes.
Depuis les coulisses, sur scène ou dans le secret des palaces, Robert Sutherland décrit avec bienveillance et lucidité les derniers feux de la Divina.

Et vous qu’avez-vous découvert?

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aufildespages chroniqueuse littéraire

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