Hello les petits crocus!
Février a (enfin!) pointé le bout de son nez! Janvier aura été vraiiiiiment loooong! Vous ne trouvez pas?
En tout cas, j’ai prévu de lire plein de belles choses en février. Et peut-être même me prévoir un week-end à 1000 pages, tiens, ça fait longtemps que je n’en ai plus eu l’occasion. Ca me fait bien envie….
Je me suis prévu un joli mix de lecture pour ce nouveau mois, mêlant service presse, lectures communes et surtout beaucoup de titres qui me font envie!
Je vous montre?
Je commence par les emprunts aux copines
Inconnu(e) à cette adresse.
Ils pensaient s’être séparés « intelligemment ». Ils avaient, en tout cas, trouvé un accord : ils habiteraient à tour de rôle avec leurs enfants dans leur belle demeure de Trinity Avenue, dans le sud de Londres. Mais l’histoire a mal tourné. Très mal tourné.
Un jour d’hiver, en rentrant chez elle, Fiona Lawson tombe sur des déménageurs. Tous ses meubles ont disparu, il y a des gens dans sa maison – un couple qu’elle n’a jamais vu lui annonce qu’il en est le nouveau propriétaire. Fiona essaie immédiatement de joindre son mari, mais son numéro est hors service. Et ses enfants, eux aussi, ont disparu. Cauchemar éveillé ? Cela ne fait que commencer !
La maison où Patrick a passé toute sa jeunesse n’est pas une demeure comme les autres. Quinze ans plus tôt, elle a été le théâtre d’un drame inconcevable : toute une famille y a été retrouvée, massacrée. Patrick garde pourtant des souvenirs irremplac¸ables dans ces lieux, comme seule l’enfance sait en créer. Il décide de la racheter. Sa femme, Sarah, et leurs deux enfants s’y installent à contrecœur. Le délabrement, l’atmosphère sinistre qui colle à la maison oppressent Sarah. Ses psychoses reprennent, de plus en plus sombres. Des voisins épient chacun de ses mouvements. La tension monte.
« Je te quittes ». Après dix ans de vie commune, Éric quitte Édaine, faute d’orthographe en prime. Dévastée par le chagrin, notre comédienne en mal de succès reçoit un appel inattendu qui va bouleverser encore davantage son quotidien : un notaire normand l’informe qu’elle hérite de Curcuma, un âne de cinq ans. Mauvaise blague ou signe du destin ? « Il nous appartient de choisir le plus tôt possible ce que l’on veut faire de son chagrin » assure-t-elle. Dans cette quête, saura-t-elle écouter le bruit des anges et reprendre sa vie en main ? ».
Je poursuis avec les services presse
Jeanne Duluc, jeune journaliste socialiste et féministe, s’est fait embaucher en ce début d’automne 1925 au Central téléphonique Gutenberg afin d’enquêter sur les difficiles conditions de travail des demoiselles du téléphone. L‘une d’entre-elles, Tatiana, est alors sauvagement assassinée. Ce meurtre, qui porte pour signature un masque déposé sur le visage défiguré de la victime, n’est pas sans rappeler celle du « Tueur des Halles », qui terrorise les femmes de la capitale depuis plusieurs mois. L’enquête est confiée à Paul Varenne, inspecteur dépendant à la cocaïne et à l’opium à la suite de ses blessures de guerre. Varenne ne croit pas à l’hypothèse du Tueur des Halles, ni même à la culpabilité de Mangrin, le gardien du Central téléphonique, rescapé des tranchées, sur lequel se portent les soupçons. C’est alors que survient un deuxième meurtre.
Amy, 13 ans, ne connaît que la vie dans la Famille. Elle sait ce qu’on attend d’elle. Elle sait comment contenter ses aînés et s’assurer de la bonne marche de la communauté. Jusqu’au jour où une fillette rejoint le groupe. Elle ne trouve pas sa place et cherche constamment à s’enfuir. Ce qui se passera ensuite bouleversera profondément la vie telle qu’Amy la connaît.
Freya déploie beaucoup d’efforts pour paraître « normale » aux yeux de la société. À la voir vaquer à ses occupations avec son petit garçon, Bily, on pourrait la prendre pour une mère ordinaire. Un jour, une petite fille des environs disparaît et un homme qu’elle n’a pas vu depuis longtemps fait irruption dans sa vie.
À mesure que le passé refait surface, la petite ville se retrouve confrontée à de sombres secrets qui détruiront tout sur leur passage.
Les gens ordinaires ne le sont pas toujours…
AprèsDisparue à cette adresse, Linwood Barclay nous entraîne à la découverte d’un faiseur de destins, un homme qui crée les biographies des témoins placés sous protection judiciaire. Mais dans cette zone grise des existences tronquées, réinventées à qui peut-il vraiment se fier ? Scénario original, suspense redoutable et personnages jubilatoires pour un thriller qu’on ne lâche pas.
Les gens ordinaires ne le sont pas toujours…
Début des années 1960. Queenie fête ses 21 ans. Un avenir radieux semble promis à la fille unique de Patrick Hanlon, propriétaire de Tingulla Station, l’une des plus grandes fermes du Queensland, en Australie.
Pour célébrer l’événement, le maître des lieux a convié voisins et amis, venus en nombre profiter, le temps d’un week-end, de son hospitalité légendaire. Mais le destin peut se révéler cruel et les réjouissances feront long feu. Bientôt, une série de catastrophes s’abattent sur Queenie.
La jeune femme devra faire appel à tout son courage pour sauver ce qui peut l’être de l’héritage familial. À commencer par Tingulla, le domaine de son enfance. Pourra-t-elle pour cela compter sur Terry Hamilton, un fermier des environs rencontré le jour de son anniversaire ?
Dans une Écosse indépendante de l’époque victorienne, rôde une brume mystérieuse qui offre des pouvoirs paranormaux à une minorité… et empoisonne la majorité. La famille d’Ava Hazegast est la seule à qui le sort a souri. De génération en génération, elle vend ses services de médiums à la famille royale et aux villageois. Services ou… arnaque ? En réalité, Ava est la seule à posséder un don, celui de voir les morts, alors que son entourage utilise la ruse et le charlatanisme comme business. De plus, une malédiction semble peser sur certains membres. Lorsque l’héritier du trône se fait assassiner, les Hazegast sont désignés d’office pour trouver le coupable. Ils ont un mois pour résoudre ce meurtre, ou la reine les exécutera tous. La menace vient à peine de tomber qu’Ava doit gérer un invité surprise : le fantôme du prince assassiné, qui a bien l’intention de déterrer les secrets familiaux…
Je continue avec la lecture commune de mon club
1995.
Dix ans auparavant, la mère d’Izzy Stone a tué son mari d’un coup de fusil, alors qu’il dormait. Dévastée par la folie de sa mère, Izzy, qui a maintenant 17 ans, refuse de lui rendre visite en prison. Elle a depuis été accueillie par une famille d’accueil. Ses « parents » travaillent pour le musée local et décident d’inscrire la jeune fille dans leur groupe.
Sa mission : les aider à cataloguer les objets trouvés dans un asile abandonné depuis des années. Et au milieu de monceaux d’affaires, Izzy va découvrir des lettres jamais ouvertes, un vieux journal intime… et une fenêtre vers son propre passé.
1929.
Clara Cartwright a 18 ans. La jeune femme est prise en étau entre ses parents autoritaires et son amour pour un jeune immigrant italien. Furieux qu’elle ait rejeté un mariage arrangé, son père l’envoie dans une chic résidence pour « malades nerveux ».
Mais les Cartwright perdent leur fortune lors du krach boursier qui va suivre. Ne pouvant plus payer les soins de Clara, la jeune femme est transférée à l’asile public…
Même si Izzy fait face aux défis d’un nouveau départ, l’histoire ne cesse de l’entraîner dans le passé. Reconstituer le destin de Clara va obliger à réexaminer ses propres choix, avec des résultats… inattendus.
Et enfin, voici les pioches dans ma Pal (quoi que tous les précédents y étaient également, mais ceux-ci y sont depuis un peu plus longtemps)
Arwen n’a jamais pensé être courageuse. Pourtant, lorsque des soldats ennemis parviennent jusqu’à son village, elle n’hésite pas à offrir sa vie pour protéger sa famille. Faite prisonnière et emmenée dans le royaume le plus dangereux du continent, elle doit utiliser ses étranges capacités magiques pour soigner les soldats du cruel roi d’Onyx.
Impossible d’affronter seule les bois anciens et maléfiques qui entourent le château : coopérer avec un autre prisonnier pourrait être son seul chemin vers la liberté. Malheureusement, celui-ci est aussi exaspérant que rusé et ne semble pas particulièrement pressé de l’aider… ni même de s’évader lui-même.
Tout en cherchant à s’échapper, Arwen découvre que le monde est bien plus vaste et plus compliqué qu’elle ne le pensait. Pourquoi le roi d’Onyx a-t-il attaqué un royaume dépourvu de ressources ? Quelles sont donc les véritables causes de la guerre qui fait rage ?
Deux histoires, deux époques, deux sens de lecture, pour une histoire à énigme palpitante.
Côté pile :
Angleterre, 1881. Simeon Lee, un jeune médecin londonien, se rend sur l’île de Ray, au large de l’Essex, à la demande de son oncle, Oliver Hawes. Ce dernier, gravement malade, est persuadé d’avoir été empoisonné. Peu de temps après son arrivée dans l’unique maison de l’île, Turnglass House, Simeon fait une découverte des plus étranges : dans un coin de la bibliothèque se trouve une immense cage de verre, dans laquelle est enfermée une femme. Il s’agit de Florence, la belle-sœur d’Oliver, déclarée folle après avoir tué son mari. Quel secret cache-t-elle vraiment ? La vérité se trouve peut-être dans le journal intime d’Oliver, dont chacune des faces raconte une histoire très différente…
Côté face :
Californie, 1939. Oliver Tooke, célèbre écrivain et fils du gouverneur de l’État, est retrouvé mort. La police conclut à un suicide. Mais cette hypothèse ne convint pas son ami Ken Kourian, jeune acteur qui tente de percer à Hollywood. Ken décide d’enquêter et découvre de nombreux éléments troublants dans le passé de son ami : l’enlèvement de son frère lorsqu’ils étaient enfants et l’internement de sa mère, Florence, dans un asile. Mais pour découvrir la vérité, Ken devra déchiffrer les indices cachés dans le dernier ouvrage d’Oliver, un roman tête-bêche intitulé L’énigme de Turnglass et dont le héros est un jeune médecin appelé Simeon Lee….
Gros plan sur la plus gourmande des enquêtes d’Hannah Swensen
Eden Lake est en ébullition ! La charmante petite ville est transformée en plateau de tournage par une équipe de cinéma. Et tout le monde est sur le pont – à commencer par Hannah Swensen, notre pâtissière favorite, dont la boutique est devenue la cantine des acteurs. Autour d’elle, c’est l’effervescence : sa mère, ses sœurs, sa nièce et même son chat Moshe, tous se préparent à jouer un rôle dans le film. Celui-ci tombe à point pour Hannah, qui, empêtrée dans ses affaires sentimentales, a furieusement envie de se changer les idées. Quoi de mieux pour cela qu’une production hollywoodienne ? Cerise sur le cheesecake : un membre de l’équipe est bientôt victime d’une mort aussi subite qu’inattendue. Quelqu’un aurait-il trouvé la recette du crime parfait ? C’est l’occasion pour Hannah de prouver définitivement qu’elle est aussi fine enquêtrice que bonne pâtissière.
Une bonne dose de suspens, quelques soupçons d’imprévus, une généreuse poignée de rebondissements : tous les ingrédients sont réunis pour passer un délicieux moment. Sans oublier de nouvelles recettes de pâtisseries aussi mortelles que les nouvelles aventures de notre Miss Marple du Minnesota !
Souvent les enfants s’inventent une famille, une autre origine, d’autres parents. Le narrateur de ce livre, lui, s’est inventé un frère. Un frère aîné, plus beau, plus fort, qu’il évoque devant les copains de vacances, les étrangers, ceux qui ne vérifieront pas… Et puis un jour, il découvre la vérité, impressionnante, terrifiante presque. Et c’est alors toute une histoire familiale, lourde, complexe, qu’il lui incombe de reconstituer. Une histoire tragique qui le ramène aux temps de l’Holocauste, et des millions de disparus sur qui s’est abattue une chape de silence. Psychanalyste, Philippe Grimbert est venu au roman avec La Petite Robe de Paul. Avec ce nouveau livre, couronné en 2004 par le prix Goncourt des lycéens et en 2005 par le Grand Prix littéraire des lectrices de Elle, il démontre avec autant de rigueur que d’émotion combien les puissances du roman peuvent aller loin dans l’exploration des secrets à l’œuvre dans nos vies.
Elle a voulu s’en prendre à un monstre et maintenant, elle doit en payer le prix.
Kierse, voleuse des rues, aurait dû savoir que quelque chose n’allait pas. La voici piégée dans une bibliothèque… avec un monstre. Elle ne peut ni s’enfuir, ni se cacher. Et cet homme – cet être débordant de ténèbres et d’un terrible pouvoir – a parfaitement le droit de la tuer. En s’introduisant chez lui, Kierse a rompu le fragile traité de paix entre monstres et humains. Mais au lieu de la mettre à mort, Graves lui offre un choix : si elle dérobe pour lui un mystérieux artefact, il lui rendra sa liberté, et lui fournira même une occasion de découvrir qui elle est vraiment.
Kierse a toujours su qu’elle était différente. Qu’elle était plus douée, plus rapide que les autres humains, dotée d’un sixième sens pour le danger. Mais si les vieilles histoires disent vrai, il y a pire que des monstres en ce monde. Un péril plus ancien que les légendes. Graves, par exemple. Ou peut-être Kierse elle-même…
Et vous, qu’allez-vous lire en février?
Hello les petits crocus!