Olive Smith, étudiante en troisième année de thèse, ne croit pas aux relations durables ; Anh, sa meilleure amie si, raison pour laquelle Olive se trouve dans le pétrin. Afin de convaincre Anh qu’elle est heureuse en amour, Olive ne peut se contenter d’un simple mensonge : les scientifiques ont besoin de preuves. Comme tout biologiste qui se respecte, Olive panique et embrasse le premier homme qu’elle voit. Or cet homme n’est autre qu’Adam Carlsen, jeune professeur sexy et tyrannique à Stanford. Contre toute attente, Adam accepte de prétendre être son petit ami. Plus surprenant encore : il est parfait en tout point. Soudain, leur expérience est proche de la combustion, et Olive découvre que tester ses hypothèses sur l’amour peut s’avérer dangereux quand c’est son propre coeur qu’on met sous un microscope…
480 pages
Merci à Netgalley
Olive Smith sait ce qu’elle veut: obtenir des fonds et des locaux pour les recherches qu’elle veut mener. Et sa vie entière tourne autour de cela. Jusqu’au jour où sa meilleure amie, romantique authentique, la met sans le savoir dans une situation compliquée.
C’est ainsi qu’elle se retrouve à embrasser, un soir, au milieu de labos d’étude, le premier homme qu’elle croise, sans vraiment lui laisse le temps de comprendre ce qui lui arrive. Commence alors pour Olive une période très particulière: elle et ce professeur qu’elle a embrassé font former un couple pour leur entourage. Une comédie montée de toutes pièces…
Je me mets depuis peu à découvrir des comédies romantiques. Et je dois dire que jusqu’ici, je suis vraiment agréablement surprise. Je suis longtemps restée (honteusement) sur des a-prioris sur les romances. D’office, je revoyais mentalement les couvertures de livres de Barbara Cartland, guimauve à souhait, et romance sans réel fond intéressant. Heureusement, j’ai eu l’occasion de sortir de ces idées.
Olive m’a enchantée. Douce, discrète, intéressante, volontaire, et dotée d’une touche de fantaise comme je les aime, elle est un personnage vraiment adorable. En opposé, Adam, ténébreux, silencieux, râleur, et légèrement fermé sur les bords, offre le cadre strict de l’histoire. Du moins durant une bonne partie du scénario.
L’idée du faux couple donne la possiblité d’assister à des scènes tragi-comiques comme je les aime, mais également à des moments de confidences qui ne pourraient avoir lieu si vite dans une vraie relation. Ces deux points me plaisent vraiment.
Olive et Adam ne pourraient paraître plus dissemblable l’un de l’autre. Mais après, ne dit-on pas que les contraires s’attirent?
J’ai dû laisser ma lecture en pause quelques jours (je partais quelques jours), mais je m’étais empressée de la reprendre dès mon retour! J’ai souri de nombreuses fois, été touchée également. L’auteure a le don de nous faire vivre les émotions de ses personnages!
Je n’avais pas encore lu cette plume, mais je vais dorénavant la suivre de plus près!
One comment on “The love Hypothesis d’Ali Hazelwood”