Coucou les amis!
Il y a des siècles de cela, je participais systématiquement à ce challenge, qui se présentait plusieurs fois dans l’année.
Mais la vie étant ce qu’elle est, je n’avais plus eu la possibilité de le faire. Pourtant, bien décidée à me replonger dans mon univers littéraire tel que je l’aime, j’ai décidé de participer à la session qui se profile.
Pour rappel, les règles sont simples: le timing de lecture se déroule entre ce soir 19h jusque dimanche minuit. Et le principe est tout aussi simple: essayer d’atteindre les 1000 pages lues.
Pour tenter le coup, j’ai décidé de ne sélectionner que des livres plus ou moins rapides à lire, appartenant à ma pal (aucun achat pour ce challenge, je suis fière de moi hihi).
Voici donc que j’ai prévu.
Une jeune infirmière traumatisée, obligée de raconter sa terrible histoire aux autorités.
Une résidence luxueuse dissimulée au cœur de la forêt boréale et regorgeant d’horreurs innommables…
Un prisonnier sauvagement mutilé, incapable de venir en aide à une famille au funeste destin.
Un adolescent dont l’âme a depuis longtemps été arrachée, servant un maître impitoyable.
Une bête maudite, capable des pires atrocités…
DÉVOTION. REMORDS. MARTYR.
Un pays déchiré par la guerre civile.
Une jeune femme idolâtrée, rongée par ses propres pouvoirs.
Un corsaire flamboyant et mystérieux.
Un soldat renégat, en proie aux doutes.
Une menace grandissante. Un danger imminent.
RÉSISTANCE. POUVOIR. SACRIFICE.
Pour s’opposer au Darkling, Alina devra explorer ses propres ténèbres. Au risque d’y perdre sa lumière.
Une journaliste avide d’une solide histoire pour réhabiliter sa carrière. Un assassin, interné pour aliénation mentale, qui a bien maquillé certains de ses crimes. Une ancienne épouse marquée à vie par la violence. Des rituels sataniques enterrés au coeur de la forêt. Une rencontre qui déchaîne un cycle de violence prévu depuis longtemps. Charles Perrault affirme, à la fin de Barbe Bleue, que la curiosité coûte souvent bien des regrets. La protagoniste de cette nouvelle mouture du fameux conte l’apprendra à ses dépens en se frottant au monstre qui la fascine…
Publier le roman-fleuve de Margaret Mitchell était déjà une gageure, mais faire d’Autant en emporte le vent un film était pure folie. Des centaines de décors, de costumes et d’acteurs pour un film d’une longueur invraisemblable : un défi qui aurait pu ruiner David O. Selznick, son producteur mégalomane, bien décidé à réussir « le plus grand film de tous les temps ». Par-delà les tractations cocasses, les difficultés d’adaptation et les imprévus en tous genres, une question centrale s’invite au cœur des débats qui agitent les États-Unis : qui pour incarner Scarlett ? Trois années à voir défiler un bal d’actrices parmi les plus célèbres comme des milliers d’inconnues qui participent à ce casting homérique.
Trois années où, à l’ombre des paillettes, Hattie McDaniel doit faire accepter à la communauté noire qu’elle préfère jouer le rôle d’une domestique plutôt que d’en être une.
Dans ce roman trépidant, François-Guillaume Lorrain fait revivre les affres, les plaisirs et les jours des protagonistes de cette aventure qui marqua l’âge d’or d’Hollywood : le moralement douteux David O. Selznick, la très obstinée Vivien Leigh, le flegmatique Clark Gable, et Hattie McDaniel, la première interprète noire oscarisée pour le rôle qu’on lui reprochait pourtant d’endosser.
Récit bouleversant, description édifiante de la vie de tous les jours dans l’intimité d’une « okiya », avec ses cérémonies, ses coutumes, ses fêtes et ses jeux. On y entend des histoires de plaisirs, de chagrins, de courage aussi, qui éclairent sous un jour nouveau ce monde fermé sur lequel l’Occident ne cesse de s’illusionner.
Je ne suis pas du tout sûre d’arriver à tout lire, mais je tente le coup quand même. Je reviendrai début de semaine prochaine, vous faire le bilan.
A bientôt!
Bonnes lectures 🙂
merci merci 🙂