Bonjour bonjour les chamis! (J’ai mes chats près de moi, ca explique tout, non? hihi)
Frogzine nous offre un nouveau thème de rendez-vous. Il s’agit de nommer Les 10 livres à faire glacer le sang que vous avez lus ou aimeriez lire.
Bon, c’est peut-être un thème un peu plus compliqué pour moi puisque j’en lis peu. Mais je tente le coup. Je ne suis pas certaine par contre d’arriver à 10.
Un virus inconnu, incontrôlable, se propage de façon fulgurante. En une semaine, l’humanité tout entière est menacée.
Un adolescent qui n’a rien d’un héros a promis de protéger sa petite soeur, coûte que coûte. Leur seule échappatoire: fuir, le plus loin, le plus vite possible.
Car le virus mute à très grande vitesse: il est désormais capable de penser…
À son réveil, Grégor est seul. Dans sa chambre, la métamorphose a déjà eu lieu, mais il conserve encore des préoccupations humaines, en particulier celle du temps. Il est en retard et craint l’impact négatif de ce retard sur son emploi.
Les trois membres de la famille Samsa frappent aux trois portes verrouillées de sa chambre. « Les familiers de Gregor sont ses parasites, qui l’exploitant, le grignotent de l’intérieur. Ils sont en quelque sorte les sarcoptesdu scarabée : c’est le désir pathétique de trouver quelque protection contre la trahison, la cruauté et la crasse qui a suscité la constitution de sa carapace, de sa cuirasse de scarabée, qui, à première vue, semble dure et sûre, mais se révélera, par la suite, aussi vulnérable que l’ont été sa pauvre chair et son pauvre esprit humain
Il a suffi que l’ordinateur d’un laboratoire ultra-secret de l’armée américaine fasse une erreur d’une nanoseconde pour que la chaîne de la mort se mette en marche. Le Fléau, inexorablement, se répand sur l’Amérique et, de New York à Los Angeles, transforme un bel été en cauchemar. Avec un taux de contamination de 99,4 %. Dans ce monde d’apocalypse émerge alors une poignée de survivants hallucinés. Ils ne se connaissent pas, pourtant chacun veut rejoindre celle que, dans leurs rêves, ils appellent Mère Abigaël : une vieille Noire de cent huit ans dont dépend leur salut commun. Mais ils savent aussi que sur cette terre dévastée rôde l’Homme sans visage, l’Homme Noir aux étranges pouvoirs, Randall Flagg. L’incarnation des fantasmes les plus diaboliques, destinée à régner sur ce monde nouveau. C’est la fin des Temps, et le dernier combat entre le Bien et le Mal peut commencer.
Prétextat Tach est au seuil de la mort. Atteint d’une maladie grave, il sait que ses jours sont comptés. De nombreux journalistes le sollicitent afin d’obtenir LA dernière interview du génie littéraire qui, à présent, ne quitte plus son domicile plongé dans la pénombre.
Manipulateur et imbu de sa personne, il en sélectionne cinq, certain de tous les éconduire rapidement uniquement par sa verve.
Les quatre premiers -tous des hommes- échouent effectivement à l’examen d’entrée. Seule une jeune femme, fervente admiratrice de l’écrivain, réussira à le rencontrer et tentera de percer le mystère de cet homme…
Un psychopathe surnommé Buffalo Bill, sème la terreur en s’attaquant à des femmes, toutes de la même taille, qu’il tue, scalpe et écorche. Sur les indications de son patron, Clarice Sterling, une jeune élève flic, étudiante en sciences du comportement, est chargée de se rendre dans un hôpital psychiatrique pour y rencontrer Hannibal Lecter.
Grand criminel, Lecter est un sociopathe qui dévore les membres de certaines de ses victimes. Mais c’est aussi un psychiatre génial qui possède sans doute la clef qui permettra d’expliquer les terribles exploits de Buffalo Bill. Clarice le sait, mais lui, sait qu’elle le sait. Alors s’engage, entre elle et lui, un curieux et diabolique jeu du chat et de la souris. Lecter donne des indices — vrais ou faux ? Veut-il contribuer à l’arrestation du tueur fou ou, au contraire, égarer la police sur de fausses pistes. Le temps presse : Buffalo Bill vient d’enlever la fille d’un sénateur. Et voici que, sur ces entrefaites, Lecter parvient à s’évader, tuant à nouveau…
Gene est l’un des derniers humains sur Terre. Son seul moyen de survie : se faire passer pour l’un de ses prédateurs. Ne pas rire, ne pas transpirer, ne pas montrer qu’il est un « homiféré ». Cela fait dix-sept ans qu’il se fond parmi ceux qui n’hésiteraient pas à le tuer s’ils découvraient sa véritable nature.
Chaque décennie, le gouvernement organise un immense jeu où une poignée de privilégiés peuvent pister et dévorer les rares humains retenus en captivité pour l’événement. Sélectionné pour traquer les derniers des siens, Gene ne peut commettre le moindre faux pas. D’autant qu’une mystérieuse fille éveille en lui des sentiments qu’il n’a pas le droit d’avoir. Des sentiments qui pourraient le trahir.
Gene a la rage de vivre… mais vaut-elle le prix de son humanité ?
Abandonnés au fond de la forêt ou de hangars vétustes, des cadavres comme on n’en a jamais vu, mutilés de façon rituelle, porteurs de messages cabalistiques semblables à ceux que laissait derrière lui le Bourreau de Portland, avant qu’une balle dans la tête ne vienne à bout de sa carrière…
Le tueur serait-il revenu d’outre-tombe ? S’agit-il d’une secte particulière qui prélève toujours les mêmes morceaux du corps de ses victimes pour d’étranges cérémonies ? Des bibliothèques ésotériques aux égouts de la ville, l ‘inspecteur Brolin et une jeune étudiante en psychologie plongent dans une enquête infernale, tandis que la police scientifique et la médecine légale se perdent en conjectures.
Et peu à peu, des brumes mystérieuses de la Willamette River va surgir un secret effroyable que nos limiers devront affronter au péril de leur âme.
L’Ame du mal : un suspense implacable, un rythme palpitant, des découvertes hallucinantes, un dénouement spectaculaire et jusque-là, pour le lecteur, pas une seconde de répit.
Cas Lowood a hérité de son père une charge bien étrange : il tue les morts. Armé d’un poignard que lui seul peut maîtriser, Cas parcourt le monde accompagné de sa sorcière de mère et de son chat, véritable radar à fantôme.
Sa prochaine mission : anéantir Anna Korlov, dite « Anna vêtue de sang » . Encore vêtue de la robe qu’elle portait le soir de sa mort, l’esprit de la jeune fille hante la maison où elle a été assassinée. Malheur à quiconque ose s’aventurer de sa demeure : on n’en sort pas vivant.
Ce qui devait être un travail de routine se solde par un désastre. De chasseur, il devient la proie. Anna, la fascinante Anna, est bien plus puissante qu’il ne le pensait. Pourtant, elle a choisi de l’épargner… Pourquoi ? Qu’est-ce qui la rend si différente des autres fantômes ? Et qu’est-ce qui le pousse à remettre sa vie en jeu pour tenter de la tuer – ou de lui parler à nouveau ?
J’entends un murmure dans la nuit. Très distinctement. Tout près de mon oreille. Un rire d’enfant. Jamais un éclat de rire ne m’a paru aussi angoissant. Alors que j’allais m’endormir, une voix m’a chuchoté : « Fais de beaux rêves. »
Peu après son seizième anniversaire, Sunshine déménage avec sa mère à Ridgemont, dans l’état de Washington. Pour elle, rien n’est plus effrayant que cette ville, pleine de brouillard sous un ciel gris, même en été. Rien… Sauf peut-être leur nouvelle maison. Il y fait toujours froid, et il s’y passe des choses franchement bizarres. Sunshine ne croyait pas aux fantômes. Jusqu’à maintenant.
Sous ses dehors tranquilles, Gentry est une ville maudite. Tous les sept ans, un nouveau-né disparait, remplacé dans son berceau par une étrange créature.
Mackie est l’un de ces « remplaçants ». Ignorant tout de ses origines, il passe son temps à jouer de la basse et se rapproche de Tate, la fille aux yeux pailletés. Mais lorsque la petite soeur de celle-ci disparait, l’adolescent doit plonger dans les entrailles de Gentry pour la retrouver. Là-bas, il découvre un monde parcouru de tunnels pestilentiels, grouillant de monstres et de morts-vivants. Afin de briser la malédiction, Mackie devra livrer un combat à mort et trouver sa place, dans notre monde…ou dans le leur.
De belles pépites dans ton top !
ReMade est super ! Je l’ai récemment terminé et j’ai adoré.
La métamorphose est intéressante, mais mes souvenirs remontent au lycée (œuvre étudiée).
Hygiène de l’assassin est un bon livre psychologique qui m’a plu. L’un de mes Nothomb favoris.
Le silence des agneaux est un super « classique » d’horreur. *w* je valide !
Tes trois derniers choix me font bien envie !
fais toi plaisir hihi
J’avais adoré Hygiène de l’assassin 🙂
A part le Kafka (que j’ai lu au collège) et le Nothomb, les livre de ton top ten me tente vraiment
L’âme du mal m’avait bien fait cauchemarder^^ J’ai d’ailleurs arrêté de lire du Maxime Chattam, bien que j’adore son style, à cause de ça!
Tu m’as donné envie de découvrir Fille des Cauchemars ! J’espère que je parviendrai à oser le lire ^_^
mais oui 😉