Bonjour les petits choux!
Nous sommes en juin, et qui dit juin dit… masse critique gigantesque de babélio!
Cette fois, c’est la non-fiction qui est à l’honneur.
J’ai été très très raisonnable dans mes choix! Si si, je vous assure!! Voyez par vous-même…
« Les mots sont du vent. »
C’est une phrase qui peu à peu s’installe entre les pages de la saga de George R.R. Martin, Le Trône de Fer. On la retrouve aussi bien dans la bouche de Tyrion Lannister que de Daenerys Targaryen ou de Jon Snow, dans des contextes très différents. Mais sous la plume de George R.R. Martin, cette expression devient indice. Les mots sont du vent, c’est le rappel que les mots sont magiques, car polysémiques. Chargés de sens, mais de sens multiples et changeants.
Avant d’être un monde de dragons, de complots et de trahisons, l’univers de Trône de Fer est un monde de mots. Décrypter ces mots, et les multiples indices littéraires laissés par George R.R. Martin, permet de mieux comprendre les intrigues du livre et la portée de l’oeuvre.
George R.R. Martin est-il vraiment un écrivain à l’imagination fertile mais au style basique, comme on le croit trop souvent ? Comment a-t-il fait pour captiver autant de lecteurs avec des mots d’apparence si simples ?
Des procédés littéraires de l’auteur culte aux différentes théories qui en découlent, Les Mystères du Trône de Fer est un ouvrage incontournable pour comprendre pourquoi et comment George R.R. Martin a révolutionné l’écriture et la littérature de fantasy.
Arrière-petit-fils de Sitting Bull, Ernie LaPointe nous transmet le récit familial de la vie et la mort du célèbre chef indien. Issues de la tradition orale, ces émouvantes paroles bouleversent tout ce que nous pensions savoir de ce personnage mythique. L’auteur offre le récit limpide et simple d’une vie hors du commun : celle de Tatanka Iyotake, dit Sitting Bull, dont la sagesse, portée par le courage, guide les siens dans leur lutte contre les Wasicu, ces Blancs américains qui envahissent leur territoire. Il décrit un univers singulier : celui de la culture lakota, avec ses rituels, son rapport intime avec la nature, ses exigences, sa solidarité, son sens de l’honneur, sa dureté aussi parfois.
Fantômes, OVNIs, énigmes et monstres en tous genres, Le Bureau des mystères recense les plus incroyables histoires, dans la grande tradition populaire des recueils de récits qui tiennent en haleine les lecteurs de tous âges et de tous horizons.
Ainsi, vous visiterez le phare de Tévennec, au large des côtes bretonnes. La légende raconte que ses occupants deviennent fous et qu’on y entend des cris lugubres, prêtés aux âmes des naufragés. Vous découvrirez également les sœurs Fox, deux adolescentes américaines qui ont été les premières à invoquer les morts autour d’une table. Ou encore le mystère de l’homme à la hache à la Nouvelle-Orléans, cet étrange personnage animé de deux passions : écouter du jazz et fendre des crânes en deux.
Que vous croyiez ou non aux fantômes, que vous pensiez que les extraterrestres sont parmi nous ou que vous ayez l’esprit cartésien, la lecture de ces histoires vous fera frissonner à coup sûr.
C’est l’histoire d’un homme qui voulait être aimé par tout le monde.
Qui va être happé trop tôt par le show-business. Qui va s’afficher en sourire devant le public pour mieux se cacher dans les ombres de la nuit. Qui va s’y brûler… pour suivre aujourd’hui un chemin plus serein.
C’est l’histoire d’un homme qui a trouvé un moyen infaillible pour attirer l’attention sur lui : faire rire.
Qui en a fait son métier. Avec succès.
Qui a appris l’humour à l’école du théâtre de boulevard et de son idole, Jacqueline Maillan.
Qui a joué au Scrabble pour amuser des salles entières.
Qui a ouvert sa porte à de jeunes humoristes pour les mettre en lumière.
C’est l’histoire de Pierre Palmade… par lui-même.
Attachant, intelligent et toujours drôle, il se dévoile ici pour la première fois avec sincérité, sensibilité et pudeur.
C’est l’histoire d’un homme qu’on aurait beaucoup de mal à ne pas aimer.
La vie… vous vous attendiez à quoi, sérieusement ? Non, vous ne comprendrez jamais votre sœur aux cheveux roses qui tricote des mitaines, votre collègue ne se limera pas les ongles qui rayent le parquet et votre plan Q restera à sa place dans l’alphabet. Il y a les petits tracas et les gros drames de l’existence, la famille que l’on ne choisit pas, l’envie de réussir, les relations douteuses, qui mènent parfois au fond du trou plutôt qu’au septième ciel. Comment sortir la tête de l’eau, jongler entre le passé et les rêves, quitter la jungle sentimentale et peut-être même kiffer la vie, sans se taper dix ans de psy, consulter un neuro-quelque-chose, ou prier pour croiser le bon Dieu ou le Dalaï Lama (ou au mieux, un lama) ? Anne Wehr nous confie ses trucs essentiels pour mener une vie simple, saine, sereine, (re)belle, avec légèreté, dans un livre illustré plein de bon sens, d’humour et de bienveillance.
16 mai 1770. Marie-Antoinette épouse à Versailles celui qui deviendra Louis XVI. D’abord émerveillée par les fastes de la cour, la jeune dauphine se lasse rapidement des devoirs de sa charge. Pour fuir les contraintes imposées par l’étiquette, elle se retire dès qu’elle le peut en compagnie de quelques privilégiés, le cercle des favoris de la reine.
Alors que nul n’ignore ses déboires conjugaux, la reine est vue à Paris au bal de l’Opéra avec le comte d’Artois, à Versailles avec le beau Lauzun, volage et inconstant, avec le médisant baron de Besenval, le capricieux comte de Vaudreuil, le docile comte Esterhazy, ou encore le ténébreux comte de Fersen.
Loin de garder la réserve habituelle des reines de France, Marie-Antoinette entend vivre comme bon lui semble, malgré les fréquentes remontrances de l’impératrice Marie-Thérèse. Elle goûte par-dessus tout la joie de retrouver ses amis en des lieux fermés au reste de la cour, voués à l’intimité et au délassement : « Ici je ne suis pas la reine, je suis moi. »
À la cour comme à la ville, les rapports de Marie-Antoinette aux hommes font beaucoup jaser – ce qui n’empêche pas nombre de courtisans de briguer la place de favori dans son cœur. De Versailles à Trianon, les intrigues se nouent et se défont entre les candidats et leurs soutiens, au gré des caprices de la reine.
Vous avez l’impression que votre enfant a débuté sa crise d’adolescence beaucoup plus tôt que les autres ? Vous ne savez plus quoi faire pour qu’il se couche à des heures décentes ? Vous angoissez parce qu’il fait tous ses devoirs au dernier moment ? Vous le trouvez démotivé et craignez qu’il ne décroche au collège ? Ce petit guide est pour vous ! Béatrice Millêtre, l’une des meilleures spécialistes des « hauts potentiels », y donne des conseils pratiques, des pistes de réflexions, des informations scientifiques pour l’aider à réussir sans se perdre dans une compétition qu’il déteste, élaborer ses propres façons de faire et, à cet âge où l’on veut être « comme tout le monde », s’accepter tel qu’il est. Votre rôle est crucial dans la réussite de votre enfant, ne minimisez pas l’influence que vous avez sur lui. Et surtout, parents, faites-vous confiance, faites-lui confiance !
Les mémoires à peine croyables d’une hôtesse de l’air !
S’il est un métier qui fait fantasmer, c’est bien sûr celui d’hôtesse de l’air ! Depuis une quinzaine d’années, Isabelle Tronquet exerce sur les vols long-courriers d’une célèbre compagnie aérienne et accueille ses passagers avec un large sourire. Parfois, cependant, son métier réserve bien des surprises et les vols ne sont pas tous de tout repos ! Passagers insupportables, questions idiotes, disputes, dragueurs invétérés, demandes délirantes et rencontres improbables peuvent embarquer, au grand désespoir des membres de l’équipage…
Il s’en passe de belles en plein vol !
Paris, New York, Cuba, Tokyo, Bali… Isabelle Tronquet parcourt le monde et raconte ces anecdotes incroyables mais vraies avec humour, émotion et style. Son témoignage inédit va vous étonner. Une chose est sûre, vous ne monterez plus jamais à bord d’un avion sans penser à ce livre…
Alors, attachez bien vos ceintures… quelques turbulences s’invitent parfois en cabine !
« Du moment que vous les défendez, vous partagerez leur sort ! »
Et pour n’avoir jamais transigé avec qu’elle appelait les « valeurs premières », Adélaïde Hautval, dite Haïdi, va devoir traverser l’enfer et survivre à 37 mois d’emprisonnement et de déportation.
En sa qualité de médecin, à Auschwitz, elle est affectée au Revier (l’infirmerie) où elle soulage et soigne avec ses maigres moyens. Dans les cas les plus graves, elle s’arrange pour maquiller le diagnostic et permet ainsi à nombre de ses patientes d’éviter la chambre à gaz.
Elle doit aussi travailler au sinistre Block des expériences médicales sur la stérilisation. Elle réussit d’abord à ne faire que soulager les jeunes martyrisées, témoin des horreurs perpétrées par les médecins SS. Mais quand elle reçoit l’ordre de prêter la main aux actes criminels, elle refuse, s’opposant frontalement aux nazis.
Caroline du Nord, 1936. À 3 ans, Eunice Waymon, petite fille noire infiniment douée, donne son premier concert dans une église. Elle a su jouer du piano avant même de marcher. À 10 ans, elle lutte déjà contre la ségrégation : lors d’un récital, elle refuse de jouer si ses parents ne sont pas assis au premier rang, comme les Blancs. À 18 ans, elle veut devenir la plus grande concertiste classique noire, mais – à cause de la couleur de sa peau ? – son rêve se brise.
Alors elle se rebaptise Nina Simone et, des bars crasseux jusqu’au Carnegie Hall, elle va connaître la gloire. De sa voix puissante, chaude et mystique, elle invente un langage unique, entre jazz, classique, soul et gospel. Amie de James Baldwin, elle chante pour défendre les droits des Noirs aux côtés de Martin Luther King. Mais la vie est violente avec cette écorchée vive : déboires sentimentaux, cupidité de l’industrie du disque, mort de ses frères de combat, difficulté à être une bonne mère… Nina flambe son argent et sombre dans les troubles psychiques.
Des États-Unis jusqu’au Sud de la France, en passant par Londres, l’Afrique et les Pays-Bas, les auteures, mère et fille à la vie, sont parties sur ses traces. Elles nous offrent le portrait inédit d’une artiste magistrale en quête d’absolu et de liberté.
Et vous, sur quoi avez-vous craqué?
Les favoris de la reine me tente beaucoup 🙂
Pas mal de titres me plaisaient également dont Sitting Bull et Nina Simone. Croisons les doigts !
Nous avons « merci la vie » en commun
Je n’ai pas participé à l’opération Masse critique ce mois-ci, cela fait d’ailleurs quelques mois que je ne l’ai pas fait! J’attends que les thèmes m’intéressent davantage 🙂
J’espère que tu seras sélectionnée.
Ah, tu as choisi de très belles choses, je croise les doigts pour toi !
Je n’ai sélectionné aucun de ces titres, mais je te souhaite bonne chance pour le résultat !
Il y a des livres qui ont l’air bien sympa!
Comme souvent, je me suis rappelée la masse critique un peu tard et pas mal des titres que j’avais repérés n’étaient plus disponibles mais comme toi, j’ai quand même trouvé mon bonheur 🙂