Voici les quelques sorties littéraires qui me tente en ce mois de septembre.
Quand Tatiana rencontre Eugène, elle a 14 ans, il en a 17 ; c’est l’été, et il n’a rien d’autre à faire que de lui parler. Il est sûr de lui, charmant et plein d’ennui, et elle timide, idéaliste et romantique. Inévitablement, elle tombe amoureuse, et lui, semblerait-il, aussi. Alors elle lui écrit une lettre ; il la rejette, pour de mauvaises raisons peut-être. Et puis un drame les sépare pour de bon. Dix ans plus tard, ils se retrouvent par hasard. Tatiana s’est affirmée, elle est mûre et confiante ; Eugène s’aperçoit, maintenant, qu’il ne peut plus vivre loin d’elle. Mais est-ce qu’elle veut encore de lui ? Songe à la douceur, c’est l’histoire de ces deux histoires d’amour absolu et déphasé – l’un adolescent, l’autre jeune adulte – et de ce que dix ans, à ce moment-là d’une vie, peuvent changer. Une double histoire d’amour inspirée des deux Eugène Onéguine de Pouchkine et de Tchaïkovski – et donc écrite en vers, pour en garder la poésie.
Mycroft Holmes, diplomate, frère aîné de Sherlock et diplômé de Cambridge, entretient des liens forts avec l’île de Trinité, où est né son meilleur ami Cyrus Douglas et a grandi sa fiancée, Georgiana Sutton. Bientôt, de mystérieuses disparitions surviennent, des empreintes étranges apparaissent dans le sable et des enfants sont retrouvés vidés de leur sang. Le trio mène l’enquête.
Hôpital psychiatrique de Gaustad, Oslo. À l’aube d’une nuit glaciale, le corps d’un patient est retrouvé étranglé dans sa cellule, la bouche ouverte dans un hurlement muet. Dépêchée sur place, la troublante inspectrice Sarah Geringën le sent aussitôt : cette affaire ne ressemble à aucune autre…
Et les énigmes se succèdent : pourquoi la victime a-t-elle une cicatrice formant le nombre 488 sur le front ? Que signifient ces dessins indéchiffrables sur le mur de sa cellule ? Pourquoi le personnel de l’hôpital semble si peu à l’aise avec l’identité de cet homme interné à Gaustad depuis plus de trente ans ?
Pour Sarah, c’est le début d’une enquête terrifiante qui la mène de Londres à l’île de l’Ascension, des mines du Minnesota aux hauteurs du vieux Nice.
Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va lier son destin à celui d’un journaliste d’investigation français, Christopher, et découvrir, en exhumant des dossiers de la CIA, une vérité vertigineuse sur l’une des questions qui hante chacun d’entre nous : la vie après la mort…
Et la réponse, enfouie dans des laboratoires ultrasecrets, pourrait bien affoler plus encore que la question !
L’histoire commence quand l’auteur retrouve la trace de son arrière-grand-oncle Albert sur les stèles du mémorial de la Shoah. Mais pourquoi Albert Achache a-t-il changé de nom ? Pourquoi s’appelle-t-il Achache-Roux ?
Alors, loin des certitudes et des légendes familiales qu’on se passe d’une génération l’autre, de l’Algérie française à la diaspora juive, l’auteur découvre la viecincroyablement audacieuse de cet homme qu’elle a toujours aimé, sans le connaître.
Qui est vraiment « oncle Albert » ? Est-il un ambitieux né dans l’Algérie de la colonisation et parti à l’assaut de la Riviera ? Un charmeur aux allures ambiguës dans la France des années folles ?
De Tlemcen à Auschwitz, Brigitte Benkemoun reconstitue la trajectoire mystérieuse d’un enfant du siècle, ébloui par la France, la République et le progrès. Et le destin de ce jeune juif, au-delà de la tragédie personnelle, nous émeut. Oncle Albert, si différent, c’est chacun d’entre nous.
En cet été 1938, Miles et Cecily devaient partir en vacances à Zurich avec leurs enfants, mais la situation est désormais bien trop préoccupante. Cecily se rend pourtant à Berlin, décidée à aider la famille de son assistante, Greta, à s’évader.
Pendant six terribles années de bombardements, de privation et de chaos, les Ingham et les Swann se protègent et s’entraident. Le destin de Cavendon est loin d’être assuré, le manoir subissant alternativement les coups de chance et les coups durs. Ils supporteront ces aléas comme ils l’ont toujours fait, prêts à repartir de zéro s’il le faut.
1875. Dans le but de favoriser l’intégration, un chef cheyenne, Little Wolf, propose au président Grant d’échanger mille chevaux contre mille femmes blanches pour les marier à ses guerriers. Grant accepte et envoie dans les contrées reculées du Nebraska les premières femmes, pour la plupart » recrutées » de force dans les pénitenciers et les asiles du pays. En dépit de tous les traités, la tribu de Little Wolf ne tarde pas à être exterminée par l’armée américaine, et quelques femmes blanches seulement échappent à ce massacre.
Parmi elles, deux sœurs, Margaret et Susan Kelly, qui, traumatisées par la perte de leurs enfants et par le comportement sanguinaire de l’armée, refusent de rejoindre la » civilisation « . Après avoir trouvé refuge dans la tribu de Sitting Bull, elles vont prendre le parti du peuple indien et se lancer, avec quelques prisonnières des Sioux, dans une lutte désespérée pour leur survie.
Le journal d’un explorateur lance Peter Holliday, professeur d’histoire à West Point, en quête de l’Arche d’alliance. L’aventure risque de ne pas être de tout repos. C’est en effet au cœur de l’Amazonie qu’une société secrète fondée par les Templiers s’est retirée il y a plus de cinq cents ans afin de protéger ce mystère bien gardé. Entre les pilleurs de tombes et les tribus hostiles, le professeur Holliday fait-il là son dernier voyage ?
Et vous, par quoi êtes-vous tentés?
Je ne connaissais aucuns romans alors merci pour les découvertes 🙂
Et La cité perdues des templiers m'a l'air vraiment pas mal 😀