Le temps d'un café

Palm de septembre 2016

Hello!!
Comme vous, certainement, j’ai une Pal mensuelle de prête.
Voilà ce que j’ai prévu de lire en septembre.

À douze ans, Bobby passe ses nuits à répertorier cheveux, vêtements et autres traces de la vie de sa mère en attendant son retour… qui ne viendra pas. Cette dernière est morte brutalement, et le jeune garçon n’est pas prêt à l’accepter. Battu par son père, Bobby se croit seul au monde jusqu’au jour où il rencontre Val et sa fille handicapée, Rosa. Tous trois nouent des liens très forts et passent un été magique parmi les livres du bibliobus où Val est femme de ménage.
Mais, bientôt, une rumeur sur la nature de la relation entre la mère célibataire et l’adolescent se propage dans la ville. Contraints de s’enfuir à bord de la bibliothèque ambulante, ces êtres égratignés par la vie vont s’embarquer dans une aventure pleine de rebondissements, digne des « classiques » qu’ils ont pris l’habitude de dévorer…

Un brin délurée et paresseuse, sans un sou en poche et totalement accro du shopping. Voilà Lizzy Sullivan, 29 ans, une jeune femme incapable de garder un emploi et encore moins une relation amoureuse. Mais Lizzy en assez d’attendre que le bonheur lui tombe dessus. Elle décide donc de passer à l’action. Et réussit à se faire embaucher comme styliste pour une grande marque de chaussures en s’inventant un CV et des compétences qu’elle est très loin d’avoir. Après tout, un mensonge n’a jamais fait de mal à personne… A condition de ne pas confier ses secrets à n’importe qui, surtout pas à un collègue un peu trop séduisant. Des petits mensonges certes, mais de grands désastres en perspective…
Une comédie romantique pétillante et drôle avec une délicieuse french touch !

Sur le chemin de l’Afrique Occidentale Britannique, où il est envoyé en mission, John Clayton, lord Greystoke, est abandonné, avec son épouse, sur une côté africaine sauvage par les mutins du navire sur lequel il avait embarqué.
C’est là que va naître l’enfant qui, sous le nom de Tarzan donnera naissance à l’une des fabuleuses sagas d’aventures de la littérature contemporaine.
Dans ce premier volume, qui sera suivi de vingt-trois autres, Edgar Rice Burroughs, le génial créateur de ce mythe devenu universel, nous donne littéralement à voir un spectacle inouï : celui d’un enfant d’homme élevé chez les singes qui, bien que prenant peu à peu conscience de sa différence, n’en devient pas moins le roi des singes avant d’être reconnu comme le seigneur de la jungle.
Son enfance, son adolescence et le début de son âge d’homme passeront par de multiples aventures merveilleuses, que vous allez découvrir, jusqu’à ce que l’humanité qui est en lui le pousse à partir à la recherche de ses semblables. C’est alors qu’il rencontrera Jane qui, en l’épousant, deviendra, elle aussi, l’un des principaux personnages du mythe.

Dans l’imagination populaire, la grande vague hystérique de sorcellerie, de sabbats et de procès terrifiants de cruauté, avec leurs interrogatoires sadiques et l’horrible issue du bucher, est indissociable de l’image d’un Moyen Âge obscurantiste.
Or, la majorité des hallucinants procès de sorcellerie se déroulèrent du XVe à la fin du XVIIIe siècle et servirent à focaliser, sur des boucs émissaires, la colère d’une population mise à mal par les famines et les guerres interminables.
Le dégoût et la peur qu’inspirent les maléfices – potions répugnantes, meurtres rituels d’enfants,… – au peuple justifient des exorcismes obscènes et des procès accompagnés de tortures effroyables. Cependant, derrière ce tableau effarant de la sorcellerie « ordinaire », se dessine une autre réalité, celle des faux procès de sorcellerie qui sont en fait des règlements de comptes politiques déguisés, bien plus nombreux qu’on le pense. Cet autre visage de l’usage d’accusation de sorcellerie recèle bien des surprises et révèle de curieux mystères…

Londres, 1889. Quand une victime du choléra est retrouvée dans la Tamise, le Dr Anton Kronberg, bactériologiste de son état, est appelé pour confirmer les causes du décès. Toutes les précautions sont prises pour éviter une épidémie. Les choses auraient pu en rester là si les résultats intrigants de l’autopsie n’avaient poussé Kronberg à s’intéresser de plus près à cette affaire. Alors que Scotland Yard souhaite classer ce cas, Kronberg se rapproche de Sherlock Holmes. Et il ne faut que peu de temps au célèbre détective pour percer le secret du médecin qui, en réalité, est… une femme. Un secret qui pourrait la mener droit en prison s’il venait à être révélé. Mais tous deux vont unir leurs forces pour débusquer un criminel aussi redoutable que Jack l’Éventreur…

L’histoire vraie d’Arielle, jeune Québécoise, fugueuse à 14 ans, devenue malgré elle esclave sexuelle. Elle lutte aujourd’hui pour le droit des femmes, et pour la reconnaissance politique du trafic humain.
A seulement 14 ans, Arielle Desabysses claque la porte du domicile familial, avec l’espoir d’une vie meilleure et des rêves plein la tête. Arrivée à Montréal, désorientée, épuisée, elle se réfugie sur le banc d’un parc. Trois heures plus tard, elle est réveillée par quelqu’un qui fouille dans son sac, puis est violée et battue par deux hommes. Secourue par un inconnu qui lui offre son aide, elle se réveille à nouveau dans un lit, nue, écrasée sous un corps. Elle reprend conscience dans une ruelle, à plat ventre sur l’asphalte.
C’est le début d’un long cauchemar qui l’entraînera malgré elle jusque dans un réseau de trafic humain, où les jeunes filles de son âge deviennent des esclaves sexuelles.
Il lui faudra tout le courage et toute la volonté du monde pour sortir de cet enfer.

Dix ans après son mariage, dans un cas historique qui a secoué la nation américaine et mené à la réécriture des lois, Ann a divorcé de son puissant mari mormon, prétextant la négligence et les traitements cruels.
En 1876, Ann Eliza a publié une autobiographie intitulée « Wife n° 19 ».
Elle explique la raison de son écriture : « Si j’entreprends la rédaction de cet ouvrage, c’est pour montrer au monde le véritable visage du mormonisme et dénoncer les pitoyables conditions de vie de ses femmes, réduites au pire esclavage qui soit. Ce n’est pas seulement leur corps qui
leur est ravi, mais également leur âme. »
Son autobiographie est un document poignant révélant comment Brigham Young, président de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, et d’autres hommes mormons vivaient à la tête de nombreux ménages, visitant leurs femmes tour à tour, devenues de véritables servantes.
Ann Eliza Young a parcouru les États-Unis pour expliquer la dégradation de la polygamie et du mormonisme, mais aussi pour révéler la véritable personnalité de Brigham Young lui-même. Elle a témoigné devant le Congrès américain en 1875. Ses remarques ont contribué à un passage de la loi qui a réorganisé le système judiciaire du territoire de l’Utah, aidant le gouvernement fédéral à poursuivre les polygames.

1955. Un orage musical de 180 secondes secoue la planète : c’est la naissance du rock’n’roll. Finis les chanteurs guimauves. Phénomène sans précédent, le « Rock around the clock » de Bill Haley met le feu aux poudres. Il est l’homme par qui tout est arrivé : plus jamais la musique ne sera la même.
Dans son sillage, s’engouffre une génération spontanée de musiciens inconnus qui se met à inonder le monde de sons nouveaux, de rythmes qui réveillent les plus endormis. Pour une fois, la musique n’adoucira pas les moeurs, elle va les bouleverser. Des millions de jeunes vont surfer sur ces rythmes violents et parfois provocants pour clamer leurs frustrations, secouer le joug séculaire des parents, affirmer leur droit d’exister, de penser, de s’exprimer et de devenir à leur tour des citoyens.
Rockstars et popstars, portées aux nues, deviennent les porte-parole d’une jeunesse pressée de vivre et de se faire entendre. Pour mériter leur statut d’idoles, ces artistes devront souvent se livrer à une surenchère de décibels, d’originalité, d’excès en tout genre. Certains n’ont pas survécu à la gloire, d’autres sont devenus des « papys » du rock, des vétérans du showbiz. Leurs noms s’inscrivent en lettres de feu au panthéon de l’Olympe musical.

Au début des années 80, le downtown de New York est le centre de l’univers, un terrain de jeu revêche, encore hermétique à la menace de l’embourgeoisement. Artistes et écrivains s’y mêlent dans des squats insalubres où leurs rêves de reconnaissance prennent des formes multiples. Parmi eux, Raul Engales, un peintre argentin en exil, fuyant son passé et la « guerre sale » qui a enflammé son pays. S’affamant pour payer son matériel, il peint le jour d’immenses toiles mettant en scène les spectres qu’il croise la nuit. Un soir, il attire l’attention de James Bennett, critique d’art en vogue du New York Times, proche de Basquiat, Warhol et Keith Haring. Tandis que l’ascension fulgurante de l’un entraîne l’autre sous les projecteurs, une double tragédie les frappe. Dans ce chaos, Lucy, l’amante enjouée de Raul, échappée d’une obscure banlieue de l’Idaho, tente de les extraire de leur détresse. Entre peintre, critique et muse se dessine alors un triptyque
amoureux étourdissant.
Avec une écriture inventive d’une grande force poétique, Molly Prentiss explore la nécessité de beauté, de partage, de création et d’amour dans un paysage urbain et mouvant.

Et si choisir un amant à sa femme était le meilleur moyen de ne pas la perdre ?
De son propre aveu, Felix Quinn est un homme parfaitement heureux. Il détient l’une des plus anciennes boutiques de livres rares de Londres et prend un plaisir infini à se plonger dans des textes oubliés. Marié à la divine Marisa, il en est éperdument amoureux, mais une crainte grandit en lui : la perdre. L’enfance de Felix lui a appris que l’amour ne va pas sans la perte, il choisit donc de la devancer en orchestrant la propre trahison de son épouse. Ainsi Marius, minutieusement choisi par Felix, entre-t-il dans la vie intime de Marisa. Felix pense alors embrasser une nouvelle forme de sérénité, or il se trouve aussitôt en prise avec un autre démon : la jalousie.
Et vous, qu’avez-vous prévu de lire?

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