Eh oui, comme beaucoup d’entre vous, je n’ai pu m’empêcher d’aller fouiner dans les prochaines sorties qui vont faire leurs apparitions dans les librairies, dès les prochains jours.
Nous voilà parti pour un joli petit tour d’horizon de mes futures envies
A bientôt 18 ans, Cassiopée est contrainte de quitter l’orphelinat où elle vit depuis l’accident qui a tué sa mère. Seule au monde est lâchée dans la ville, elle a la désagréable et persistante impression d’être suivie…
Un soir, elle est violemment agressée par deux inconnus. Très mal en point, elle est sauvée de ce mauvais pas par un mystérieux et séduisant garçon, Gabriel. Leur rencontre n’est pas un hasard. Grâce à lui, Cassiopée découvre sa véritable nature: elle appartient aux Myrmes, un peuple ailé doté d’incroyables pouvoirs sensoriels. En plein métamorphose, la jeune fille se lance dans cet univers totalement nouveau avec l’espoir de percer, enfin, les mystères de son passé.
Deux soeurs ne sauraient être plus différentes l’une de l’autre. Elinor, l’étudiante en architecture, privilégie les valeurs de la discrétion et de la modestie. Sa soeur Marianne, quant à elle, est impulsive et elle rêve de devenir artiste.
Mais quand la famille est contrainte de quitter Norland Park, leur maison bien-aimée, leur monde vole en éclats et leurs valeurs sont violemment mises à l’épreuve.
Elinor peut-elle rester stoïque en sachant que l’homme qu’elle aime est dans les bras d’une autre fille ? La foi de Marianne en l’amour sera-t-elle remise en cause par sa rencontre avec le garçon le plus séduisant de la région ? Et dans un monde où les médias sociaux sont l’arbitre de tout, l’amour peut-il triompher des conventions et du scandale ? Cette histoire de passage à l’âge adulte revisitée par Joanna Trollope à l’heure de l’iPod et de Twitter montre que certaines choses ne changent jamais…
Paris, 1919. Les leaders mondiaux se sont réunis pour reconstruire sur les cendres de la grande guerre. Mais pour une femme, la ville lumière recèle de sombres secrets et les liaisons dangereuses, dont beaucoup pourraient le payer très cher. Présentée à la Conférence de paix de son père, un diplomate allemand, Margot Rosenthal initialement en veut d’être prise au piège dans la capitale française, où elle est toujours considérée comme l’ennemi. Mais comme elle envisage de retourner à Berlin et d’avoir une vie avec Stefan, son fiancé blessé, elle décide que vivre à Paris n’est pas si mal après tout. Ennuyée et déchirée entre le devoir et le désir d’être libre, Margot frappe des alliances improbables : Krysia, un musicien accompli avec des connaissances radicales et un secret à protéger ; et avec Georg, le beau, et endommagé officier de la marine qui donne à Margot un emploi — et aussi une raison de douter de tout de ce qu’elle pensait connaître où sa vraie loyauté devrait se situer. Dans le contexte de l’un des événements plus marquants du siècle, une délicate toile de mensonges obscurcit la ligne entre les victimes de la guerre et du cœur, faire confiance, un luxe que personne ne peut se permettre.
» Je rejoins Maman dans la maison fraîche. Elle poursuit son patient travail de tri : le tas des choses à jeter, le tas des choses à conserver, le tas des choses pour lesquelles on verra plus tard. Qu’est-ce qu’il m’a pris de me mettre à quatre pattes pour regarder sous la grande armoire ? Ma main a tiré à elle une énième boîte à chaussures. J’ai soufflé la pellicule de poussière qui recouvrait son couvercle avant de le soulever. «
Réunies durant quelques jours à la campagne à l’occasion des funérailles de leur aïeule et amie, quatre générations de femmes partagent leur intimité et leur deuil. La jeune Lia découvre par inadvertance un secret de famille jalousement gardé pendant soixante ans. Ces révélations risquent-elles de déclencher un cataclysme au sein de cette tribu très attachante ? Roman initiatique, Le Cercle des femmes explore avec délicatesse les mécanismes inconscients de transmission de mères en filles et nous offre une galerie de personnages aussi touchants que fantasques.
Né au-dessus du petit restaurant de son grand-père à Bombay, Hassan Haji grandit dans les senteurs de curry, entre les promenades dans les marchés aux épices et l’initiation à la bonne chère en compagnie de sa mère. Mais une tragédie pousse les siens à l’exil. Direction l’Angleterre, d’abord, et, par la force des choses, la France. Plus précisément Lumière, un petit village du Jura, où la famille Haji ouvre une gargote en face de l’auberge du Saule pleureur, propriété de Mme Mallory, chef émérite. Une guerre culturelle et culinaire s’ensuit, qui ne prendra fin que lorsque Mme Mallory, résignée, acceptera de reconnaître le talent du jeune Indien et le prendra sous son aile. Pour Hassan, c’est le début d’une initiation et du chemin qui le mènera à Paris vers de nouvelles aventures… Un roman picaresque plein de saveurs et de parfums, mais aussi une réflexion sur l’immigration et les différences.
Elevée sur l’île de Ceylan, où l’air tropical embaume les épices et les parfums d’orchidée, Alexa a toujours su que, pour se sentir vivante, il fallait être libre. Et non courir les bons partis dans les bals, comme le voudrait sa tante. Aux badinages des gens du monde, aux prétendants insipides, au destin d’épouse soumise, Alexa oppose une résistance farouche. Toute lady qu’elle soit, elle compte bien prendre son destin en main, s’instruire et, plus tard, aider son père à la plantation de café qui appartient à leur famille. Mais lorsque celui-ci lui révèle le mystère qui pèse sur sa naissance, toutes les certitudes d’Alexa s’effondrent. Soudain, une seule question importe : qui est-elle vraiment ? La réponse, elle va devoir aller la chercher bien loin de chez elle. Sous le soleil de Rome, dans les palais napolitains ou dans le Londres de l’Angleterre victorienne, Alexa n’aura désormais de cesse de suivre la piste de ses origines. En prenant garde de ne pas se perdre dans les bras de Nicholas Dameron, un vicomte orgueilleux et terriblement séduisant qui, depuis la première nuit où il lui a dérobé un baiser sous la lune de Ceylan, ne cesse étrangement de croiser son chemin…
Dans les profondeurs de la forêt, à l’abri de la haine des habitants du village voisin, Brusenna mène une existence paisible aux côtés de sa mère. Elle sait simplement qu’elle est une sorcière, une des Gardiennes de la nature qui contrôlent les éléments par la force de leur chant. Quand, un matin, sa mère l’abandonne pour aller combattre un ennemi dont elle ignore tout, le monde de Brusenna bascule.
Jeune et sans expérience, elle se retrouve seule dans un pays ravagé par la sécheresse, où se lève le vent de la guerre. Les Chasseurs ne tardent pas à la débusquer, car elle est désormais la dernière. La dernière des sorcières. Avec une seule mission : survivre. Et un seul allié, le Protecteur chargé de l’amener à bon port.
La dernière des sorcières parviendra-t-elle à empêcher leur chant de s’éteindre ? Sous la plume ensorcelante d’Amber Argyle, suivez Brusenna sur les routes d’un monde menacé, dans une quête où ses choix peuvent sauver ou condamner les Hommes !
« Passe-mondes. C’est ainsi que je me nomme et ce sera votre patronyme à présent. Vous serez bientôt le gardien du plus grand secret de l’humanité. Car les vivants existent. Mais les morts aussi »
Découvrez un univers parsemé de légendes fantomatiques, une vision de la mort terriblement décalée et hilarante. Laissez-vous porter par les pouvoirs du Passe-mondes et envisagez que ce qu’il se passe dans ces pages pourrait exister…
Parce que c’est le cas. Mais chut ! C’est un secret
Irlande, 1846. La famine touche durement la famille de Finnian O’Connell, jeune garçon d’une douzaine d’années. Son grand frère Shelagh convainc ses parents d’embarquer avec leur quatre enfants pour le Canada, en quête d’une vie meilleure. Après une traversée difficile, la famille parvient enfin à bon port. On leur attribue, comme à tous les émigrants irlandais qui arrivent en nombre, une concession. Là, ils doivent recommencer leur vie: construire leur maison avant l’arrivée de l’hiver, subsister par tous les moyens, grâce aux ressources de l’immense forêt. Mais les Indiens ne voient pas d’un bon œil ces nouveaux arrivants…
La jolie Gwen, sa voisine Mickey et les trois frères Holloran, Tim, Gordon et Sean. Cinq enfants, les meilleurs amis du monde à la fin des années soixante-dix à Dickeyville, une petite banlieue pavillonnaire de Baltimore.
Après l’école, ils allaient jouer dans les bois, derrière Leakin Park, là où les parents ne vous embêtent pas et où on se sent vraiment libre. Mais là où parfois, quand la nuit tombe, on peut aussi faire des rencontres. Des rencontres qu’on aurait préféré ne jamais faire.
Trente ans plus tard, Gordon vient de se tuer au volant de sa voiture. Les quatre autres se retrouvent pour la première fois après toutes ces années. Ce qui s’est passé cette nuit-là, ils n’ont jamais pu en parler. Ils n’ont pu que se séparer, s’enfuir au plus loin les uns des autres. Mais maintenant, la mort est là. Et le secret qu’ils ont enfermé dans un coin sombre de leurs mémoires pourrait bien revenir. Pour tout détruire …
Londres, 1888. Lorsque des cadavres de femmes mutilés sont repêchés dans la Tamise, le médecin-légiste Thomas Bond comprend qu un second tueur sévit dans les rues de Whitechapel. Or cet assassin paraît plus inhumain que Jack l Éventreur lui-même. Pour lutter contre ses insomnies, le docteur Bond passe ses nuits dans les fumeries d opium. Chaque nuit, un inconnu en noir vient examiner les rêveurs perdus dans les brumes opiacées. Pourrait-il être la clé du chaos qui s est emparé de la capitale¬? Avec déjà 12 romans publiés en Angleterre, Sarah Pinborough est aujourd hui comparée à des auteurs tels que Dean Koontz.
Tout est-il perdu ? Tara Duncan est épuisée. La puissance de sa terrible magie la met en première ligne pour lutter contre la comète qui tente toujours de dévaster les planètes démons et d’en collecter les âmes. Lentement, mais sûrement, les sortceliers plient sous les assauts incessants. Et les choses se compliquent, lorsque la reine des elfes est assassinée dans le Palais de Tingapour. Qui veut empêcher la reine de parler, et pourquoi ? Sans compter que l’histoire d’amour entre Tara et Cal est suffisamment fragile pour que la jeune femme doute. Robin parviendra-t-il à reconquérir le cœur de la belle héritière ? Envoyés en mission dans l’espace profond, Tara, le magicgang, mais aussi Archange, Maître Chem, Mourmur Duncan, Mara ou Selenba, vont déterrer un secret enfoui depuis plus de cinq mille ans. Par une ironie du sort, Tara sera-t-elle sauvée par son pire ennemi, Magister ? Ou alors est-ce encore un coup tordu du Sangrave pour dominer l’univers ? L’ultime combat vient de commencer. Et tous ne survivront pas. Dans ce dernier volume de la première partie du cycle Tara Duncan, Sophie Audouin-Mamikonian nous régale de sa plume magistrale et de son humour décapant pour nous faire vivre l’aventure finale de Tara la sortcelière et du magicgang. Mais ne vous fiez pas aux apparences, Tara et ses amis n’ont pas fini de vous surprendre..
Qui dit Joyau dit richesse. Qui dit Joyau dit beauté. Qui dit Joyau dit royauté. Mais pour les filles comme Violet, le Joyau est avant tout synonyme de servitude. Et pas n’importe quelle servitude : Violet est née et a grandi dans le Marais avant d’être formée dans l’optique de devenir Mère-Porteuse pour la royauté. En effet, au sein du Joyau, la seule chose qui prime sur l’opulence et le luxe, c’est la descendance…
Achetée par la Duchesse du Lac lors de l’Enchère des Mères-Porteuses, Violet est accueillie par une gifle. Désormais connue sous l’appellation #197, elle va rapidement découvrir la brutale réalité qui sous-tend l’étincelante façade du Joyau : cruauté, trahisons et violence sourde sont les méthodes de la royauté.
Violet doit accepter ce sinistre quotidien… et tâcher de rester en vie. Mais c’est alors que naît une romance interdite entre elle et un séduisant jeune homme, loué pour servir de compagnon à la nièce aigrie de la Duchesse. Bien que la présence de ce dernier vienne illuminer le sombre quotidien de Violet au coeur du Joyau, les conséquences de leur relation illicite vont dépasser ce qu’ils redoutaient…
Le long de la frontière du Tennessee, 1800-1825
Alors que la frontière avance inexorablement vers l’Ouest, Richardson, propriétaire terrien, fait un terrible constat : le Sud ne possède pas assez d’esclaves pour défricher ces nouvelles terres. Comment lutter contre la pénurie ? Comment limiter les coûts ? À l’heure où au Nord fleurissent les discours humanistes, les propriétaires du Sud ont de plus en plus de mal à alimenter leurs besoins en main d’oeuvre.
Arrivé d’Afrique dans le ventre de sa mère Mena, Washington – Wash – est de loin l’esclave le plus accompli de Richardson. Doté d’une beauté et d’une puissance scandaleuses, ce dernier représente depuis toujours un objet de fascination pour son maître. Et si le vieil homme pouvait créer une nouvelle génération d’esclaves aussi forts et solides que Wash ? Se pourrait-il que ce jeune Noir à l’air farouche et rebelle assure la fortune de Richardson ?
Propulsé étalon reproducteur, Wash est loué chaque vendredi aux propriétaires locaux pour honorer leurs esclaves femmes. Traité comme une marchandise de choix par son maître, Wash devient rapidement l’objet de toutes les haines des autres esclaves de la plantation qui jalousent sa condition. Combien de temps encore pourra-t-il supporter ces humiliations orchestrées par les Blancs ? Pourra-t-il jamais empêcher Richardson, rongé de solitude, de lui livrer ses confidences nocturnes ? Trouvera-t-il un jour la force de canaliser sa colère et ses souffrances ?
Marianne Daventry est invitée par sa soeur à passer l’été à Eden Brooke. Entre mauvaises rencontres et jeux de séduction, la vie à la campagne ne s’annonce pas de tout repos pour la jeune fille qui tombe rapidement sous le charme d’un séduisant inconnu.
Voilà les quelques livres, parmi tant d’autres il va de soi, que j’ai repéré jusqu’ici. Comme vous voyez, ma Pal risque de s’agrandir hihi
Et vous, quelles sont vos prochaines envies?
Il y en a tout plein tout plein qui me plaisent!!!!!!
Il y a pas mal de choses intéressantes!
Jolie liste! Bisous
Une jolie sélection, j'aime particulièrement la couverture du Milady !