Coucou les amis!
Voilà notre rendez-vous du dimanche!
C’est le jour où je vous montre toutes les futures belles lecture que j’ai reçu durant la semaine.
C’est parti!
Casterman
Alors quand il apprend qu’il y a dans le marais de l’argile jaune d’or, il part en pleine nuit avec son amie Olive la mini-chauve-souris, en quête de ce trésor.
Déterminée à trouver un remède pour sa sœur, Alise se lance dans une expédition jusqu’au monastère des hommes, à l’autre bout de la forêt. L’inconnu l’attend, et aussi une rencontre de taille pour une mini-loutre…
Sous le toit d’un immeuble, dans un vieux grenier, se trouve l’agence de détective de Raoul Pigeon. Avec son associée Arletty Lapie et son jeune apprenti, Moino, Raoul Pigeon est le meilleur enquêteur du quartier !
Aujourd’hui, Raoul doit retrouver le chapardeur de poissons qui a osé dévorer le succulent ragoût de thon de Pétaouchnok, le gardien d’immeuble. Suspect numéro 1 : Minouche, nouvelle arrivée dans le quartier. Mais si c’était un malentendu et que le coupable n’avait rien d’un chat ?
Sous le toit d’un immeuble, dans un vieux grenier, se trouve l’agence de détective de Raoul Pigeon. Avec son associée Arletty Lapie et son jeune apprenti, Moino, Raoul Pigeon est le meilleur enquêteur du quartier !
Pour une fois, Raoul prend un peu de repos à la campagne, dans le village de Coucou-les-Cuicui. Mais quelque chose ne va pas : le marquis de Coqualâne, le coq sur qui tous les habitants comptent pour se lever le matin, ne chante plus depuis ce matin. Et pour cause, on lui a volé son réveil. Raoul et ses acolytes mettront-ils l’aile sur le coupable ?
Gallimard jeunesse
2071. Entre chaleur équatoriale et alertes à la bombe, le monde est en proie à l’insécurité et son gouvernement semble en panne de solutions… Flic désenchanté, adepte du Paraddict, un univers virtuel où la liberté individuelle a encore une signification, Alvar Costa enquête sur un meurtre qui risque de révéler un projet politique particulièrement dérangeant. Mais il va devoir composer avec son frère Abel et leur sœur aînée, Elzé. Ces deux-là se sont fait une place dans les hautes sphères de la World Administration. Et ils entendent bien protéger à tout prix les secrets du gouvernement…
Netgalley
En pleine pandémie de grippe espagnole, l’ancien monde est en train de s’effondrer.
À la maternité, des femmes luttent pour qu’un autre voie le jour
1918. Trois jours à Dublin, ravagé par la guerre et une terrible épidémie. Trois jours aux côtés de Julia Power, infirmière dans un service réservé aux femmes enceintes touchées par la maladie.
Partout, la confusion règne, et le gouvernement semble impuissant à protéger sa population. À l’aube de ses 30 ans, alors qu’à l’hôpital on manque de tout, Julia se retrouve seule pour gérer ses patientes en quarantaine. Elle ne dispose que de l’aide d’une jeune orpheline bénévole, Bridie Sweeney, et des rares mais précieux conseils du Dr Kathleen Lynn – membre du Sinn Féin recherchée par la police.
Dans une salle exiguë où les âmes comme les corps sont mis à nu, toutes les trois s’acharnent dans leur défi à la mort, tandis que leurs patientes tentent de conserver les forces nécessaires pour donner la vie. Un huis clos intense et fiévreux dont Julia sortira transformée, ébranlée dans ses certitudes et ses repères.
Cat est partie s’installer à Los Angeles, loin de sa ville natale d’Edimbourg, et de sa sœur jumelle, El, dont elle est sans nouvelles depuis de longues années. La première partie de sa vie semble effacée de sa mémoire. Mais le jour où elle apprend la disparition inquiétante de sa sœur, elle décide de rentrer en Ecosse.
La police locale l’attend en effet pour l’interroger. Peu après son arrivée, des messages apparaissent en divers endroits de la maison, tels des indices dans une chasse au trésor. Tous font référence à Mirrorland, le pays imaginaire que les deux sœurs s’étaient inventé dans leur enfance, à la fois terrain de jeu et refuge personnel.
Qui sème ces indices ? Qu’est-il véritablement arrivé à El ? Cat comprend alors qu’elle devra déverrouiller sa mémoire pour comprendre le présent.
Whisper n’a pas le temps d’apprendre à devenir reine que le palais est assiégé. Malgré le danger, elle tente de rejoindre sa tante à l’autre bout du pays avec l’espoir de sauver le royaume.
Eden, retrouve enfin son père, au cœur d’une forêt ensorcelée. Sa mystérieuse invention, un casque extracteur de magie, attire de maléfiques convoitises !
Jadis voit ses pouvoirs prendre de l’ampleur et comprend qu’il ne pourra les apprivoiser qu’en levant le voile sur son histoire. Mais sa quête de vérité pourrait lui coûter la vie…
Plus que jamais, les trois héros devront rester unis et s’appuyer sur la confiance qu’ils se portent pour se dépasser dans les épreuves qui les attendent…
Suite et fin du premier tome événement.
Eliott est en maison de repos, sa mère vient de mourir. Cependant, il est clair pour lui que cette mort est suspecte, et qu’il ne s’agit pas du suicide qu’on veut lui faire croire. Lilas, une pensionnaire du centre, a un choc en voyant une photo de la mère d’Elliot : c’est une des apparitions qui la hante tous les jours. Elle comprend qu’elle a le don de voir les morts, ce que sa famille s’évertue à lui cacher depuis des années.
Les deux adolescents se lancent dans une double enquête, à la recherche de la vérité, au péril de leur vie…
Presses de la cité
Le Regard de Jeanne, ou l’union de deux solitudes et la traversée d’un monde disparu, celui des foires et des artistes itinérants, au XIXe siècle. Un magnifique roman d’initiation, de transmission, sur la vie, ses secrets, et un art naissant, la photographie.
Rien ne prédestinait Jeanne à cette vie-là.
Orpheline de seize ans, placée dans une ferme en Corrèze, elle a un jour le courage de fuir le destin tracé pour elle, entre servitude, ignorance et violence.
Le hasard lui fait croiser le chemin de Florimont, qui la prend sous son aile dans sa roulotte. Il lui enseigne son art, celui, magique et naissant, de la photographie en ces années 1860. De foires en villages, l’homme immortalise familles, demeures et paysages, et tient boutique l’hiver à Clermont-Ferrand. Jeanne tisse avec son mentor un lien quasi filial qui révélera leurs parts secrètes.
Et d’apprentissages en rencontres, Jeanne grandit, son regard s’affine…
Le Regard de Jeanne, traversée du monde disparu des foires et des artistes itinérants au XIXe siècle, est aussi le beau roman d’une émancipation.
C’est la deuxième fois que je vois Le pavillon des combattantes et cela me donne vraiment envie !
Très belles découvertes à toi 😉
Les jeunesse/YA me tentent bien 🙂
Bonnes lectures !