Ca y est, nous sommes en décembre. En me promenant sur les réseaux, je suis tombée sur une très chouette idée sur le site de Maven Litterae: Un calendrier de l’Avent permettant de parler de nos chers livres.
Une thèmatique par jour, du 1er au 24 décembre. J’ai eu très envie de participer!
Voici les 24 thèmes présentés
- Ma première lecture de l’année
- Le livre que j’attendais le plus
- Un auteur ou un livre (re)découvert cette année
- le titre le plus énigmatique
- le titre dont la lecture m’a éblouie
- Le livre pour lequel je réclame une suite
- La plus belle couverture
- Le livre que je n’aurais pas lu si…
- Le livre dont on a pas assez parlé
- Un livre qui m’a impressionné
- Un livre qui m’a beaucoup appris
- Le personnage que j’adorerais rencontrer
- Le personnage que je ne voudrais surtout pas croiser
- Le livre que tout le monde aime… sauf moi
- Le livre le plus original
- Le livre que j’aimerais voir tout le monde lire
- Mon plus gros pavé de l’année
- Le livre le plus addictif
- Le livre le plus émouvant
- Le livre le plus réconfortant
- Le plus beau livre
- Le livre le plus dépaysant
- Un prix littéraire lu cette année
- Un livre pour finir en beauté
23 décembre
Un prix littéraire lu dans l’année
Ouh là, c’est une sacrée colle! En général, je lis au feeling, en fonction de mes envies, des titres qui m’intriguent. Je ne m’arrête jamais au prix littéraire qu’un livre a reçu pour le choisir ou pas.
Du coup, il a fallu pour aujourd’hui faire un peu de fouille, pour découvrir si l’un des titres que j’ai lu en 2023 avait obtenu un prix.
Et… oui! Il y en a un (bon il y a en a peut-être d’autres, mais je n’ai pas chercher plus loin), ouf!
Il s’agit du
PRIX LITTÉRAIRE DE LA SOCIÉTÉ CENTRALE CANINE
- La jeune Sigrid, 12 ans, s’apprête à célébrer Noël avec sa famille et ses amis dans le petit village de Nome, au cœur de I’Alaska. Mais au même moment, une épidémie de diphtérie se déclare dans le village. Les victimes sont de plus en plus nombreuses et en cette saison hivernale le village se retrouve coupé du monde par une véritable mer gelée. Le seul espoir d’arrêter l’épidémie repose sur les épaules de Leonhard Seppala, le père de Sigrid, et son attelage mené par Togo, le chien préféré de la jeune fllle.
Commence alors pour Togo un périple de plus de 400 kilomètres dans des conditions extrêmes, pour rapporter au plus vite le sérum qui sauvera des vies.