Nouvelle-Zélande, 1880. Aroha, la fille de Linda (l’une des deux héroïnes du Chant des coquillages), mène une enfance heureuse dans l’orphelinat que dirige sa mère à Otaki, sur l’île du nord.
Mais un jour de septembre, alors qu’elle est âgée de quatorze ans, sa vie bascule. Elle réchappe de peu à un accident de train, au cours duquel son ami de toujours, Matiu, périt dans ses bras.
Depuis, Aroha traîne son chagrin. Pour l’extraire de sa solitude, Linda décide de l’envoyer à Rata Station, la ferme où sa sœur Carol élève des moutons. Aroha va apprendre à connaître ses cousins, Robin le rêveur et sa sœur March, aussi enjouée que déterminée.
Une amitié indéfectible va se nouer entre les deux adolescentes, à un moment de leur vie où il leur faudra faire un choix crucial…
Avec Sous la montagne de feu se referme la dernière trilogie maorie de Sarah Lark, qui voit trois générations de femmes d’une même famille lutter contre l’adversité et prendre leur destin en main.
580 pages
Merci à l’édition L’Archipel
Aroha a la vie devant elle. Elle est amoureuse, elle sait à quoi elle veut destiner sa vie. Mais tout bascule lors d’un déraillement de train. Elle y perd celui avec qui elle comptait passer sa vie.
Ce bouleversement va l’obliger à réorienter sa vie entière. Et celle-ci va être parsemée de bonheurs et de tragédies. Au travers de son regard, c’est tout un pan de l’Histoire australienne qui se dévoile.
Ce n’est pas un secret, j’adore la plume de Sarah Lark. Elle possède la formule parfaite pour nous créer des histoires vraiment intéressantes: des sagas familiales, des histoires d’amour et des aspects historiques intéressants.
Dans ce dernier tome de sa dernière trilogie, nous suivons Aroha dans ses pérégrinations. Entre son histoire personnelle et les lieux qu’elle découvre, je me suis trouvée happée par ma lecture.
Cette fois, Sarah Lark nous offre une découverte, en tout cas pour moi. En effet, l’histoire australienne est vraiment intéressante à plus d’un aspect, tant pour sa géographie que pour les traditions des peuples originaires des lieux. Et j’ai découvert une région du monde qui n’existe plus aujourd’hui: celle des terrasses blanches et roses. C’était un lieu hautement touristique, visitée par le monde entier. Les tribus maories ont grandement participé à ce tourisme, proposant des circuits de découvertes complets. Hélas, nous n’en avons plus trace aujourd’hui, à cause de l’éruption d’un volcan qui a eu lieu dans les années 1880. Il n’en reste aujourd’hui comme trace que les tableaux que certains ont réalisé avant la catastrophe et quelques rares photos.
Comme toujours, j’ai été charmée par ma lecture. Et malgré l’épaisseur de ce joli pavé, je l’ai lu en quelques jours.
Je referme cette saga en ayant l’impression d’en avoir eu plein les yeux. C’est bien la preuve que les descriptions sont vraiment magnifiques!
J’ai découvert sa plume avec fleurs de feu justement. Et j’ai bien envie de continuer ma découverte car comme tu le dis l’histoire australienne et intéressante et riche. Elle est aussi très peu étudiée et connue donc c’est croustillant.
ouiii j’adore ses romans! Bon voyage en Australie et en Nouvelle-Zélande alors 🙂