Edition: Milady Nombre de pages: 437 pages 0 % <iframe style= »width:120px;height:240px; » marginwidth= »0″ marginheight= »0″ scrolling= »no » frameborder= »0″ src= »//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ac&ref=tf_til&ad_type=product_link&tracking_id=aufildespage-21&marketplace=amazon®ion=FR&placement=2811224750&asins=2811224750&linkId=5f1b53678de5a31eeba8a4e892076d52&show_border=true&link_opens_in_new_window=true&price_color=333333&title_color=020c14&bg_color=f9d8d8″> </iframe><blockquote><strong>Résumé</strong>: C’est une vérité universellement reconnue que travailler avec son ex est une très mauvaise idée… Annie Elliot est loin de mener la vie dont elle avait toujours rêvé… Célibataire, la jeune femme est comptable, habite chez son père …
Jane Austen jugeait désuet l’engouement de son héroïne Catherine Morland pour les terrifiants chateaux moyenâgeux de Mrs radcliff et les abbayes en ruines du préromantisme anglais.
Parodie du roman gothique, satyre pleine de saveur de la société anglaise qui prenait ses eaux à Bath, Northanger Abbey est aussi le roman très austenien du mariage et très moderne du double jeu.
Nombres de pages: 165
Mon avis: Je m’essayais pour la première fois à l’un des livres de Jane Austen. Voulant faire les choses dans l’ordre, j’ai entamé le premier livre qu’elle a écrit: Northangger Abbey.
Catherine Morland, jeune fille ordinaire, se voit offrir l’occasion par des voisins, les Allen, de pouvoir profiter un séjour à Bath. Si elle arrive là-bas en ne connaissant personne, elle finit tout de même par se créer une amitié avec Isabelle Thorpe. Dans le même temps, elle fait la connaissance de Mr Henry Tilney, dont elle tombe secrètement amoureuse.
Les choses s’enchaînant assez vite, le frère de Catherine, James, fait sa demande à Isabelle, qui l’accepte. Pendant ce temps, le frère d’Isabelle a des vues sur Catherine, et est certain du fait qu’elle lui est promise.
Ayant ensuite fait la connaissance d’Eléonore Tilney, soeur de Henry, elle est conviée à passer quelques temps chez eux, à Northangger Abbey. De malentendus en réconciliation allant jusqu’à la demande en mariage, Henry et Catherine peuvent enfin s’aimer en plein jour.
J’ai été étourdie par le style d’écriture: beaucoup de circonvolution dans les dialogues (je suppose que c’était la mode à cette époque). Les petits évènements de la vie de Catherine s’enchaînent, et son petit coeur s’emballe régulièrement. Les conversations futiles sur tout et sur rien s’enchainent, et m’ont quelque peu détachés du livre.
Est-ce à penser qu’à l’époque de Jane Austen, les jeunes filles étaient si dénuées d’intérêt, et d’occupations, que pour discuter pendant un long moment d’un chapitre de livre?? Je me suis heurtée à un vrai choc de cultures pour le coup hihi
Bon, du coup, je n’ai pas été transportée, je l’avoue par cette première lecture. Après renseignements pris auprès d’autres lectrices, je pense que j’en essaierai un autre dans quelques temps.
Deux soeurs ne sauraient être plus différentes l’une de l’autre. Elinor, l’étudiante en architecture, privilégie les valeurs de la discrétion et de la modestie. Sa soeur Marianne, quant à elle, est impulsive et elle rêve de devenir artiste.
Mais quand la famille est contrainte de quitter Norland Park, leur maison bien-aimée, leur monde vole en éclats et leurs valeurs sont violemment mises à l’épreuve.
Elinor peut-elle rester stoïque en sachant que l’homme qu’elle aime est dans les bras d’une autre fille ? La foi de Marianne en l’amour sera-t-elle remise en cause par sa rencontre avec le garçon le plus séduisant de la région ? Et dans un monde où les médias sociaux sont l’arbitre de tout, l’amour peut-il triompher des conventions et du scandale ? Cette histoire de passage à l’âge adulte revisitée par Joanna Trollope à l’heure de l’iPod et de Twitter montre que certaines choses ne changent jamais…
Quand Joanna Trollope revisite le classique de Jane Austen dans une version moderne.
Edition Terra Nova
Nombres de pages: 367
Mon avis: La famille Dashwood, amputée du père de famille, décédé, se retrouve dans une situation précaire. Elle va se retrouver dépossédée de la maison qu’elle aime tant. Elinor, Marianne, Margaret, et leur mère Belle, réagissent chacune à leur manière, mais n’ont d’autres choix que faire face à la situation.
Un lointain membre de famille va les accueillir sur son domaine, dans un cottage entièrement remis à neuf pour elles. Le seul hic, c’est que cela les éloigne toutes de leurs écoles, et elles ne se retrouvent pour vivre, à quatre, avec une petite rente d’héritage. Ce qui est loin d’être évident.
Si Margaret n’a pas le choix que d’aller à l’école, vu son âge, Belle et Marianne sont complètement inconscientes quant à la précarité de leur nouvelle vie. Seule Elinor voit plus loin, et entreprend de chercher un emploi.
Evidemment Elinor et Marianne sont en âge de fréquenter. Mais Elinor n’a plus de nouvelles d’Edward depuis leur déménagement. Par contre, Marianne tombe sous le charme de Wills, qui lui semble l’homme parfait.
Si l’une tombe en désillusion après quelques temps et ne se remet pas de son chagrin d’amour, l’autre se cuirasse face à la déception et refuse de se laisser aller.
Cette réécriture de l’oeuvre de Jane Austen n’est pas mal écrite. Bien qu’elle soit remise dans un contexte plus récent, le fond reste le même: l’attente d’un bon parti, des domaines richissimes, et une famille désargentée.
Je ne dirais pas non plus que c’est un chef-d’oeuvre, mais il m’a fait passé un bon moment. Je n’ai pas vu les pages défiler, et je me suis plongée dans l’histoire d’Elinor et Marianne avec plaisir.
Le livre est également beau, la couverture agréable, et il représente tout à fait le récit. Le mélange des deux est parfait, j’apprécie beaucoup.
J’avais repéré ce livre lors de sa sortie, et je l’ai reçu en cadeau lors de mon swap de saint-nicolas. J’avoue ne pas être décue du tout de l’avoir découvert.
Samantha McDonough mène la vie sans surprise d’une bibliothécaire sans histoire. Un jour, elle fait une surprenante découverte. Un livre, déniché dans une petite librairie, qui va changer sa vie. Car entre ses pages se cache une lettre vieille de deux cents ans. Une lettre signée par l’une des plus grandes romancières anglaises : Jane Austen.
Voilà Samantha lancée sur la piste d’un manuscrit perdu, dans une course contre le temps, qui va la guider tout droit entre les murs d’un manoir magnifique, et entre les bras de son séduisant propriétaire…
Mon avis: J’aime beaucoup l’univers austinien, et donc quand ce livre a fait son apparition sur les étagères des librairies, j’ai fini par me laisser tenter.
L’histoire débute dans le milieu des livres: Samantha est bibliothécaire, spécialisée dans les livres concernant Jane Austen.
Voulant accompagner son compagnon en Angleterre, elle se déniche dans une petite librairie d’occasion un livre pour l’occuper durant son séjour.
Ce livre est loin d’être commun.. Il lui ouvrira les portes sur des trésors inexploités: Un manuscrit de Jane Austen elle-même!
Entre les partie du livre concernant Sam, plusieurs chapitres s’intercalent, comprenenant l’histoire que contient le manuscrit. Et là, ca devient génial!
En plus de l’épisode de la recherche du manuscrit que j’ai adoré (tiroir caché, bibliothèque immense, bâtiment inconnu et conservé,…), l’insertion d’une histoire du plus pur style austinien m’a ravi.
Les deux histoires finissent par être en miroir, et l’une intervient sur l’autre.
J’ai passé vraiment un très bon moment avec ce livre, que je vais garder bien précieusement dans ma bibliothèque pour avoir le plaisir de le relire d’ici quelques temps.
Il m’a d’ailleurs donné envie de rechercher d’autres livres concernant cet auteure célèbre.