Nombre de pages: 775 pages 0 % <iframe style= »width:120px;height:240px; » marginwidth= »0″ marginheight= »0″ scrolling= »no » frameborder= »0″ src= »//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ac&ref=tf_til&ad_type=product_link&tracking_id=aufildespage-21&marketplace=amazon®ion=FR&placement=B07V1FDCF9&asins=B07V1FDCF9&linkId=9bfe6f0f174755d471f0ef07c53cda1e&show_border=true&link_opens_in_new_window=true&price_color=333333&title_color=020c14&bg_color=f9d8d8″> </iframe><blockquote><strong>Résumé</strong>: 1910, Igor Kleinenberg, jeune professeur d’allemand d’origine estonienne, devient précepteur à la Cour impériale de Russie. Côtoyant au plus près le pouvoir jusqu’à sa chute, il assiste aux aléas du pays, aux manigances de l’aristocratie pétersbourgeoise, au cheminement inévitable vers la …
Juin 1918. » L’ange approche « , écrit dans son journal intime Alexandra, dernière impératrice de Russie, après quinze mois de captivité. Cet ange, un envoyé de Lénine, est un exterminateur dont l’épée s’abat un mois plus tard sur la tsarine, son époux Nicolas II, leurs quatre filles et l’unique héritier du trône, le tsarévitch Alexis, un adolescent de treize ans. La révolution bolchevique vient de tomber le masque. Y a-t-il des survivants ? Une semaine seulement après la mise à mort du 17 juillet 1918, les armées blanches ne trouvent à Ekaterinbourg que cendre et destruction. Quant au lieu présumé de l’inhumation, une mine en forêt, on n’y découvre aucun corps. Démembrés, dispersés, brûlés et enterrés, les restes des derniers Romanov demeureront introuvables jusqu’à la chute de l’URSS, donnant cours aux plus folles rumeurs. Il y aura presque autant de grandes-duchesses qu’il y eut de Louis XVII… Mais, le 22 janvier 2008, l’ADN a parlé. La sinistre forêt de Koptiaki vient de livrer son dernier mystère… C’est le récit de cette enquête scientifique et historique que livre Luc Mary, mais aussi la chronique d’un régicide annoncé : celui d’un tsar faible et influençable, promis à la chute dès le sacre, et dont la Révolution aura fait un martyr, puis un saint dont nul n’imaginait que les reliques seraient un jour vénérées sous les fenêtres de son ancien palais…
Edition: Archipel
Nombre de pages: 256 pages
Mon avis: Tout le monde a déjà entendu parler, au moins une fois dans sa vie, de la famille Romanov. Cette lignée de tsars de Russie, alliant magnificence, majesté et luxe ancien. Et chacun sait également comment leur histoire s’est terminée.
Je dois bien avouer que l’ensemble de l’histoire de cette famille si connue m’intéresse énormément. Notamment pour le mystère qui est resté longtemps non élucidé: Anastasia, l’une des filles impériales, aurait-elle survécu? Un mystère qui a défrayé les chroniques, puisqu’une jeune femme s’était présentée à Paris sous ce nom. Et qu’une enquête approfondie avait été ouverte, à cette époque.
Mais au-delà de cette énigme, je me suis souvent posé la question de savoir comment on pouvait passer d’une vie fastueuse à une existence misérable en si peu de temps. Luc Mary a dressé, dans son livre, un tableau aussi complet que possible, pour retracer la chronologie des événements.
Le tsar, Nicolas II, n’était pas une figure forte de la lignée Romanov. A l’inverse de ses prédécesseurs, durs, solides et affirmés, il privilégiait sa vie de famille à la direction de son empire. Il a négligé de nombreuses, et certains de ses contemporains à la Cour ont eu des décisions et des réactions qui n’ont rien arrangé.
En lisant ce livre, on ne peut que comprendre comment on a pu arriver à un tel point de non-retour. Oh bien sûr, je parle de la destitution du tsar, pas de l’agonie qu’a du subir la famille en entier. En cette époque de guerre, et de famine, il était évident qu’il fallait une main de fer dans un gant de velours. Ce que le Tsar n’avait pas…
J’ai appris énormément de choses, grâce à ma lecture. Et j’ai pu jeter un oeil totalement différent sur ce que je savais déjà. Une vision plus complète, et honnête de tout ce qui a pu se passer, m’a permis de mieux comprendre les réactions de chacun, à cette époque.
Pour ceux qui sont férus d’histoire, intéressés de différents sujets, et curieux d’en savoir plus, je ne peux vous dire qu’une chose: lisez ce documentaire! Il est vraiment intéressant.
Points attribués: 9/10
Je remercie l’édition Archipel pour cette lecture si dramatique
Janvier 1910. Dans un Paris en proie aux inondations, Nicolas Koulinov découvre le corps de son parrain Sergueï Belevski. Ce meurtre incompréhensible le propulse dans les profondeurs occultes d’une folle aventure.
À Sarajevo, le colonel Dragutin Dimitrijevic orchestre « La Main Noire » pour libérer la Bosnie-Herzégovine de l’emprise austro-hongroise. Le famélique Gavrilo Princip entend bien participer à la redistribution des cartes.
Dans l’ombre déliquescente de Jérusalem, le Grand Maître Caïnite manipule son canevas. Au solstice d’été, les 666 ans seront révolus…
À la veille de la Première Guerre mondiale, des archéologues font une dangereuse découverte, l’Évangile de Judas : la guerre entre le Bien et le Mal reprend de plus belle…
Mon avis: J’ai mis beaucoup d’attente dans ce second tome.
L’histoire se déroule à une époque que j’aime beaucoup: celle des Romanov et de la bonne société.
Malheureusement, je suis restée un peu sur ma faim de ce côté-là.
Nicolas se retrouve pris dans une histoire dont il ne savait rien, celle de sa lignée, remontant à Magda, héroïne du premier tome. Du fond de l’antiquité, la même lutte refait surface: le bien contre le mal.
Je me suis sentie un peu plus immergée dans l’histoire de ce livre-ci que dans le premier. Le récit est plus net, plus structuré. Les bons et les méchants plus clairement décrits. Nicolas et Mary, qui sont au final les deux « stars » du livre sont attachants.
Au milieu de ce combat, se déroule un événement historique, dont on voit, de manière romancée bien sûr mais très certainement proche de la réalité, les dessous et les coulisses: l’assassinat de François-Joseph d’Autriche. L’auteur lui a donné une petite touche ésotérique, et montre la chose sous un vaste coup monté.
Si je n’ai pas été absolument transportée par le livre, j’ai tout de même apprécié le voyage.
En 1917, l’empire russe s’effondre entraînant une vague d’arrestations et d’exécutions parmi les membres de la famille impériale russe: le tsar, la tsarine, leurs enfants et bien d’autres grands-ducs et grandes-duchesses. Certains Romanov et leurs proches parviennent à échapper aux griffes des bolcheviques et quittent précipitamment la Russie, souvent dans des conditions périlleuses. Comment ont-ils réussi à s’enfuir? Où sont-ils allés? Que sont-ils devenus et comment ont-ils vécu en exil? L’impératrice mère Maria Fedorovna et ses filles les grandes-duchesses Xenia et Olga, son gendre le grand-duc Alexandre Mikhaïlovitch, le grand-duc Nicolas Nicolaïevitch, l’ancien généralissime, les princes Youssoupoff et leurs épouses, et d’autres… Redevenus simples citoyens, ne maîtrisant plus rien de leur destin, ils quittèrent, la mort dans l’âme, cette terre qui leur était si chère. C’est avec talent que Marie-Agnès Domin raconte le long chemin de l’exil, peuplé d’embûches, qu’elle prend soin de compléter d’une fresque de la dynastie Romanov avant la tragédie, offrant la vision d’un empire gigantesque au passé à la fois prestigieux et tragique, destiné à s’écrouler.
Mon avis: A la suite du premier livre lu, il y a peu, relatant tout la dynastie Romanov, voila ce livre décrivant l’exil de tous les membres de cette illustre famille survivants.
Quelle destinée ils ont vécu!!! Avoir connu les luxes de la Cour Impériale, les mariages invitant 8000 personnes, les verres de cristal, les bijoux de diamants, pour tomber dans l’errance, quel courage ils ont eu.
Je n’ose imaginer leur peur face à l’inconnu qui les attendait, et aux nouvelles vies qu’ils allaient devoir assumer.
Néanmoins, ils ont continué à apparaître sur la face du monde. Je penserai chaque fois à eux lorsque je verrai la bouteille de Chanel N°5, ou lorsque j’entendrai parler de Katharine Hepburn, amie avec l’une des descendante Romanov.
Les propres soeurs de Nicolas II, le tsar déchu, ont survécu, ont oeuvré pour le bien des fugitifs russes et ont fait parler d’elles.
Vraiment ce livre est une mine d’or. Il m’a intéressée au plus haut point. Le récit historique, parsemé d’anecdotes pour chacune de ces personnes, m’a vraiment fait replonger dans leurs souvenirs respectifs.
De la maison de modiste au cinéma hollywoodien, j’ai traversé le monde entier à leur suite.
Je le recommande vivement à toutes personnes s’intéressant ne serait-ce qu’un peu aux Romanov.
Points attribués: 8/10
Un grand merci à l’édition Publibook pour ce magnifique voyage dans le temps
Les Romanov? Une dynastie historique et des destins extraordinaires… Parmi eux, deux tsars adolescents révéleront une habileté étonnante dans l’exercice du pouvoir. Un monarque extravagant et bouillonnant repoussera les frontières et donnera un élan phénoménal à la nation, qui en quelques décennies passe d’un état moyenâgeux à celui d’un empire reconnu. Une tsarine allemande éclairée va s’autoproclamer impératrice et propulsera le pays au rang des grandes puissances européennes. Un souverain pacifique, devenu chef de guerre malgré lui, sortira victorieux du redoutable combat avec la Grande Armée de Napoléon, et terminera sa vie mystérieusement. Un tsar courageux et réformateur mettra contre vents et marées le pays sur les rails de la modernité en y perdant la vie tragiquement. Mais le déclin s’amorçant de façon sournoise, d’étranges signes annoncent la fin de l’autocratie et sonnent le glas de la flamboyante dynastie qui périt dans les affres de la Grande guerre en 1917… Trois cents ans d’une histoire tumultueuse peuplée d’énigmes, jalonnée de complots, d’intrigues, de révolutions de palais et de tragédies ensanglantant trop souvent le trône convoité par certains, honni pour d’autres. Sagesse ou folie, humanisme ou despotisme se juxtaposent et s’entremêlent au gré des personnalités souvent complexes des dix-sept tsars et tsarines de la dynastie des Romanov. Spécialiste de l’histoire russe, Marie-Agnès Domin retrace, tout en restant à hauteur d’hommes, l’histoire de cette dynastie qui s’éteint lorsque le dernier tsar abdique en 1917.
Mon avis: La famille Romanov est un sujet qui m’a toujours intéressé, particulièrement le règne de Nicolas II, et les nombeux mystères qui l’entoure.
Mais ce livre m’a apporté beaucoup plus. Il retrace toute la dynastie de la famille qui a régné sur la Russie si longtemps.
De Michel Ier à Nicolas II, en passant par Catherine II, et Alexandre III, chacun a eu sa propre façon de régner, ouvrant le pays au monde, ou au contraire le tenant loin de tout.
J’ai appris beaucoup d’anecdotes sur chacun d’eux,permettant de mieux situer chaque tsar. Bon ou mauvais, tyrannique ou laxiste, ils ont tous eu une grande implication sur la face du monde.
Vivre la bataille d’Austerlitz de tout près, proche de toutes les décisions importantes m’a vraiment plu.
J’ai eu aussi une idée beaucoup plus précise du faste de la Cour Moscovite, et c’est impressionnant d’imaginer 500 choristes et des vêtements de brocart d’argent et de pierres précieuses. Comme j’aurais voulu être une petite souris et voir tout cela de mes propres yeux!
En tout cas, j’ai trouvé ce livre vraiment complet, et très instructif. Une chronologie bien nette permet de se situer dans l’Histoire. C’est une vraie mine d’or.
Points attribués: 9/10
Je remercie l’édition Publibook de ce beau voyage historique.