Le temps d'un café

Top ten tuesday #18

Bonjour mes fripouilles!!

Frogzine nous donne redez-vous avec un nouveau thème: Les 10 romans que vous amèneriez dans votre sac voyage afin de vous sauver de l’hiver.

Je l’entends comme une recherche de livres feel good. Ca, j’en ai en stock!

Empotée, complexée, un seul homme au compteur et incapable de tuer un cafard sans vomir son petit déjeuner : depuis son divorce, le quotidien de Déborah n’est pas facile-facile.

Car en retrouvant sa liberté, cette femme au foyer soumise et assistée a découvert une vie de chef de famille, de femme active et d’objet sexuel qu’elle avait ignorée jusqu’ici.

Dès lors les péripéties vont s’enchaîner Déborah devra apprendre à se déshabiller devant un autre homme que son mari, résister à un patron harceleur, tout en s’occupant de ses deux enfants sans faillir.

Mais comment reconstruire une vie de famille quand les hommes que l’on rencontre sont plus pitoyables les uns que les autres ?

Entre crises de rire avec les copines et crises de boulimie larmoyantes, Déborah va devoir faire l’apprentissage de sa nouvelle indépendance…

Birmingham, États-Unis. Ex-Miss Alabama, Maggie Fortenberry a pris une grande décision : elle va mettre fin à ses jours. Elle n’est ni malade ni déprimée, son travail dans une petite agence immobilière est plutôt agréable, mais elle a trouvé malgré tout seize bonnes raisons d’en finir, la principale étant peut-être que, à 60 ans, elle pense avoir connu le meilleur de la vie.
Maggie a donc arrêté la date de sa mort et se consacre désormais en toute discrétion à en régler les détails.
Or, peu de temps avant de passer à l’acte, Maggie est invitée par une collègue, Brenda, à un spectacle de derviches tourneurs. La représentation étant dans moins d’une semaine, elle décide, pour faire plaisir à Brenda, de retarder l’ultime échéance.
Elle est alors loin de se douter combien les jours à venir vont être riches en secrets dévoilés et en événements imprévus, lesquels vont lui montrer que l’existence a encore beaucoup plus à lui offrir qu’elle ne le croyait.

Cuba, 1956. Nora et Alicia, deux cousines complices, vivent une enfance heureuse et insouciante.
Mais la révolution éclate, et Fidel Castro prend le pouvoir. Un climat de peur, accentué par la répression, s’installe peu à peu sur l’île, poussant les parents de Nora à émigrer aux États-Unis.
Grâce aux lettres que les deux cousines ne cessent d’échanger, elles restent proches. Mais Nora comprend bien vite que la vie d’Alicia est devenue un enfer.
Nora décide alors de retourner à la Havane pour lui venir en aide. Mais ce qu’elle va découvrir à Cuba est pire encore que ce qu’elle avait bien pu imaginer.

Toutes les tentatives de suicide de Ove, un veuf, sont arrêtées par ses nouveaux voisins, une iranienne, son mari et ses deux enfants. La vie de ce vieux monsieur au sale caractère avec ses principes hérités de son père, va être bouleversée de manière inattendue.

A cinquante-neuf ans, Ove se sent vieux. Veuf, grincheux et dépressif, il n’attend plus qu’une seule chose de la vie : la mort ! Depuis que sa femme est décédée et qu’il a été licencié, il erre dans sa maison, fait des rondes de sécurité dans le quartier pour vérifier que tout est en ordre, engueule les résidents de son lotissement et se sent atrocement inutile, au point de décider d’en finir.

Mais entre la corde qui cède alors qu’il s’apprête à se pendre et un chat de gouttière impertinent, ce n’est pas si simple. Sans compter que ses nouveaux voisins, Parvaneh, une jeune Iranienne, son mari et leurs deux charmants enfants, dérangent Ove en permanence et interrompent chacune de ses tentatives de suicide, ce qui le met dans une rage folle. Bref, Ove n’est pas près d’accéder au repos éternel.

Jeune fille, Jocelyne rêvait de mode et de prince charmant. Mais la vie est passée par là, et à 47 ans, la mercière d’Arras doit se contenter d’un mari indifférent et d’un blog sur la dentelle. Quand un heureux concours de circonstances lui offre le gros lot du loto, Jocelyne réalise qu’elle a de quoi réaliser tous ses désirs. Grisée par cette perspective, elle décide de prendre son temps avant d’en parler à ses proches et en attendant, fait la liste de tout ce qu’elle pourrait s’offrir, achats utiles ou folies inconsidérées … Elle se méfie de cet argent tombé du ciel, n’aurait-elle finalement pas plus à perdre qu’à gagner ?

Une histoire simple aux personnages atypiques. Ou peut-être l’inverse.

Elsa est une enfant solitaire. Sa seule amie est sa grand-mère, une femme fantasque, prête à tout pour faire rire sa petite-fille, même aux pires bêtises (entrer dans un zoo par effraction ; dire des insanités ; flirter avec des policiers) ! Moquée et persécutée à l’école, Elsa sait qu’elle trouvera toujours du réconfort auprès de Mamie, qui lui change les idées en lui racontant aussi de merveilleuses histoires. Puis, un jour, les contes s’arrêtent brutalement lorsque la vieille dame meurt. Elsa va alors faire son deuil en allant transmettre des lettres que sa grand-mère avait écrites pour de nombreux destinataires : lettres d’excuse, de regret et d’amour. Petit à petit, elle comprend que les contes de son aïeule s’inspiraient de personnages bien réels…

Avec l’humour et la joie de vivre que l’on lui connaît, Nicole de Buron s’attaque, dans son nouveau roman à l’amour. L’AMOUR A TOUS LES ÂGES : depuis Attila, 7 ans, fou de passion pour sa maîtresse d’école et qui veut l’épouser, jusqu’à Lilibelle, la grand-mère de 75 ans qui fugue à Las Vegas se marier avec un contre-amiralde 80 printemps. En passant par tous les membres de la chère famille de l’auteur / Vous ( c’est-à- dire un peu toutes les femmes) ; l’Homme (l’éternel macho) ; Petite Chérie et sa meute d’amoureux ; fille aînée aux prises avec monsieur Gendre N°1, Monsieur Gendre N°2 et ses enfants adolescents dont elle découvre, à son tour avec surprise, les bûlantes amourettes (elle a oublié les siennes).
Nicole de Buron s’amuse aussi de quelques problèmes en amour. La jalousie dont une épidèmie ravage la Tribu. L’argent dans le couple (qui paye quoi ?). Les fêtes, y compris la pire : la Fête des mères avec ses colliers en noyaux de cerise ou en macaronis peints.
Et le temps passe. Vous vous apercevez que l’Homme a plein de défauts agaçants (Vous aussi, si peu…). Mais vouqs en êtes toujours amoureuse. Parce que vous êtes une sainte (chérie).

Elles se sont rencontrées à la fin des années 1960 et ne se sont plus quittées: tout le monde les appelle « les Suprêmes », en référence au célèbre groupe de chanteuses des seventies. L’intrépide Odette avec son tempérament de feu converse avec les fantômes, Clarice endure les frasques de son volage époux pour gagner sa part de ciel. Elles ont pris sous leur aile Barbara Jean, éternelle bombe sexuelle que l’existence n’a cessé de meurtrir. Complices dans le bonheur comme dans l’adversité, ces trois irrésistibles quinquas afro-américaines se retrouvent tous les dimanches dans l’un des restaurants de leur petite ville de l’Indiana: entre commérages et confidences, rire et larmes, elles se gavent de poulet frit en élaborant leurs stratégies de survie.

Arrivé à un âge où presque tous ceux qu’il aimait sont loin ou disparus, Andrew Blake n’a même plus le cœur à orchestrer ses blagues légendaires avec son vieux complice, Richard. Sur un coup de tête, il décide de quitter la direction de sa petite entreprise anglaise pour se faire engager comme majordome en France, pays où il avait rencontré sa femme. Là-bas, personne ne sait qui il est vraiment, et cela lui va très bien. Mais en débarquant au domaine de Beauvillier, rien ne se passe comme prévu… Entre Nathalie, sa patronne veuve aux étranges emplois du temps; Odile, la cuisinière et son caractère aussi explosif que ses petits secrets; Manon, jeune femme de ménage perdue; Philippe, le régisseur bien frappé qui vit au fond du parc, et même l’impressionnant Méphisto, Andrew ne va plus avoir le choix. Lui qui croyait sa vie derrière lui va être obligé de tout recommencer…

Marie a tout préparé pour l’anniversaire de son mari : gâteaux, invités, décoration de l’appartement… Tout, y compris une surprise : à quarante ans, elle a décidé de le quitter. Marie a pris « un aller simple pour ailleurs ». Pour elle, c’est maintenant que tout commence. Vivre, enfin. Elle a donc réservé un billet sur un bateau de croisière qui fait le tour du monde. À bord, Marie rencontre deux femmes qui, elles aussi, sont à la croisée des chemins. Au fil de leurs aventures, parfois loufoques, elles pleurent et rient ensemble, à la reconquête du bonheur. Leurs vies à toutes les trois vont être transformées par ce voyage au bout du monde…

Et vous, quel est votre top ten?

aufildespages chroniqueuse littéraire

5 Comments on “Top ten tuesday #18

  1. Pas besoin de me sauver de l’hiver, je préfère le savourer. Cela dit, je te rejoins concernant Fanie Flagg et « Les suprêmes ». Je conseille aussi les livres de Marie-Sabine Roger (« La tête en friche », « Bon rétablissement », « Trente-six chandelles »…). Et pour l’instant, je lis la série « Sauveur et fils » de Marie-Aude Murail (oui, c’est de la jeunesse, et alors ? :p), C’est addictif et ça fait vraiment du bien.

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