Coucou tout le monde!!
Voilà toutes les sorties littéraires qui me tentent en octobre
Le 23 août 2006, l’un des pires enlèvements de ces dernières décennies prend fin. Natascha Kampusch réussit à s’enfuir de la cave dans laquelle elle était retenue prisonnière depuis huit années. Dans un récit saisissant, 3096 Jours, elle a raconté son effroyable calvaire. Dix ans plus tard, elle nous livre un aperçu de son retour à la liberté : ses expériences, les plus douloureuses comme les plus belles, ses rêves et ses cauchemars, son investissement dans des projets humanitaires (notamment au Sri Lanka) et son engagement auprès de jeunes eux aussi blessés par la vie. Peut-on s’affranchir d’un passé aussi terrible ? Comment trouver la force de se reconstruire après un tel traumatisme ?
Karen Holt est agent d’un service de renseignements très particulier. Benjamin Horwood est un universitaire qui ne sait plus où il en est. Elle enquête sur une spectaculaire série de vols d’objets historiques à travers le monde. Lui passe ses vacances en France sur les traces d’un amour perdu. Lorsque le vénérable historien qui aidait Karen à traquer les voleurs hors norme meurt dans d’étranges circonstances, elle n’a d’autre choix que de recruter Ben, quitte à l’obliger. Ce qu’ils vont vivre va les bouleverser. Ce qu’ils vont découvrir va les fasciner. Ce qu’ils vont affronter peut facilement les détruire… Avec ce nouveau roman, Gilles Legardinier allie pour la première fois tous les talents qui ont fait de lui un exceptionnel auteur de best-sellers. Aventure, intrigue fascinante et humour nous entraînent aux confins des mystères de la science et de l’Histoire.
Sur ses traces a été réalisé à partir des seules déclarations publiques faites par Jean‑Jacques Goldman de 1975 à nos jours (presse écrite, radio et télévision).
Ce livre n’est donc pas une biographie à proprement parler. Il ne retrace pas la vie de l’artiste à partir d’enquêtes ou d’entretiens réalisés auprès de personnalités issues
de l’entourage du chanteur.
Sur ses traces est un livre qui contient plus de 790 citations, dans lequel les lecteurs découvriront, au sein des mots de l’artiste, les différentes phases de sa carrière (l’apprentissage, la conquête, la transition, etc.), ainsi que ses rapports avec
les médias, le public et son engagement en faveur des Restos du coeur à travers les Enfoirés. Surtout, ils comprendront, au fil de ses déclarations, ce qui l’a animé pendant plus de trente ans et qui semble aujourd’hui faire défaut. Au point qu’il a décidé, au début des années 2000, de mettre sa carrière entre parenthèses… N’avait-il pas prévu une telle issue ?
Sur ses traces est également un livre dans lequel l’auteur a essayé de reproduire l’univers iconographique de Jean‑Jacques Goldman, et ce en faisant participer l’essentiel des photographes ayant travaillé avec le chanteur au cours de sa carrière :
Claude Gassian (photographe attitré de Jean‑Jacques Goldman depuis 1985), A. R. Pingouin (photographe » de tournée » de Jean‑Jacques Goldman depuis 1988), Bettina Rheims (photographe sur les albums Minoritaire et Positif) et Elizabeth Lennard
(photographe sur Démodé).
Au final, ce sont plus de 100 photographies qui sont proposées dans cet ouvrage, dont une très grande majorité d’inédites !
» En démarrant ce récit, je savais que les pages du génocide et du massacre de ma famille au Rwanda, en 1994, m’attendaient. Je savais qu’écrire cette douleur passée, c’était mettre des petites cuillerées de pili-pili sur la chair encore fraîche d’une plaie que je voulais à tout prix croire fermée. Et, sur le chemin de la rétrospective, j’ai trouvé d’autres plaies. Vives. Brûlantes. Ce livre, il m’aura fallu presque cinq ans pour le finir. «
Pour la première fois, le chanteur Corneille revient sur le génocide rwandais, le miracle de sa survie, son espoir infaillible, ses rêves, l’immense succès qui a été le sien, mais aussi ce long recul, ces dernières années, qui lui a été indispensable pour renouer avec son histoire et ses racines.
Le récit poignant, porté par une écriture d’une rare poésie, d’un artiste, mais surtout d’un homme, à la recherche de sa vérité.
Le chat le plus connecté (et le plus fainéant) du web revient dans un second tome et compte bien livrer ses pensées les plus secrètes. Retour ligne automatique De sa désintox suite à l’ingurgitation massive d’herbe à chat, en passant par ses plans d’invasion pour échapper à sa nouvelle colocataire, Giggles nous entraîne dans un quotidien à 2 à l’heure, fait de siestes interminables, de griffures vengeresses et d’extorsion de croquettes.
Apres le formidable succès de son premier livre, Guillaume Bailly, « le croque-mort préféré des Français », revient partager la suite de ses incroyables mémoires. Chacune des 70 histoires vécues ou rapportées par l’auteur vous fera rire aux éclats ou pleurer à chaudes larmes. Il réussit à nous toucher à chaque page grâce à son regard bienveillant et son humanité sans faille. Sa finesse parvient à transformer ces tranches de fin de vie rocambolesques en petits bijoux d’anthologie. Etonnamment, ces anecdotes macabres en disent long sur notre façon d’appréhender la vie…
La vie de Toby bascule suite à un simple test sanguin.
Au beau milieu d’une île déserte, une poignée d’enfants mène une existence hors du temps, sous la surveillance impassible d’une équipe d’infirmières. Arrachés à leurs familles, les Déficients vivent dans la crainte du moindre symptôme indiquant qu’il est temps pour eux d’être conduits au sanatorium, là d’où personne ne revient.
Loin des siens, replié sur lui-même, Toby attend la mort et lutte contre la peur et le désespoir. Mais l’arrivée d’une nouvelle patiente lui redonne brusquement une raison de vivre et d’espérer.
Un recueil de contes qui est l’ouvrage de référence de Millard, d’un des enfants particuliers illustré par de véritables gravures sur bois de l’artiste Andrew Davidson.
La silhouette se rapprochait lentement. À chaque pas, son image nous apparaissait un peu plus nette. Il s’agissait d’un personnage mesurant pas loin de deux mètres, vêtu d’une cape noire dont la capuche masquait la totalité du visage. Il avait une démarche incertaine, voire chancelante, un peu comme s’il n’avait plus marché depuis des lustres et redécouvrait peu à peu d’anciens automatismes.
Soudain, la lune perça à travers le feuillage dense au-dessus de nos têtes et vint éclairer notre visiteur imprévu. Nous fîmes tous les trois un fantastique bond en arrière, trop terrifiés pour même parvenir à hurler de peur. Les rayons venaient de nous dévoiler un visage creusé, sale et entièrement dépourvu de chair.
Devant nous, se tenait un authentique squelette.
Des enfants particuliers se trouve à notre librairie préférée. Je suis en attente de livraison de Gilles Legardinier aussi!
Merci pour cet article 🙂