In my mailbox

In my mailbox (173)

On est dimanche!!

C’est l’heure d’ouvrir le coffre au trésor, et de regarder ce que j’ai reçu cette semaine.

La rentrée littéraire continue son chemin dans ma Pal, tout en douceur.

Presses de la Cité

Une fresque monumentale qui embarque bourreaux et victimes sur l’océan de l’Histoire.

Il y a Margarita, juive polonaise enceinte qui tue un lieutenant nazi pour venger la mort de son époux et déclenche alors une terrible opération de représailles ; le couple Kramer, fermiers allemands qui recueillent et cachent la jeune femme ; Lisa, la petite fille qui verra le jour à la ferme et sera élevée comme une Kramer ; et il y aussi Anna, jeune juive allemande écartée de la Shoah par un officier SS qui la désire ; Shimon, son fils né d’un viol collectif ; Sarah, Ruth et tant d’autres, qui tentent de reprendre pied après les camps ; Peretz Sarfati, l’Israélien qui veut faire émigrer en Palestine ses coreligionnaires rescapés et qui tombe éperdument amoureux d’Anna… Et il y a l’Histoire « avec une grande hache », qui emmêle et concasse et tisse cette immense saga historique entre l’Allemagne, les Carpates, la Pologne et Israël.

Charente, 1925. La foudre vient de frapper les étendoirs du Moulin du loup, causant un violent incendie qui ravage une partie importante des bâtiments industriels. Bénissant le ciel d’avoir au moins épargné la maison ancestrale, ce foyer qu’elle chérit tendrement, Claire attend avec impatience le retour de Jean, parti au Canada avec leur fille adoptive, Angéla. Ainsi, l’épreuve sera moins pénible à supporter. Mais dès son arrivée, la fille de Colin Roy constate que son mari a changé, montre des comportements étranges. Distant et taciturne, malgré tous les vaillants efforts qu’il investit dans les travaux de réfection, l’homme semble traîner un lourd secret qu’elle ne peut percer. Or, quand Angéla revient dans la vallée des eaux-claires, enceinte de surcroit, une tempête effroyable brise les cœurs et les âmes. Devant toute la famille réunie, la jeune fille clame alors qu’elle aime son père adoptif et prétend qu’il l’aime, lui aussi. Trahie et humiliée, surtout car elle-même n’a jamais pu avoir d’enfant, Claire chasse les deux amants du moulin. Démolie au plus profond de son âme, la guérisseuse devra surmonter cette terrible blessure et reprendre ses activités. Oui, elle doit se battre, renaître et reprendre une vie normale! Mais trouvera-t-elle la force de pardonner à l’ancien bagnard, qui de son côté, exilé d’abord chez sa soeur puis dans le sud de la France, est malade de honte et de chagrin ?

Le chemin de la rédemption sera effectivement long et difficile, autant pour Jean que pour Angéla, réfugiée chez Bertille, la cousine de Claire. Et au bout de plusieurs mois de bouderie, de retrouvailles, de malentendus, de fuites, de crises de jalousie, de disputes et de courts et rares moments de bonheur, l’avenir brillera enfin et offrira au couple réconcilié la plus belle des récompenses…

 

En 1941, dans la Sarthe, trois jeunes enfants, que la vie n’a pas épargnés, s’engagent dans un réseau de résistance, effectuant des missions essentielles de communication et d’information. Ces actes sont aussi, pour chacun d’eux, une quête éperdue d’amour et de reconnaissance.
Nez au vent, foulée légère, pour la toute première fois Julien goûte à la liberté. Il fuit sa vie ballottée d’une famille d’accueil à l’autre. Mais, vite repris par les gendarmes, l’orphelin est mené dans un centre d’éducation pour jeunes délinquants et vagabonds. Il trouve réconfort auprès de Tristan, un peu plus âgé et plus mûr, dont les parents, juifs, ont été déportés. Un jour, ils parviennent à s’enfuir, direction la Sarthe, que Julien connaît bien pour y avoir grandi. Là, leur destin sera lié à celui de la petite Marie, placée chez des fermiers qui la maltraitent.
Ces trois compagnons, que la vie n’a pas épargnés, vont alors s’enrôler dans un réseau de résistance…
Quel sera le prix de leur engagement ? Sacrifieront-ils leur enfance, leurs rêves au nom de leur combat ?
 

Sarbacane

Vania Strudel a 15 ans, un œil qui part en vrille et une vie qui prend à peu près la même direction. Et ce, à cause de :


– Sa mère, qui est morte quand elle avait huit ans.
- Son père, un taxidermiste loufoque.

– Pierre-Rachid, son pote de toujours, qui risque de ne plus le rester…

– Son seul confident, qui se trouve être le vieillard sénile de l’immeuble.

– Son ennemie jurée, Charlotte Kramer, la lle la plus populaire du lycée.

– Sa rentrée en Seconde, proprement catastrophique.

Pour Vania, c’est clair : l’existence est une succession de vacheries, et elle est condamnée à n’être personne. Une petite fourmi parmis les autres.
Mais un soir, elle reçoit un mail anonyme. Un mail qui lui explique en détail, et avec une franchise brutale, que non, elle n’est pas une banale fourmi noire sans aspérités.

Elle serait même plutôt du genre vive, colorée, piquante ! Du genre fourmi rouge…

 

Je m’appelle Vladimir Poulain, j’ai dix ans et je vis le pire été de ma vie.

Ma mère a décidé de m’expédier en colonie de vacances…
Elle se fiche bien que mes lunettes m’empêchent de faire du sport !

« La Joie dans les bois », c’est un camp situé entre l’autoroute, un abattoir et une station d’épuration. En plus, je suis coincé dans une tente entre un gars qui pue des pieds et un autre qui parle en morse (pas l’animal, le code secret). Le directeur est un psychopathe qui nous oblige à nager avec des poissons morts et la cuisinière a des recettes très spéciales…Tout ça aurait pu virer à la catastrophe si je n’avais pas rencontré Eugène Von Génial, le génie enfermé dans ma lampe de poche.

Hé oui, un vrai génie, dont le métier est d’exaucer des souhaits. Mais, on ne va pas se mentir : il est très loin d’être doué…

La seconde partie de ma commande passée chez Belgique Loisirs est aussi arrivée.

5 novembre 1605. Guy Fawkes tente de faire sauter le palais de Westminster le jour de l’ouverture de la Chambre des lords. 5 novembre 2020. Le groupe Anonymous diffuse sur l’ensemble des chaînes télévisées du monde entier un message étrangement menaçant : « Nous sommes Anonymous. Nous sommes légion. Nous n’oublions pas. Nous ne pardonnons pas. Redoutez-nous. Souviens-toi du 5 novembre ! » Le monde est sur le point de basculer. Quatre siècles de conspirations vont trouver leur conclusion. Quatre siècles de luttes entre le Pouvoir et les servitudes qu’il impose, et les Anonymes et la liberté qu’ils défendent. De Shakespeare à John Lennon en passant par Charles Manson, l’Histoire appartient au complot. Ces personnalités étaient-elles des Anonymes ou des esclaves du Pouvoir ? L’auteur de cette fiction a préféré garder l’anonymat. De nos jours, où le réel se mêle au virtuel, on a de plus en plus de mal à distinguer l’information de la propagande, la vérité de l’illusion. En taisant son nom, l’instigateur de cette histoire rend hommage au mouvement dont il s’est inspiré.

Et puis je me suis allée me balader dans ma librairie préférée, et faible que je suis….

A la mort de leur mère, Bronia et Marie sont dévastées. Bronia prend sa petite soeur sous son aile et les deux soeurs grandissent habitées par le même rêve : étudier pour devenir  » quelqu’un « . Mais en tant que femmes, les portes des universités polonaises leurs sont fermées. Elles vont alors faire un pacte : Bronia part la première faire des études de médecine à Paris, et, une fois installée, elle fera venir Marie pour que celle-ci puisse étudier à son tour. L’effervescence des années étudiantes, les premières amours et les kilomètres n’affaibliront en rien le lien inébranlable qui les unit. Ensemble, elles traverseront toutes les épreuves et parviendront jusqu’au bout de leurs rêves et même au-delà de ce qu’elles avaient espéré. L’une deviendra Marie Curie, l’autre l’une des premières gynécologues femme au monde.

Et vous, qu’avez-vous découvert?

aufildespages chroniqueuse littéraire

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