In my mailbox

In my mailbox (343)

 

Coucou les amis!

Voilà notre rendez-vous du dimanche!

C’est le jour où je vous montre toutes les futures belles lecture que j’ai reçu durant la semaine.

C’est parti!

Une amie me prête

Cornouailles, 1939. Will et Alice trouvent refuge auprès de Maggie, la fille du fermier. Ils vivent une enfance protégée des ravages de la guerre. Jusqu’à cet été 1943 qui bouleverse leur destin.

Été 2014. La jeune Lucy, trompée par son mari, rejoint la ferme de sa grand-mère Maggie. Mais rien ne l’a préparée à ce qu’elle va y découvrir.

Deux étés, séparés par un drame inavouable. Peut-on tout réparer soixante-dix ans plus tard ?

Netgalley

Augustus Everett est un écrivain « sérieux », considéré comme le nouveau génie des lettres américaines. January Andrews ne compte plus les bestsellers publiés, mais dans un tout autre registre : la comédie romantique. Si elle multiplie les happy endings, Augustus réserve à ses personnages des destins épouvantables.

Aux antipodes l’un de l’autre, ils vont néanmoins se croiser et se lancer un défi. Elle passera l’été à écrire un grand roman littéraire, lui s’essayera à une comédie sentimentale. Afin de trouver l’inspiration, January organise pour Augustus des excursions romantiques, et lui l’emmène à la rencontre de personnes à l’existence brisée.

Chacun devra achever son roman avant la rentrée et, bien évidemment, aucun des deux n’imagine tomber amoureux. Bien évidemment.

Comédie romantique d’exception, Comme dans un roman d’été est aussi une réflexion passionnante et pleine d’humour sur l’art d’écrire portée par des personnages attachants et dont la vivacité d’esprit imprègne tout le roman.

gallimard jeunesse

« Depuis que je suis entrée dans votre bureau étriqué, Monsieur l’officier, vous attendez une jupe en lambeaux, du sang sous les ongles et des témoins. Je crois que vous auriez préféré une foule rugissante devant mon corps dévoré par des chiens haineux ; leurs babines rosies de moi ; mes os à vos pieds. Des preuvesà récolter. Un viol à voir. Moi, j’aurais préféré ne jamais me rendre sous le cerisier, il y a trois mois, en avril dernier. »

Et vous, qu’avez-vous découvert?

aufildespages chroniqueuse littéraire

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