Nouvelle-Zélande, 1863. Carol et Linda vivent heureuses après que leurs mères, Cat et Ida, ont surmonté bien des embûches. Mais leur bonheur leur vaut aussi des ennemis, qui envient leur prospérité ou voient d’un mauvais oeil leurs liens avec les Maoris.
Les deux jeunes femmes n’ont que faire du qu’en-dira-t-on. Bientôt, Linda prendra la tête de la colonie, tandis que Carol et son fiancé se consacreront à l’élevage de moutons.
Las, tous leurs projets s’écroulent après une terrible tragédie. Au chagrin suscité par le drame se mêlent bientôt la crainte et l’angoisse que leur avenir sur l’île soit compromis. D’autant que grandit la menace d’un conflit entre colons et autochtones.
Linda et Carol trouveront-elles la force de surmonter, comme leurs mères vingt-cinq ans plus tôt, les épreuves que le destin a placées sur leur route ?
659 pages
Merci à l’édition L’Archipel
Rata Station est prospère, Carol et Linda sont les dignes héritières d’un empire du mouton. D’ailleurs, si l’une est en passe de se marier avec une bonne famille, l’autre se destine à la relève de la direction du domaine.
Mais un élément funeste va faire tout basculer, provoquant l’exil des deux jeunes filles. L’une et l’autre partent au-devant de dangers inimaginables, et de difficultés bouleversantes…
Voici le second opus de la dernière saga de Sarah Lark, un auteur que j’aime énormément. Elle nous offre des panoramas renversants, un bout d’Histoire, et des sagas familiales comprenant de nombreux rebondissements. Il y a de quoi trouver son bonheur dans ses histoires.
Nous avions suivi Ida et Cat dans la première partie, qui étaient parties de rien pour arriver à se construire une vie intéressante et stable. Elles avaient, elles aussi, traversé de nombreuses épreuves.
Les héritières, la génération suivante, n’est pas en reste en matière de courage et d’acharnement.
Nous sommes au beau milieu de la révolution maorie, pendant lesquelles les tribus ont décidé de se révolter contre l’occupation Pakehas, les étrangers. Carol et Linda, accompagnées de leur jeune soeur Mara, vont traverser un pays qui est à feu et à sang. Elles vont nous emmener sur des chemins magnifiques, traversant des forêts denses, rencontrant des tribus différentes.
Comme toujours dans les romans de Sarah Lark, les deux points de vue sont abordés: celle des colonisateurs anglais, et ceux des habitants originels de l’île, les maoris.
Comme toujours, et bien que ce soit chaque fois un très joli pavé, je me plonge dans ma lecture de bout en bout! Je voyage, les paysages que l’auteur nous décrit sont tellement vivants qu’on peut s’imaginer les traverser!
Je n’ai maintenant qu’une seule chose à faire: attendre le dernier tome hihi
J’avais beaucoup aimé les deux premiers tomes de sa première saga (traduite en tout cas), du coup, je note 🙂