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Dans ma boîte aux lettres (55)

Bonjour bonjour les amis!!

Ma boîte aux lettres a été fournie cette semaine!!!

D’abord, les Presses de la Cité m’ont envoyé plusieurs livres

De l’Inde luxuriante aux quartiers sordides de Newcastle, de l’existence privilégiée des colonies aux combats des suffragettes, l’itinéraire d’une femme déterminée et courageuse, décidée à se battre contre l’adversité pour assurer son indépendance.
Clarrie Belhaven vit une jeunesse idyllique sur la plantation de thé indienne de son père, avec sa soeur Olivia. Mais l’alcoolisme et les dettes de ce dernier mettent en péril leur patrimoine et, lorsqu’il meurt brutalement, les jeunes femmes se retrouvent démunies. La fière Clarrie ayant rejeté l’aide de leur voisin, le séduisant Wesley Robson, les deux soeurs doivent quitter l’Inde et rejoindre leur cousin, tenancier d’un pub, en Angleterre. Transformée en esclave domestique par l’épouse de celui-ci, Clarrie va tenter d’échapper à son emprise en se faisant engager comme gouvernante chez un avocat. Mais la réapparition d’un homme de son passé risque de tout bouleverser…

La vie de Vincenzo Malinconico est un désastre. Le jour, il fait semblant de travailler dans son minuscule cabinet d’avocat. La nuit, il lambine devant des émissions de téléachat, toujours dans l’attente d’un appel de son ex-épouse, Nives, qui vient de temps à autre se réfugier dans ses bras. Beau-père d’une jeune Alagia, étudiante à la fac, qu’il rencontre clandestinement au Burger King de l’aéroport (la malbouffe est proscrite, chez Nives), il est aussi le père d’un adolescent
bizarre, Alfredo, journaliste en herbe, adepte de la prise de risque.
Mais tout change le jour où l’avocate la plus séduisante du barreau de Naples jette son dévolu sur lui ; et que, à ce moment même, il est commis d’office pour défendre un homme de main de la Camorra… Les péripéties rocambolesques commencent !
Un roman subtil et drôle, dans lequel le personnage principal, irrésistible philosophe du quotidien, parle d’amour et de Camorra avec la même énergie, à la fois lucide et railleuse. L’humour napolitain dans toute sa splendeur.
Elevées dans une famille bourgeoise périgourdine figée dans ses certitudes, la petite Lou et sa soeur aînée Pauline grandissent à l’ombre d’un père despote et d’une mère indifférente. Dans ce climat peu propice au bonheur, où éducation rime avec frustration, seule la grand-mère Justine leur dispense des trésors d’affection. Entre escapades interdites et rendez-vous volés, Lou, devenue une jeune et jolie femme, aspire en ces années 1960 à une véritable émancipation.
Fougueuse tout autant qu’ingénue, le destin ne sera pas toujours tendre avec elle, mais d’amours contrariées en faux-semblants, elle se lancera dans l’écriture qui se révélera pour elle la plus belle des aventures.
Un roman sans concession au réalisme intimiste, où l’auteur conjugue non sans humour le verbe aimer à tous les temps.
Elsa est une enfant solitaire. Sa seule amie est sa grand-mère, une femme fantasque, prête à tout pour faire rire sa petite-fille, même aux pires bêtises (entrer dans un zoo par effraction ; dire des insanités ; flirter avec des policiers) ! Moquée et persécutée à l’école, Elsa sait qu’elle trouvera toujours du réconfort auprès de Mamie, qui lui change les idées en lui racontant aussi de merveilleuses histoires. Puis, un jour, les contes s’arrêtent brutalement lorsque la vieille dame meurt. Elsa va alors faire son deuil en allant transmettre des lettres que sa grand-mère avait écrites pour de nombreux destinataires : lettres d’excuse, de regret et d’amour. Petit à petit, elle comprend que les contes de son aïeule s’inspiraient de personnages bien réels…
Un partenariat, l’édition Borée, m’a envoyé ce livre

La Grande Guerre terminée, Hélène, infirmière au Val-de-Grâce, se rend au chevet de sa mère, qui lui confie dans un dernier soupir qu’elle n’est pas sa vraie génitrice. Son père, Joseph, lui relate alors l’aventure de sa naissance, d’une mère internée dans un asile et morte dans un incendie. Embauchée à l’hôpital de Douai, Hélène fait la rencontre de Stéphane Lacasse, un copain d’enfance, mineur et tout juste de retour du front : le coup de foudre est réciproque. Lors d’une réunion pour la reconstruction des géants de Douai, les Gayant, Hélène, accompagnée de Stéphane, effraie un homme, Auguste Bellecourt, généreux donateur, qui croit voir en la jeune femme une revenante. Piquée au vif après ces deux aventures troublantes, Hélène décide de mener l’enquête…

Et enfin l’edition Sarbacane m’a envoyé ce livre

1975. Lolita, dite Brindille, vit seule avec sa mère alcoolique dans une cité du Nord de la France. Rêvant de rejoindre son frère incarcéré à Marseille, elle rencontre un jeune jongleur et s’engage dans un cirque tzigane, arpentant les routes de France. Un de ses professeurs, très attaché à cette élève atypique, se lance à sa poursuite.
Et vous, qu’avez-vous découvert?

5 Comments on “Dans ma boîte aux lettres (55)

  1. J'ai repéré Ma grand mère vous passe le bonjour, ça a l'air assez émouvant 🙂 J'ai aussi reçu Coeur de Brindille !
    Je te souhaite de belles lectures 🙂

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