Bonjour les lucioles!
Ca y est, Halloween est passé. Je peux donc officiellement commencer à réfléchir à ma déco de Noël, à mes lectures de Noël, au repas de Noël, aux musiques de Noël et aux films….. de Noël oui (y en a qui suivent!)
Mais avant de vous bombarder de toutes mes idées, je vous parle plutôt de ce que j’ai reçu cette semaine
Belgique Loisirs
Décembre 1560. Le jeune roi François II, fils aîné d’Henri II, meurt peu après le massacre d’Amboise – une armée protestante tombée dans un piège tendu par le duc de Guise. Les haines entre catholiques et protestants se déchaînent sur tout le territoire. L’hérésie gagne la Cour : l’amiral de Coligny se convertit. Le nouveau roi, Charles IX, est un être mentalement et physiquement fragile. Sa mère, Catherine de Médicis, gouverne sous ses voiles de deuil. Elle s’obstine à croire à un accord possible entre les deux clans ennemis. Henri de Valois, frère cadet de Charles IX, est le préféré de Catherine. Il souffre de n’être pas sur le trône et méprise son aîné. Margot, la fille, est folle d’elle-même et de son corps. Lutinée par Henri, elle excite les jeunes mâles de la Cour bien qu’elle soit promise à Henri de Navarre…
Baker Street
Nous avons tous rêvé de rencontrer un écrivain aimé, de lui parler ou de lui écrire, voire d’entrer dans sa confidence. Frédéric Ferney, lui, pousse l’audace un peu plus loin, en allant à la rencontre d’auteurs disparus. Mais un écrivain qu’on aime, disparaît-il jamais ?
Partant du principe que ces artistes – leur esprit, leur humour, leur univers – nous accompagnent en permanence, Ferney a conçu une série de rencontres imaginaires dans lesquelles il dialogue avec – ou fait dialoguer entre eux – de grandes figures des arts, des lettres et de l’histoire, de la Renaissance à nos jours.
Cela donne, sous sa plume tempétueuse et passablement insolente, une correspondance au vitriol entre Baudelaire et Sainte-Beuve, des lettres des plus provocatrices entre Marguerite Duras et Marguerite Yourcenar, mais aussi des échanges affectueux, inattendus ou cocasses, entre Debussy et Toulouse-Lautrec, Jean Cocteau et Edith Piaf, Andy Warhol et Françoise Sagan, Fabrice Luchini et Céline…
Dans un carnaval d’inventivité tour à tour corrosif, songeur et tendre, Frédéric Ferney rend hommage à quelques génies qui ont illuminé nos vies, et qui continuent à cheminer, toujours aussi vivants, à nos côtés.
Pour paraphraser Apollinaire : « Les jours s’en vont, ils demeurent. »
Archipel
Étudiante à Seattle, Felicity reçoit un appel : Martha, sa mère, a disparu… Felicity la retrouve à Rome, où Martha s’est enfuie avec des archives familiales.
Martha a en effet découvert une longue lettre écrite par sa propre mère, Deborah, fille d’une diva qui connut son heure de gloire aux débuts du IIIe Reich. Une lettre qui va plonger Felicity dans une quête douloureuse.
Alternant passé et présent, ce roman mêle amour et trahison, colère et culpabilité, péché et expiation, autour d’un secret de famille courant sur quatre générations.
J’ai vraiment beaucoup aimé « Au nom de ma mère « qui se lit sans aucune difficulté. J’espère que tu apprécieras autant que moi. Tes autres titres sont une découverte mais je sais que D’or et de sang intéresse l’un de mes collègues.
ah bon? 🙂
bonnes découvertes et bon dimanche
Belles futures lectures et bon dimanche !
je ne connais pas mais je te souhaite de belles découvertes et un excellent dimanche