Le temps d'un café

Masse critique mauvais genres

Hello mes apprentis sorciers!
Comme beaucoup d’entre vous, je suppose, j’ai participé ce matin à la masse critique que propose Babélio.
Alors, déjà, je trouve l’affiche conçue pour cet événement absolument superbe!! Tout à fait dans l’air du temps, rappelant le si médiatisé nouveau film sorti en salle il y a peu, inspiré d’un des romans de Stephen King. Auteur que je n’aime pas lire, mais j’ai par contre entendu énormément de bonnes critiques du film.
Bon, je m’égare, mais je voulais vous parler des choix que j’ai fait ce matin. Eeeeenormément de choix, comme chaque fois, et j’ai cliqué pas mal de fois!
San Francisco, juillet 1899. Le jeune magicien Harry Houdini, en tournée en Californie avec sa charmante épouse Bess, fait alors sensation avec son tour Metamorphosis (ou la malle des Indes) et son tout nouveau numéro d’escapologie, où il se débarrasse de dizaines de menottes et de chaînes en quelques minutes.
Après l’un de ses spectacles, Houdini est invité à se rendre à Chinatown chez un riche négociant en soie. Ong Lin Foon, qui n’a aucune confiance en la police, lui demande de retrouver sa nièce, kidnappée à son arrivée à San Francisco. Le marchand craint qu’elle n’ait été enlevée pour aller grossir les bordels de Chinatown. Poussé par Bess qui juge le sort de ces victimes révoltant, Houdini accepte de mener l’enquête. Ce que Bess ignore, c’est que le magicien va également mener en parallèle une mission secrète pour le gouvernement américain…
Entre mafia chinoise, corruption et tours de magie, un portrait passionnant de Houdini dans une Amérique du xxe siècle en profonde mutation.
L’incroyable destin du plus grand magicien du monde offre une fiction jamais bien loin de la réalité. Metamorphosis est le premier tome d’une série historique qui verra Houdini mener l’enquête dans le monde entier.

Dans un futur pas si lointain, une intervention chirurgicale a été mise au point pour améliorer l’empathie dans le couple. Tous les amoureux en rêvent. Briddey Flannigan se réjouit quand Trent, son petit ami, lui propose cette opération avant leurs fiançailles : leur lien émotionnel s’en trouvera renforcé et la communication n’aura plus de secrets pour eux. Mais les choses ne se déroulent pas tout à fait comme prévu : bien malgré elle, Briddey se retrouve connectée à quelqu’un d’autre.
C’est plus qu’elle n’en peut supporter, surtout avec le stress déjà engendré par une famille obsédée par la communication, de jour comme de nuit. Mais ce n’est qu’un début. Alors que la situation empire, Briddey commence à prendre conscience des inconvénients d’un excès d’informations. Elle comprend alors que l’amour – et la communication – s’avèrent bien plus complexes qu’elle ne l’imaginait…

An de grâce 1190. Chrétien de Troyes révèle l’existence de la relique la plus sacrée de l’occident médiéval : le Graal. L’Église décide de faire disparaître son texte et de lui substituer une version christianisée de la légende.
2016, Vatican. L’institut scientifique du Saint-Siège rend un rapport secret : dans quelques décennies l’effondrement de l’Eglise est quasi inévitable. Par tous les moyens et grâce à de nouvelles pistes, le pape décide de mettre la main sur le Graal pour créer un immense choc dans toute la chrétienté.
L’inspecteur Marcas, au coeur d’un trafic d’antiquités, qui le conduira d’une île sacrée de Bretagne aux lieux légendaires Winchester, Glastonbury, Stonehenge, livre un combat dangereux pour récupérer une sépulture déviante qui permettrait de percer l’énigme du Graal…
Mais quelle est-elle ? La descendance du Christ, un breuvage d’immortalité, un moyen pour communiquer avec Dieu… Ce secret est-il aussi dans la version originale de Chrétien de Troyes ? Quel est son pouvoir ? Un secret qui de tout façon va changer profondément notre vie à tous…
En revisitant les grands textes qui ont été écrits sur le Graal et les sociétés chrétiennes secrètes, Giacometti-Ravenne nous plongent dans l’une des plus fabuleuses énigmes de tous les temps.

CARRISI se réinvente dans un thriller unique sur le pouvoir des médias.
Une jeune femme est enlevée dans un paisible petit village des Alpes. Le coupable est introuvable, et voilà que la star des commissaires de police, Vogel, est envoyé sur place. De tous les plateaux télé, il ne se déplace jamais sans sa horde de caméras et de flashs. Sur place, cependant, il comprend vite qu’il ne parviendra pas à résoudre l’affaire, et pour ne pas perdre la face aux yeux du public qui suit chacun de ses faits et gestes, il décide de créer son coupable idéal et accuse, grâce à des preuves falsifiées, le plus innocent des habitants du village : le professeur d’école adoré de tous. L’homme perd tout du jour au lendemain (métier, femme et enfants, honneur), mais de sa cellule, il prépare minutieusement sa revanche, et la chute médiatique de Vogel.

On dit que l’hiver vient. Peut-être le dernier pour les porteurs du chromosome Y…
Août 415 après J-C. : La ville d’Alexandrie s’assoupit dans une odeur âcre de chair brûlée. Hypatie, philosophe et mathématicienne d’exception, vient d’être massacrée dans la rue par des hommes en furie, et ses membres en lambeaux se consument dans un brasier avec l’ensemble de ses écrits.
Cet assassinat sauvage amorce un engrenage terrifiant qui, à travers les lieux et les époques, sème la mort sur son passage. Inéluctablement se relaient ceux qui, dans le sillage d’Hypatie, poursuivent son grand oeuvre et visent à accomplir son dessein.
Juillet 2018 : Marie, jeune biologiste, stagiaire à la police scientifique, se trouve confrontée à une succession de meurtres effroyables, aux côtés de Marc Brunier, homme étrange et commandant de police de la « crim » du Quai des Orfèvres. Peu à peu, l’étudiante découvre que sa propre vie entre en résonance avec ces meurtres.
Est-elle, malgré elle, un maillon de l’histoire amorcée à Alexandrie seize siècles auparavant ? Quel est ce secret transmis par Hypatie et au coeur duquel se retrouve Marie ? L’implacable destin peut-il être contrecarré ou « le dernier Hyver » mènera-t-il inéluctablement l’humanité à sa perte ?

2013 : Madrid. Le Prado. Le Jardin des délices, célèbre triptyque du peintre flamand Jérôme Bosch, a été vandalisé par un prêtre dominicain. Le religieux, convaincu que l’œuvre dissimule un dangereux secret susceptible de nuire à l’Église, a lancé du vitriol sur le tableau avant d’être maîtrisé par les gardiens du musée.
Restaurateur de tableaux, Michael Keie se voit confier la tâche délicate de remettre le triptyque en état. Très vite, il fait une découverte stupéfiante : à plusieurs endroits, les couches de peinture altérées laissent transparaître des symboles cachés. Avec l’aide de son collègue madrilène Antonio de Nebrija, un vieil érudit fantasque, Keie va tenter de déchiffrer ces signes étranges.
1510 : Petronius Oris arrive à Bois-le-Duc dans les Flandres pour travailler aux côtés de Jerôme Bosch. Alors que la cité est envahie par les sbires de l’Inquisition, Petronius découvre que Bosch, initié à un secret hérétique, travaille en secret à un mystérieux triptyque.
Avec ses deux enquêtes parallèles, l’une dans le présent, l’autre dans le passé, qui se font écho pour percer le secret du célèbre Jardin des délices, Peter Dempf fait preuve d’une incroyable érudition et nous offre un suspense magistral qui tient en haleine jusqu’à la dernière page.

Une plongée suffocante dans les entrailles pourrissantes de Détroit, devenue cimetière de buildings
Novembre 1998. Le corps du petit Peter est découvert dans un buisson de Palmer Park. Il a été enlevé, étranglé puis déposé là par un homme dont la taille, d’après les rares indices récoltés, dépasse de loin celle du commun des mortels. L’enquête est confiée à l’inspecteur Stan Mitchell, alias « le Molosse », un flic violent banni de Washington et exilé à Détroit, cette cité géante autrefois gloire de l’industrie automobile devenue capitale du crime et qui, chaque jour, sombre un peu plus dans la décrépitude.
Bientôt, les enlèvements se multiplient et la presse commence à parler du « Géant de brume », croquemitaine terrifiant dévoreur d’enfants décrit par un témoin anonyme. Et tandis que la police patine, que Détroit se vide de ses habitants, Mitchell s’enfonce toujours un peu plus dans l’alcool et la solitude… L’affaire lui est retirée puis, avec le temps, à l’image des maisons de Détroit, abandonnée et oubliée.
Quinze ans plus tard, les disparitions recommencent. Mitchell qui a réussi à arrêter la spirale de sa déchéance est à nouveau sur le coup, épaulé par une jeune inspectrice récemment arrivée en ville, Sarah Berkhamp. Grâce à eux, le tueur, un géant placide nommé Simon Duggan, est enfin arrêté. Deux enfants n’ont toujours pas été retrouvés et sont peut-être encore en vie. Mais Duggan refuse de coopérer. Il ne veut parler qu’à Sarah. Pour sauver les enfants, la jeune femme va devoir écouter les fantômes du passé…

Calcutta, 1837. Le pays est sous la régence de la Compagnie britannique des Indes orientales. Figure haute en couleur chez les expatriés anglais, l’écrivain Xavier Mountstuart vient de disparaître dans les profondeurs de la jungle, alors qu’il faisait des recherches sur une secte d’assassins, les thugs. L’armée de la Compagnie envoie à sa recherche Jeremiah Blake, un agent spécial, grand spécialiste des mœurs du pays, accompagné d’un jeune officier, William Avery. C’est le début d’une aventure passionnante au pays des temples et des maharajahs. En approchant de la région où Mountstuart a disparu, celle des thugs, adorateurs de Kali, déesse de la mort et de la destruction, Blake et Avery vont bientôt découvrir une incroyable conspiration.
Un vrai roman d’aventures et de suspense qui tient à la fois du thriller historique et du voyage initiatique, un duo de personnages inoubliables : vous ne lâcherez pas Maharajah.

L’instinct maternel est l’arme la plus puissante au monde. Surtout quand on la retourne contre ses enfants.
Cinq jours et cinq nuits se sont écoulés avant que la police ne retrouve la victime dans cette grande maison. Cinq jours et cinq nuits qui ne furent qu’une succession de douleurs, de cauchemars, de flashs et de cris imaginaires face au parc où la victime avait été enterrée vivante…
Sur un autre continent et loin de cet enfer, Fanny vit avec son mari et leurs jumeaux. Leur existence bien réglée serait parfaite si Fanny ne percevait pas, à travers les affrontements qui éclatent entre ses enfants, chez l’un une propension à la tristesse, chez l’autre un penchant pour le mal. Chaque jour elle se dit, dans de brusques accès de peur, qu’elle ne pourra pas supporter une nouvelle crise de violence. Elle a de plus en plus de mal à entendre ces cris, ces hurlements qui la replongent au coeur d’images qu’elle voudrait tant oublier… à n’importe quel prix…

1692.
Salem, état du Massachusetts aux États-Unis.
Accusées de pratiques magiques, de nombreuses personnes sont alors mises à mort. Innocentes ou coupables ? Qui méritait réellement la potence ? De nos jours, alors que Max évite de peu la mort, la voilà sous l’emprise de songes qui semblent tous venir d’une époque lointaine où la sorcellerie et les démons hantaient l’imaginaire du commun des mortels.
Quel lien peut alors unir Max à un procès vieux de plusieurs siècles ?

Une avocate à succès, Rose Benninghoff, est allongée sur le sol de son appartement design… la gorge tranchée. Oliver Baptiste Junior, quatorze ans, est tapi dans le sous-sol de la maison, le corps recouvert d’hématomes, ses mains rouges de sang. Il ne se souvient de rien.
Par un rude hiver, le plus froid depuis des années, le commissaire Waechter et son équipe vont devoir organiser une redoutable chasse à l’homme pour retrouver le meurtrier. Mais la frontière entre victime et coupable se brouille. Les enquêteurs découvrent l’existence d’un vieux crime resté impuni, dont l’ombre menace de faire resurgir des démons oubliés.

Une avocate à succès, Rose Benninghoff, est allongée sur le sol de son appartement design… la gorge tranchée. Oliver Baptiste Junior, quatorze ans, est tapi dans le sous-sol de la maison, le corps recouvert d’hématomes, ses mains rouges de sang. Il ne se souvient de rien.
Par un rude hiver, le plus froid depuis des années, le commissaire Waechter et son équipe vont devoir organiser une redoutable chasse à l’homme pour retrouver le meurtrier. Mais la frontière entre victime et coupable se brouille. Les enquêteurs découvrent l’existence d’un vieux crime resté impuni, dont l’ombre menace de faire resurgir des démons oubliés.

Et vous, qu’est-ce qui vous a tapé dans l’oeil? hihi

aufildespages chroniqueuse littéraire

4 Comments on “Masse critique mauvais genres

  1. Pour moi dès 7 h (je pars après) j’ai cliqué sur Bâton de Réglisse Valérian MacRabbit /Desert Home James Anderson /La fille dans le brouillard Donato Carrisi (comme toi) /Opération Porcelaine Hugo Buan /Rien ne se perd Cloé Mehdi …A suivre
    Bon après midi, FLaure

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