Coucou les choupis!
Je commence la semaine sous les meilleurs auspices. En dehors du fait que je me traîne depuis ce matin comme une mamie arthritique et que je ne rêve que de ma couette. Et que je décompte les jours avant mes prochains congés…
Les meilleurs auspices, disais-je…
Oui!! Car figurez-vous, et c’est suffisamment rare pour que je le signale, j’ai gagné à un concours!!
Ma librairie préférée, Molière (ceux qui habitent en Belgique, dans ou près une certaine ville du Hainaut, la reconnaîtront), a organisé le mois dernier un concours photo. Il s’agissait de poster sur leur page Facebook une photo originale prise dans leur boutique.
Me prenant au jeu, et ayant sous la main de quoi correspondre au critère, j’ai envoyé une photo, que voici
Il y a un peu plus de deux ans maintenant, j’ai dit Oui à mon chéri. Et notre séance photo s’est déroulée à l’intérieur de cet endroit que j’adore! Mon amie et témoin m’avait fait cette immense surprise!
Alors, évidemment, je ne pouvais pas passer à côté de ce concours. Cette photo m’a valu de remporter un joli prix. Je vous montre?
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Dix femmes emprisonnées au milieu du désert australien. Dix femmes au crâne rasé, vêtues d’habits étranges. Trois geôliers, vicieux et imprévisibles, pour les surveiller. Un jour, la nourriture vient à manquer. Pour elles comme pour eux. Et les proies se changent en prédatrices.
Un jour d’automne, au milieu du XXIe siècle, dans une vieille ville anonyme, quelque part entre la mer et le désert. Les premiers pans du grand barrage qui coupe en deux les Îles du Levant se fissurent. Le jour de la chute du mur, quatre hommes prennent la parole à tour de rôle et imaginent le futur. Mais leur passé les rattrape car tous se souviennent de la mort de Walid, un adolescent qui, vingt ans auparavant, faisait voler son cerf-volant au-dessus de la frontière lorsqu’il fut pulvérisé par un drone ou une roquette, dans des conditions mal élucidées. Qui était-il réellement ? Qui l’a tué ? Pourquoi est-il mort ?
« Quand les enfants crèvent les écrans, quand ils arrachent le plastique et fractionnent les écorces de cette forêt véreuse, quand ils posent les doigts sur les fils conducteurs, les dénudant de leur enveloppe isolante pour atteindre l’âme dont ils jaugent la souplesse, le courant pourrait surgir, s’accrocher à leurs phalanges, les mordre – et puis les avaler ». Près du port d’Accra, au Ghana, dans une immense décharge de produits électroniques, Isaac et Moïse initient Jacob à la « fouille ». Trois jeunes garçons plongés dans les déchets de l’obsolescence industrielle auxquels Guillaume Poix donne une grâce singulière. Ce premier roman captive tant par son style lyrique et son ambition documentaire que par l’humour impitoyable qui interroge les zones troubles du regard occidental.
Félicitations ! Les résumés font très envie, en plus. J’ai hâte de savoir ce que tu en auras pensé !