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1, 2, 3, nous irons… parler d’amitié!

Notre comptine démarre… Mais à notre manière, évidemment.  Revisitons cette célèbre petite chansonnette en l’adaptant à notre passion. Cette semaine, nous allons compter et présenter trois lectures se rapportant au thème donné. C’est parti! 1, 2, 3, nous irons… parler d’amitié! Peu importe l’âge, la distance ou l’orientation sexuelle, l’amitié nous réunit. A nous de …

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A paraître: Le journal de Gurty: Vacances chez Tête de Fesse de Bertrand Santini

Sortie littéraire

Edition: Pepix Sarbacane

Nombre de pages: 176 pages

Date de sortie: 07/11/2018

Pépé Narbier, l’humain de Fleur, est tombé du toit en voulant donner à manger aux oiseaux. Gaspard décide de rester près de lui durant son séjour à l’hôpital, et la famille Caboufigues propose de prendre en pension Fleur et Gurty. Les deux amies vont donc devoir vivre sous le même toit que leur ennemi préféré : Tête de Fesses. Mais le chat n’entend pas céder un millimètre de son territoire à ses deux « étrangères »… La cohabitation ne s’annonce pas de tout repos !

Littérature jeunesse, Non classé

La vraie vie de l’école de Pauline ALPHEN

Edition: Nathan jeunesse

Nombre de pages: 287  pages

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Résumé: Ambre, 9 ans, est dyslexique. L’orthographe n’a rien de logique, et les lettres qui se mélangent sans cesse, quel enfer… !
Après trois années de scolarité en dents de scie, ses parents décident d’inscrire Ambre en CM1 dans une nouvelle école censée être très attentive aux élèves dyslexiques. Catastrophe ! Non seulement son institutrice est psychorigide, mais en plus elle se retrouve dans la classe de Morgane, qui était sa pire ennemie en maternelle !
Heureusement, bien que sensible, Ambre a une sacrée force de caractère et de l’humour. Elle ne se laisse pas abattre et elle entame une longue correspondance avec son frère aîné qui, peu à peu, va lui redonner confiance et lui donner le goût d’écrire.

Merci à l’édition Nathan jeunesse pour cette découverte

Mon avis: Ambre a bien du mal à l’école. Pourtant, ses parents l’ont inscrit dans une école pour enfants à difficultés scolaires. Mais ça ne l’empêche pas son esprit  de s’évader, et les lettres de bouger de place dans ses mots.

Heureusement, son grand frère la comprend. Elle peut lui écrire des emails dans lesquels elle raconte sa vie comme elle la voit, sans avoir peur d’être critiquée pour ses choix de vocabulaire.

Au travers de cette relation fraternelle, elle nous ouvre les portes sur son quotidien et nous raconte ses problèmes de son point de vue d’enfant. Un parcours scolaire compliqué s’il en est, puisqu’elle tombe en prime sur une maîtresse qui est loin d’être souple.

J’ai beaucoup aimé cette lecture. On parle beaucoup d’enfants dyslexiques, et dans la théorie, c’est assez facile à comprendre. Mais du côté pratique, c’est bien plus compliqué à appréhender. C’est un trouble qui ne se voit pas physiquement, et on pourrait avoir vite tendance à penser que l’enfant fait exprès de répéter ses erreurs, de mal écrire ses mots, voire de ne pas vouloir travailler. Hors, il n’en est rien. Ces enfants ont beaucoup de difficultés et fournissent davantage d’efforts ne serait-ce que pour rendre une copie sans trop de fautes.

Ce roman m’a permis de voir ces enfants différemment, de comprendre leurs difficultés quotidiennes, ainsi que leurs frustrations.

C’est donc pour moi une très belle découverte.

Littérature jeunesse, Non classé

Papa est en bas de Sophie ADRIANSEN

adrianse

Edition: Nathan Jeunesse

Nombre de pages: 119 pages

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Résumé: Ça s’est fait petit à petit. A présent, voilà, le papa d’Olivia est en bas, sans trop d’espoir que ça s’arrange. Atteint d’une maladie qu’il surnomme « la tartiflette », il ne peut plus monter l’escalier de la maison. Le quotidien de toute la famille se réorganise autour de lui à mesure que son état s’aggrave. Pourtant, la vie doit continuer pour Olivia, entre fou-rires et larmes, auprès de sa maman, de son chat et surtout de son papa.
Un sujet difficile (la fin de vie d’un parent) abordé sans pathos à hauteur d’enfant : on rit et on pleure avec Olivia, en suivant son quotidien et celui de sa famille. On voit la détresse de son père qui est bien obligé de se sentir progressivement diminué.

Merci à l’édition Nathan pour cette touchante lecture

Mon avis: Olivia adore sa famille. Ensemble, tous les 3, ils sont au paradis. Ils partagent les matchs de foot, les gourmandises, les conseil de famille.

Mais un jour, Olivia remarque des différences dans leur quotidien. Papa ne court plus, cherche à s’épargner des efforts, alors que jusque-là, il était toujours en pleine forme.

C’est alors qu’elle apprend l’existence d’une maladie qui affaiblit inexorablement son père. Ses effets sont de plus en plus dévastateurs. Et Olivia doit faire face à cette « tartiflette ».

Voilà un sujet bien sérieux pour un livre jeunesse. Et pourtant, c’est quelque chose que certains enfants traversent dans leur quotidien. La maladie de l’un de leurs parents bouleverse leur horizon, leurs repères, et ils doivent apprendre à vivre autrement.

A travers le regard d’Olivia, on constate les infimes changements qui en annoncent de plus grands. Elle nous raconte ses impressions, ses inquiétudes et ses questions. Il n’est pas facile pour un enfant d’appréhender ce genre de situation. Pour un adulte non plus, d’ailleurs. Mais un enfant n’a pas tous les éléments, tous les renseignements compliqués et/ou médicaux complexes à assimiler par exemple.

Ce roman nous permet de voir à travers leurs yeux et leurs pensées. Un fait que j’ai énormément aimé !

Voilà un livre que j’ai trouvé vraiment touchant, je dois bien l’avouer.

Le temps d'un café, Non classé

Throwback thursday livresque #23

Hello les citadins!!

Bettie Rose Books nous emmène dans les grandes villes cette semaine! 

Il ne me reste donc qu’à choisir un livre se déroulant dans une belle et grande ville!

New York, 2006. Avant la démocratisation de Facebook et l’avènement des smartphones, avant Obama, avant la crise des subprimes. Evelyn accepte un job de recruteuse pour un nouveau réseau social réservé aux très riches. Heureusement, sa scolarité dans un pensionnat huppé

de la côte est a bien rempli son carnet d’adresses. Autrefois critique vis-à-vis de ses parents parvenus, la jeune fille décide de reprendre contact avec les anciennes stars du lycée. Parmi elles, une it-girl règne en despote : la longiligne Camilla, virevoltant entre courses à la voile dans les Adirondacks et galas de charité sur la Cinquième Avenue. Auprès de l’héritière, Evelyn se met à espérer en un avenir royal. Mais gare à qui tentera de détrôner l’impératrice… Tandis qu’Evelyn se débat dans la jungle du gotha, le monde s’apprête à tomber entre les crocs du plus grand cataclysme financier du début du XXIe siècle.

Les ambitieuses de Stéphanie CLIFFORD

Pourquoi ce choix?

Ce n’est vraiment parce que j’ai adoré ce livre. Mais plutôt parce que pour une fois, on nous montre les bons et surtout les mauvais cotés de la société new-yorkaise. 

C’est un livre qui m’avait un peu bousculé, par ce point de vue. 

Bullet journal, Non classé

Bullet journal #16

Hello les amis!!

J’ai eu une semaine de congé très occupée!! Entre visites familiales, et fêtes, j’ai pu rattraper plusieurs envies que je gardais au chaud depuis un moment

Qu'ai-je fait la semaine dernière?

Pour le premier de l’An, j’ai deux traditions personnelles, je vous en ai parlé la semaine dernière, vous vous rappelez?
Bon, du coup, j’ai entamé une nouvelle broderie, histoire de me porter bonheur pour le reste de l’année.
Pour la suite, elle devra attendre sagement que je termine celle en cours, mais c’est un début.
L’autre tradition, c’est une nouvelle lecture à entamer également. J’ai donc plongé sur mon Outlander, dans lequel j’ai lu les deux premiers chapitres.
La semaine dernière, je vous parlais de ma découverte des figurines de collection Funko Pop.
Grâce à mon chéri et à mes deux grands louveteaux, je suis entrée dans une nouvelle ère: le geekomania!
Etant en congé, j’ai eu davantage le temps de travailler sur ma broderie en cours.
J’ai terminé la première saison de Dynastie. Reste à savoir maintenant si elle sera reconduite. Ce serait dommage que ça s’arrête là
J’ai terminé la seconde saison de The Crown. Elle m’a énormément touché, l’épisode sur la jeunesse du Prince Philippe en particulier. Je n’ai plus qu’à attendre la saison 3…
Enregistré la semaine précédente, je me suis installée devant Cendrillon. Je ne me lasse pas de ce film, que je trouve magnifiquement réalisé!
J’ai fait les soldes aussi…. à ma manière….
Mon oncle m’avait conseillé de regarder le Loup de Wall Street, me disant que c’était un film démesuré. Je l’ai regardé… Il avait raison! En même temps c’est un film de Scorcese…
J’ai visionné le film Mother, que j’avais très envie d’aller voir lorsqu’il est sorti au ciné. J’ai bien fait de ne pas y aller…

Que vais-je faire cette semaine?

J’ai bien envie de me pencher sur la série Guerre et Paix 
J’ai bien avancé la semaine dernière, je voudrais pouvoir encore faire quelques points sur ma broderie cette semaine
Je vais lire les chapitres 3 et 4 d’Outlander, bien sûr.
Il faut que j’établisse mon programme de chroniques. Durant ma semaine de vacances, j’ai lu un peu plus, du coup j’ai un peu d’avance
Je vais préparer les envois pour les gagnants du concours de Noël. Je vous prépare une toute petite surprise, les amis

La découverte de la semaine

Ma soeur m’a parlé de cette série. En jetant un oeil à la bande-annonce, j’avoue que c’est très intrigant!

Le thème de la semaine

Comme vous avez pu le remarquer, je me suis fait une orgie télévisuelle cette semaine!
Je vais rester sur le même thème, et vous parler de romans ayant été adapté au cinéma.
 Dans les tranchées de la Somme, pendant la Première Guerre mondiale, cinq soldats sont accusés de s’être auto-mutilés pour échapper à leur devoir. Condamnés à mort par une cour martiale, ils sont conduits jusqu’à un avant-poste nommé « Bingo crépuscule » et abandonnés à leur sort dans le No man’s land qui sépare les deux camps. Parmi eux figure Manech, le fiancé de l’héroïne du film, une jeune boiteuse romantique prénommée Mathilde qui ne croit pas au décès de son amoureux. S’il était mort, elle le saurait. Forte de cette intuition, Mathilde mène son enquête et recueille peu à peu les indices qui vont l’amener à découvrir ce qui s’est passé ce jour-là à « Bingo crépuscule »…
A l’époque de la Grande Dépression. Ayant perdu famille et foyer, Jacob Jankowski, complètement perdu, saute dans le premier train qui passe, celui du cirque Benzini. Il va découvrir ce monde de marginaux et de laissés-pour-compte, tomber amoureux d’une belle écuyère et s’occuper du dressage de Rosie, une éléphante.
Nathalie rencontre son mari par hasard. Il l’aborde dans la rue, elle accepte sans trop savoir pourquoi d’aller boire un verre avec lui et c’est finalement le coup de foudre.
Sept ans après, elle le retrouve sur son lit d’hôpital. Est-ce qu’une deuxième vie sentimentale est possible, telle est la question que se pose l’héroïne, Nathalie.
Elle va être séduite par Marcus, d’origine suédoise. Capable de rire du plus fort taux de suicide de son pays, il est doté d »un humour à l’anglo-saxonne. Mais se dégage de lui un telle sensualité que Nathalie ne peut pas résister. Natahlie en sera troublée malgré les oppositions de son entourage. Car Marcus a quelque chose d’unique…
 » Je m’appelle Renée, j’ai cinquante-quatre ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bourgeois. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j’ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Mais surtout, je suis si conforme à l’image que l’on se fait des concierges qu’il ne viendrait à l’idée de personne que je suis plus lettrée que tous ces riches suffisants. Je m’appelle Paloma, j’ai douze ans, j’habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches. Mais depuis très longtemps, je sais que la destination finale, c’est le bocal à poissons, la vacuité et l’ineptie de l’existence adulte. Comment est-ce que je le sais ? Il se trouve que je suis très intelligente. Exceptionnellement intelligente, même. C’est pour ça que j’ai pris ma décision : à la fin de cette année scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai. « 
Votre job vous ennuie à mourir ? Vos amours laissent à désirer ? Rien de tel qu’un peu de shopping pour se remonter le moral… C’est en tout cas la devise de Becky Bloomwood, une jolie Londonienne de vingt-cinq ans. Armée de ses cartes de crédit, la vie lui semble tout simplement magique ! Chaussures, accessoires, maquillage ou fringues sublimes… rien ne peut contenir sa fièvre acheteuse, pas même son effrayant découvert. Un comble, pour une journaliste financière qui conseille ses lecteurs en matière de budget ! Jusqu’au jour où, décidée à séduire Luke Brandon, un jeune et brillant businessman, Becky s’efforce de s’amender, un peu aidée, il est vrai, par son banquier, qui vient de bloquer ses comptes… Mais pourra-t-elle résister longtemps au vertige de l’achat et à l’appel vibrant des soldes
Lorsque Sarah, 10 ans, est brutalement tirée du sommeil pour être emmenée avec ses parents, elle pense revenir très vite et cache innocemment son petit frère dans le placard secret de l’appartement. Mais c’est au Vélodrome d’hiver que Sarah, comme des milliers d’autres juifs en cette nuit de juillet 1942, est conduite…
Lorsque 60 ans plus tard, Julia, journaliste, se voit confier la rédaction d’un article sur les rafles du Vel d’Hiv, elle découvre avec horreur l’histoire de Sarah, et le visage de la petite fille ne la quitte plus.
Contre l’avis des siens, Julia décide de faire la lumière sur des évènements qui ont à jamais changé des vies, et cela même au prix de ce qu’elle a de plus cher au monde…
Jackson, Mississippi, 1962. Dans quelques mois, Martin Luther King marchera sur Washington pour défendre les droits civiques. Mais dans le Sud, toutes les familles blanches ont encore une bonne noire, qui a le droit de s’occuper des enfants mais pas d’utiliser les toilettes de la maison. Quand deux domestiques, aidées par une journaliste, décident de raconter leur vie au service des Blancs dans un livre, elles ne se doutent pas que la petite histoire s’apprête à rejoindre la grande, et que leur vie ne sera plus jamais la même. Grand prix des lectrices de Elle 2011 et prix des lycéennes de Elle 2011.
Orpheline, Jane Eyre est recueilli à contrecœur par une tante qui la traite durement. Placée dans un orphelinat, elle y reste jusqu’à l’âge de dix-huit ans. Elle devient alors institutrice dans une famille et tombe passionnément amoureuse du père de son élève. Un amour partagé, auquel elle résistera d’abord. Mais son sentiment, plus fort que tout, aura raison de ses incertitudes.
 Et voilà, c’est ici que je referme mon cahier. Je vous retrouve la semaine prochaine!

C'est lundi, que lisez-vous?, Non classé

C’est lundi, que lisez-vous? (181)

c'est lundi, que lisez-vous printemps

Rendez-vous initié par Mallou qui s’est inspirée de It’s Monday, What are you reading ? de One Person’s Journey Through a World of Books. Le récapitulatif des liens se fait maintenant sur le blog de Galleane.


Il s’agit de répondre à trois questions:

1. Qu’ai-je lu la semaine passée?

2. Que suis-je en train de lire?

3. Que lirai-je après?

Le royaume des sept couronnes est sur le point de connaître son plus terrible hiver : par-delà le mur qui garde sa frontière nord, une armée de ténèbres se lève, menaçant de tout détruire sur son passage. Mais il en faut plus pour refroidir les ardeurs des rois, des reines, des chevaliers et des renégats qui se disputent le trône de fer, tous les coups sont permis, et seuls les plus forts, ou les plus retors s’en sortiront indemnes …

En 1944, le camp de concentration de Ravensbrück compte plus de quarante mille femmes. Sur ce lieu de destruction se trouve comme une anomalie, une impossibilité : la Kinderzimmer, une pièce dévolue aux nourrissons, un point de lumière dans les ténèbres. Dans cet effroyable présent une jeune femme survit, elle donne la vie, la perpétue malgré tout.

«La gloire est éphémère, seule la renommée est durable.» Près de deux siècles d’histoires d’amour et de beauté, perlés de tant de parfums imaginés, se sont écoulés depuis qu’un jour de 1828 Pierre-François-Pascal Guerlain (1798-1864), parfumeur-chimiste de son état, ouvrit sa première boutique, rue de Rivoli, non loin du très chic hôtel Meurice, à Paris… Son destin avait été scellé bien des années auparavant, dans ce berceau d’odeurs où s’écoula sa petite enfance à Abbeville, auprès de son père, marchand d’épices et potier d’étain. Muscade, cannelle, vanille, poivre venus de terres lointaines avaient fait rêver l’enfant et nourri sa mémoire à jamais. Des velléités d’indépendance, le désir, encore fugace, de se réaliser poussèrent sur la route un jeune homme prêt à tout pour conquérir ses rêves, et qui allait se révéler bientôt en créateur visionnaire, doué d’un génie sans égal pour combiner d’heureuses alliances olfactives… Libre et audacieux, Guerlain suivit son intuition, offrant à une clientèle exigeante des fragrances inoubliables, encloses dans des flacons aussi élégants que raffinés, comme on n’en avait encore jamais vu. Après lui, Aimé, Jacques, Jean-Paul poursuivront l’aventure en la réinventant sans cesse, au point d’incarner le Paris du luxe et de la volupté. Une réussite familiale romanesque, que fait revivre avec talent la plume d’Élisabeth de Feydeau. Une histoire, enfin, où égéries et muses ne manquent pas, qui ont inspiré parmi les grands succès de la Maison «Jicky», «L’Heure Bleue», «Mitsouko», «Shalimar»…

Et vous, que lisez-vous?