Bonjour les amis lecteurs!!!
Vous aussi, vous l’attendez avec impatience, cette rentrée littéraire? Vous aussi, vous avez repéré des dizaines de titres qui vous tentent?
Je vais vous parler de ceux qui me font de l’oeil hihi
Parigné-l’Evêque dans la Sarthe. En 1914, lors de la fête de la Saint-Jean, une jeune lavandière, Louise, rencontre Justin, un fermier des environs. Le garçon, qui vient de reprendre l’exploitation familiale après le décès de ses parents, tombe sous son charme et l’épouse aussitôt. Mais la guerre éclate, il est envoyé au front ; en l’espace de deux semaines, Louise se retrouve seule sans avoir eu le temps de se familiariser avec les travaux de la ferme. Heureusement, elle peut compter sur le soutien des autres paysannes du voisinage, privées comme elle de leur mari.
L’heure de la moisson sonne. Une extraordinaire entraide s’organise et toutes les femmes du village se mobilisent. Un homme vient leur prêter main forte, un capitaine de l’armée belge en mission au Mans. Ingénieur agronome dans le civil, il est d’un grand secours. Trop sans doute, car son omniprésence va jeter le trouble dans la solidarité féminine…
« Ma chance à moi, Stéphanie St-Clair, négresse française débarquée au beau mitan de la frénésie américaine, fut qu’à mon arrivée, Harlem commençait à se dépeupler de ses premiers habitants irlandais, puis italiens, lesquels cédaient la place jour après jour, bloc d’immeuble après bloc d’immeuble, à toute une tralée de nègres venus du Sud profond avec leur accent traînant du Mississipi et leur vêture ridicule en coton de l’Alabama. Dès le premier jour où j’ai posé le pied sur cette terre d’Amérique, pourtant pas si éloignée de mon île natale, je décidai que personne ne me marcherait plus sur les pieds ni ne me traiterait en petit Négresse. Personne ! »
Raphaël Confiant raconte ici le destin d’une femme-gangster exceptionnelle, Stéphanie St-Clair qui, dans le New York des années 1920-1940, devint la reine de la Loterie clandestine. Surnommée « Madame Queen » ou « Queenie » par le milieu, elle aura affronté avec succès à la fois la pègre noire et la mafia blanche du Syndicat du crime.
Parce que son bébé, Raphaël, a été conçu dans des circonstances tragiques, la jeune Adèle décide de l’abandonner à l’orphelinat de Nîmes. Le lendemain, un autre enfant y est déposé. Ce dernier est recueilli par une famille aimante, à l’inverse de Raphaël, adopté par des paysans qui l’exploitent comme main-d’Åuvre gratuite. Mais la route des deux garçons n’a pas fini de se croiser, d’autant qu’un lourd secret pèse sur eux depuis l’orphelinat
1870. Ayant survécu miraculeusement à une terrible blessure à la bataille de Sedan, un jeune quimpérois, qui se considère affranchi de tout scrupule moral, revient dans sa ville natale avec l’ambition de réussir coûte que coûte.
Son ascension dans la manufacture de papier où il se fait embaucher est fulgurante. Il accomplit même l’impossible pour un simple ouvrier : il épouse la fille du patron. Mais ses rêves de réussite tournent au cauchemar quand il comprend que ses propres enfants sont pires que lui…
Le combat incroyable d’une mère pour soustraire son fils des mains de religieux intégristes juifs en Israël.
1897, dans le pays nantais. A la mort de son mari, un vigneron ivrogne et brutal qui l’avait épousée pour sa dot malgré son infirmité (elle a un bras atrophié), une jeune nantaise décide de consacrer sa vie à la défense de la cause des femmes.
Son audace dérange au point de susciter contre elle une terrible cabale : on l’accuse d’avoir laissé mourir son mari. Inculpée, emprisonnée, elle doit bientôt lutter pied à pied pour sauver sa tête….
Le tueur en série naît au XIXe siècle avec l’urbanisation et le développement de la presse qui rend célèbre son activité. Les guerres mondiales et les totalitarismes du XXe siècle font ensuite considérablement évoluer sa figure et sa manière de tuer. Car le tueur en série est avant tout le reflet de la société dans laquelle il vit. A chaque société, pays, époque, son profil de tueur. Fabrice d’Almeida nous propose une douzaine d’affaires ayant défrayé la chronique, de Jack l’Eventreur à Zhang Yongming, en passant par Landru ou Ted Bundy. Grâce à une iconographie exceptionnelle mêlant sources judiciaires et coupures de presse, il retrace le parcours fou de ces tueurs et remonte le fil des enquêtes, souvent rocambolesques, qui ont permis leur arrestation.
À Fairy Oak, depuis plus de mille ans, quand sonne minuit, de minuscules fées lumineuses racontent des histoires de petits enfants à des sorcières attentives. Insolite, n’est-ce pas ?! Chacun sait en effet que les fées et les sorcières ne s’entendent pas très bien et que ces dernières n’aiment pas du tout les enfants. Mais nous sommes dans la Vallée de Verte-Plaine, dans le village de Fairy Oak, et ici, les choses ne se passent pas comme ailleurs…
Pour suppléer son mari blessé à la guerre, Joseph, et élever Pierre, deux ans, et Jeanne, trois mois, Rosine devient nourrice de Suzanne, pupille de l’Assistance publique. Mais l’enfant meurt prématurément, au grand désarroi de la famille qui en vient à un acte insensé : substituer Jeanne à Suzanne. Les années passent et la peur que l’inspection découvre l’imposture s’estompe… jusqu’au texte de loi du 19 juin 1923 qui régit l’adoption des mineurs. Un riche couple parisien, sans enfants, porte son choix sur Jeanne-Suzanne au grand désespoir de Rosine et de Joseph qui vont devoir se lancer dans une course à l’adoption de leur propre fille… au risque de la perdre à jamais.
Pendant la guerre de Sécession, une jeune femme se travestit en homme pour aller combattre à la place de son trop fragile compagnon. Ayant perdu trace de son régiment après une bataille féroce où elle a été blessée, Constance, guidée par l’amour infini qu’elle porte à Bartholomew, entame le long et périlleux périple de retour. Elle sera recueillie et soignée par une infirmière veuve de guerre, qui s’éprend d’elle et lui propose de partager sa vie, ce que Constance refuse. Par dépit, celle qui l’avait entourée de soins la fait enfermer dans une maison de fous, dont Constance parvient à s’échapper.
Le « Phénomène des Chalous », c’est elle, Reine Bellefontaine, la nouvelle institutrice du village. Un phénomène car, en dépit d’être jeune et inexpérimentée, d’être nommée dans une petite commune au cœur des montagnes où l’école n’est plus qu’un bâtiment tombant en ruine sans matériel ni livres, Reine est têtue, fantasque et déterminée. Ses erreurs de débutante et les embûches causées par certaines personnes malintentionnées seront vite dépassées grâce à son ingéniosité et à son enthousiasme, au point de s’attirer finalement la sympathie des élèves et de leurs parents et de devenir une personnalité influente au sein du village…
Contre l’avis de ses parents, qui ont fui Saint-Just, origine des malheurs de leur famille, Gabriel se félicite de sa nomination comme instituteur dans le village cévenol. Vivre dans cet environnement qui l’enthousiasme, enseigner dans ce décor dont il ne cesse de s’extasier sont un bonheur permanent qui est à son comble quand il fait la rencontre de la belle Claire, maman de Suzette, l’une de ses élèves. Mais Claire, l’artiste parisienne, n’est pas la bienvenue au village et en subit médisances et méchancetés. Gabriel va alors tout faire pour accorder ses deux amours…
En Médoc, on est soit ribeyrot, soit landescot. Les uns ont le vin et la rivière, les autres les pins et l’océan. Mais jamais les deux en même temps. Faisant fi de ces rivalités ancestrales, Marc et Élisabeth vivent toutefois un parfait amour naissant. Jusqu’au jour où Colette, la mère d’Élisabeth, reste figée devant une photographie qui trône sur la cheminée de Marc… Le vent du mystère se lève et se transforme en tempête dans cette petite maison sur la dune…
Tandis que l’exode rural continue, les mentalités dans les années 60 changent. Pourtant, chez les Mahaux, sur le haut pays, on garde les pieds sur terre. Difficile alors pour Bob, le fils aîné, artiste et anticonformiste, de trouver sa place dans une famille et un milieu, celui de la scierie, où le sens du travail et de la responsabilité sont érigés en maître. La cohabitation est houleuse avec son frère Pierre, apprenti dans l’entreprise familiale, qui, de victoire en victoire en ski de fond, ne rêve que de participer aux jeux Olympiques, comme l’oncle Sabot…
Montana, États-Unis, printemps 1867 : Milly Burnett, 19 ans, débarque de son Massachussetts natal en plein Far West américain pour y occuper un poste d’institutrice dans la petite ville de Tolstoy. Émancipée et éprise de liberté, Milly Burnett est là pour construire son bonheur tout en éduquant les enfants. La vie est âpre mais les liens se tissent vite dans cette contrée encore sauvage. Mais lorsque notre jeune institutrice accepte d’accueillir un élève atypique, Joshua, 17 ans, marginalisé injustement par la petite communauté, les ennuis commencent… Milly parviendra-t-elle à faire fi des conventions et à vivre une vie aussi libre qu’elle l’espérait ?
La gouvernante de la princesse Elisabeth a bien du mal à la faire obéir. Avec l’accord du roi de France, qui n’est autre que le grand-père d’Elisabeth, elle va engager une sous-gouvernante, madame de Mackau, qui aura pour mission de la « mâter ». Mais Elisabeth n’est pas décidée à se laisser faire… Heureusement, elle va vite devenir inséparable d’Angélique, la fille de madame de Mackau.
Ensemble, Elisabeth et Angélique vont être amenées à résoudre une énigme bien mystérieuse… à qui est adressé le billet dissimulé dans le précieux automate d’Elisabeth ? Comment retrouver « La Dame à la Rose », le précieux tableau qui a disparu depuis plus de 30 ans ? Pour les aider, elles pourront compter sur Théo, le jeune page…
1430, à Bruges. La jeune enlumineuse, Naëlle du Hesdin, assiste au mariage fastueux de Philippe le Bon, duc de Bourgogne, avec Isabelle du Portugal. Au cours des festivités, Naëlle n’a d’yeux que pour le beau seigneur Thibault de Ghiselin. Qu’il soit marié et noble ne l’empêche pas de se faire ce serment : « Nul autre n’auray », reprenant la devise du tout nouvel ordre prestigieux de la Toison d’Or. Elle revoit Thibaut par l’intermédiaire de son frère, qui crée des vitraux pour les églises de son fief lillois.
Thibault n’est pas insensible au charme de Naëlle, mais il a juré fidélité à son épouse à laquelle on l’a marié contre son gré. Le retour de l’ancien écuyer de son père défunt, qui reparaît après des années de captivité chez les Ottomans porteur d’un incroyable secret, remet tout en cause. Les révélations du vieux guerrier jettent le déshonneur sur Thibault qui n’a plus qu’une alliée : Naëlle…
Gloria, l’arrière-petite-fille de Gwyneira McKenzie (la jeune Anglaise qui débarquait sur les côtes de la Nouvelle-Zélande dans Le Pays du Nuage blanc), a joui d’une enfance et d’une adolescence idylliques à Kiward Station, la ferme familiale.
Mais tout s’effondre quand ses parents – pourtant absents car pris par la carrière de cantatrice de sa mère – lui font savoir qu’il est temps pour elle de devenir une véritable lady.
Gloria doit alors tout quitter et faire ses adieux à ceux qui l’entourent, en particulier son cousin Jack, dont elle est très proche. Destination l’Angleterre et un austère pensionnat !
Contrainte de se plier aux règles strictes de l’établissement, incapable de s’intégrer, Gloria se retrouve plus seule et démunie que jamais.
Aussi décide-t-elle de rentrer coûte que coûte dans son pays, celui du nuage blanc, et, qui sait, d’y retrouver Jack…
Tara Duncan, celle qui fut sans doute la sortcelière la plus puissante qu’on ait jamais vu sur AutreMonde, a perdu sa magie. Depuis deux ans, elle vit comme une simple humaine – ce qui s’avère nettement moins drôle que prévu.
Et puis, Tara est enceinte. Et même très enceinte puisqu’elle attend des jumeaux. Dans ses mauvais jours, l’héritière se dit qu’elle tient davantage de la baleine ou de l’oie obèse que de la farouche guerrière qui a défait le terrifiant roi des Démons.
Mais d’autres événements, moins réjouissants, surviennent bientôt. Sieur Gueder Amandach, le nouveau représentant des nonsortceliers, affiche une hostilité grandissante envers le peuple de Tara. On rapporte à l’Impératrice de troublantes disparitions de centaures, de licornes, de gnomes et de fées. C’est alors qu’on découvre que presque tous les paons aux yeux d’or, emblèmes de l’Empire d’Omois, ont été enlevés.
Or une prophétie dit que le jour où les paons pourpres ne voleront plus dans le Palais de Tingapour, la dynastie des Duncan s’effondrera. Pendant que Cal part pour les plaines du Mentalir afin d’élucider ces disparitions, Tara mène (lentement, très lentement…) l’enquête au Palais de Tingapour. Tous deux découvriront bientôt que complots et trahisons ne s’arrêtent jamais.
Les marais des Everglades sont troubles, ce matin. On vient de trouver le corps d’une femme. Une femme noire. Abe est procureur, réputé irréprochable et sans tache et, pour lui, cette scène de crime n’est pas différente d’une autre. Mais quand on identifie le corps, et que l’agent Victoria Santos lui demande s’il connaît cette femme, Abe hésite à répondre… Une seconde d’hésitation qui le propulse du côté des suspects. Et l’entraîne dans les profondeurs d’une spirale infernale le jour où sa propre femme, Angelina, disparaît à son tour.
Meurtres en série. Infidélités conjugales. Secrets inquiétants. Machination.
Qu’y a-t-il vraiment sous la surface des êtres et des choses ?
Un roman meilleur que du chocolat… à dévorer sans culpabilité!
Trois amies inséparables, des plaisirs gourmands en quantité, une bonne dose de fous rires et des beaux hommes à profusion: du bonbon!
Melissa, Anne‐Marie et Mylène sont trentenaires, proches depuis toujours. L’une est une mère de famille dévouée, l’autre est mariée à un homme fortuné et la troisième est une femme de carrière un peu trop indépendante. Désirant pimenter leur vie plutôt stable, les jeunes femmes ouvrent une boutique de cadeaux sucrés: Miss Caprice.
Au fil du succès de la pâtisserie, les trois copines sont confrontées à de multiples changements et questionnements, certains reliés à leur nouvelle entreprise, plusieurs autres à leur vie amoureuse. Admirateur secret, trahisons, flamme interdite et passions de toutes sortes se succèdent dans ce nouveau roman à s’en lécher les doigts !
21e siècle sur terre.
L’humain est optimisé mais la matrice du monde se détraque. Sept individus sont envoyés en mission dans une zone blanche non cartographiée. Trois femmes et quatre hommes aux capacités étonnantes. Ils forment un groupe d’élite censé répondre à toutes les situations. Ils n’ont pas choisi de travailler ensemble mais devront faire équipe pour rester en vie. Leur mission, tenue secrète : détruire l’unité centrale avant qu’il ne soit trop tard.
Nom de code : Alienare. Durée : 48 heures.
Plongez dans Alienare et son univers post-apocalyptique aux couleurs froides. Laissez-vous entraîner dans cette fiction, entre littérature et cinéma. Une ergonomie pensée pour une immersion totale grâce à des animations naturellement intégrées au récit.
Et vous, qu’est-ce qui vous tente?
Une belle sélection ! J'attend aussi le nouveau Tara Duncan 🙂