Coucou les amis!
Voilà notre rendez-vous du dimanche!
C’est le jour où je vous montre toutes les futures belles lecture que j’ai reçu durant la semaine.
C’est parti!
« Copernic était un crétin. Il croyait que l’univers tournait autour du soleil. Alors que, de toute évidence, le monde tourne autour de mes seins. »Une copine révoltée contre le monde entier, un nom imprononçable, une récente passion pour le volley et un crush pour le petit nouveau du lycée… La vie serait somme toute plutôt supportable pour Greer si elle n’était pas obligée de la partager avec deux collocataires un poil envahissants : ses seins.
Gallimard jeunesse
Pour subvenir aux besoins de son foyer, la jeune Violette est contrainte de quitter son nourrisson et son mari sans travail, pour » partir en nourriture » à Paris. Un roman qui évoque la mémoire des femmes morvandelles, nourrices prisées dans la capitale à la fin du XIXe siècle.
1885. Dans l’attente de son premier enfant, Violette cultive un bonheur simple avec son mari Bertin. Même s’ils vivent de peu dans leur masure morvandelle, et qu’elle est souvent seule quand lui, galvacher, s’en va des mois durant avec ses bœufs pour se louer.
Mais Bertin est las de sa vie itinérante. Il a une idée en tête… Que sa douce épouse aille » en nourriture » chez des bourgeois à Paris. En effet, les nourrices y sont choyées un an ou plus, puis rentrent avec un joli pécule. Au prix d’un lourd sacrifice : se séparer de leur enfant.
Bientôt, l’argent vient à manquer et Bertin peine à trouver du travail. La jeune mère doit se résoudre à partir, et confie sa fille aux bons soins de sa sœur.
Devenue une nourrice appréciée, elle va faire dans la capitale une rencontre qui la bouleversera à jamais… Qu’en sera-t-il de Violette, loin des siens ?