In my mailbox

In my mailbox (178)

Coucou mes citrouilles!!
Nous voilà déjà arrivés à un nouveau dimanche!
Nous avons vraiment eu une belle semaine finalement, avec un beau et chaud soleil. De quoi réchauffer un peu la maison (et d’économiser le chauffage), de pouvoir admirer les belles couleurs oranges et brunes des tapis de feuilles, et de profiter pour prendre encore un tout petit peu de vitamine D. 
Et puis, tout ça me donne envie de repas gourmands (tartiflettes, raclettes, et j’en passe!)
Enfin, je ne rêve que de me pelotonner sous ma couette avec une pile de livres! Pas vous?
D’ailleurs, j’ai reçu et acheté de belles choses qui me donnent envie de plonger instantanément sur mon canapé!

Un concours

Je vous en ai parlé ici

Quand Molière me gâte…

Un craquage

Trois femmes, trois âges, trois amies que les hasards de l’existence et les épreuves ont rapprochées dans un lieu comme aucun autre.

Trois façons d’aimer. Aucune ne semble conduire au bonheur.

Séparément, elles sont perdues. Ensemble, elles ont une chance.

Accrochées à leurs espoirs face aux tempêtes que leur réserve le destin, avec l’énergie et l’imagination propres à celles qui n’ont plus rien à perdre, elles vont tenter le tout pour le tout. Personne ne dit que ça ne fera pas de dégâts…

Belfond

Quand je revois mon enfance, le seul fait d’avoir survécu m’étonne. Ce fut, bien sûr, une enfance misérable : l’enfance heureuse vaut rarement qu’on s’y arrête. Pire que l’enfance misérable ordinaire est l’enfance misérable en Irlande. Et pire encore est l’enfance misérable en Irlande catholique.  » C’est ce que décrit Frank McCourt dans ce récit autobiographique. Le père, Malachy, est un charmeur irresponsable. Quand, par chance, il trouve du travail, il va boire son salaire dans les pubs et rentre la nuit en braillant des chants patriotiques. Angela, la mère, ravale sa fierté pour mendier. Frankie, l’aîné de la fratrie, surveille les petits, fait les quatre cents coups avec ses copains. Et, surtout, observe le monde des adultes. La magie de Frank McCourt est d’avoir retrouvé son regard d’enfant, pour faire revivre le plus misérable des passés sans aucune amertume.

Kennes

À Fairy Oak, le printemps est enfin arrivé. L’air a le parfum des narcisses, des longues journées et des jeux. Mais aussi de la pluie. Et il pleut, en effet, à verse, il grêle même! Pendant de longues, d’interminables journées. Heureusement que Shirley Poppy est là pour ranimer les âmes des enfants du village avec un nouveau mystère inextricable. Car, au cœur de l’atelier de sa tante, la jeune et très puissante sorcière a trouvé un livre de recettes très, très étrange. Dans ses anciennes pages froissées, ce n’est ni d’œufs ni de farine qu’il est question mais d’épées de sel, de morceaux de ciel, de cœurs de pierre et d’un secret: le Secret du Bois. Décidée à découvrir de quoi il retourne, Shirley entraîne les jumelles Vanilla et Pervinca et toute la Bande du Capitaine dans une série de mirobolantes aventures. Ce sera au péril de leur vie, les enfants le savent, mais ce qu’ils vont voir et apprendre les récompensera largement de leurs blessures et de leur peur. À tout jamais.

Presses de la Cité

​« Ça ne t’arrive jamais de t’arranger avec la vérité ? »

Becca ne répondit pas : sa vie entière à Whidbey reposait sur un mensonge…

Becca a débarqué sur l’île de Whidbey sous une fausse identité afin d’échapper à son beau-père ; sa mère devait la rejoindre un an auparavant, pourtant la jeune fille est toujours sans nouvelles. Désespérée, elle s’est lancée à sa recherche mais son enquête tourne court… contrairement à celle d’Olivia Bolding, une journaliste qui s’intéresse à la disparition de la mère et de la fille. Becca pourra-t-elle se cacher encore longtemps ? D’autant que ses amis ont plus que jamais besoin d’elle : Seth doit prendre en charge son grand-père convalescent et aider sa petite amie, Prynne, aux prises avec la drogue ; Derric a retrouvé sa soeur, Réjouissance, qui ignore les liens du sang qui les unissent ; Jenn, elle, est perturbée par les sentiments qu’elle éprouve pour l’une de ses coéquipières de foot.

Et vous, qu’avez-vous découvert?

aufildespages chroniqueuse littéraire

8 Comments on “In my mailbox (178)

Donnez moi votre avis