Bonjour les amis!
Dans le monde des bloggueurs littéraires, la masse critique de Babélio est toujours très attendue.
Pour ceux qui ne l’ont encore jamais fait, le principe est simple. Il suffit d’avoir un blog littéraire (ou pas, merci à celle qui m’a corrigé hihi) et d’avoir envie de lire. Pas bien compliqué jusque là. Ensuite, il faut se rendre sur la page de la masse critique ICI pour cocher ses choix. Ensuite, que la chance soit avec vous! Un tirage au sort, et vous aurez peut-être l’occasion de recevoir un livre en échange d’une critique.
Pour ma part, voilà les livres que j’ai repéré
Un après-midi de septembre, à la gare de New York, Mr Selden rencontre par hasard Miss Lily Bart ; elle vient de manquer le train qui devait la conduire chez des amis. Elle accepte de venir prendre une tasse de thé chez l’avocat. C’est l’occasion pour lui de faire une cour discrète à cette jeune femme de vingt-neuf ans, orpheline charmante mais sans argent, qui aimerait faire un riche mariage. Mais, pour elle, cc moment passé seule à seul chez un célibataire est aussi la première entorse aux usages du monde. Evocation brillante de la haute société new-yorkaise, où la richesse ne compte qu’affichée, Chez les heureux du monde fonde son intrigue sur le thème du mariage et de l’ascension sociale qu’il permet. Mais Lily Bart confond la vie et les fausses valeurs auxquelles elle sacrifie son âme…
Durant toute leur enfance, Nick et sa cousine Helena ont partagé des étés radieux à Tiger House, la maison familiale sur l’île de Martha’s Vineyard. Alors que la Seconde Guerre mondiale touche à sa fin, les deux jeunes femmes rêvent de grandes choses dans un monde où tout leur semble possible. Helena part pour Hollywood où elle va se remarier, tandis que Nick retrouve son jeune époux, Hughes, sur le point de rentrer de Londres où le conflit l’a mené.
Chaque été, elles retournent à Tiger House avec mari et enfants et retrouvent un environnement de fêtes et de cocktails, de clair de lune et de jazz. Mais les choses ne se passent pas comme elles l’avaient imaginé l’une et l’autre et, au fil des années, les séjours à Tiger House se compliquent. Un été, à l’aube des années 1960, Daisy, la fille de Nick, et Ed, le fils d’Helena, font une sinistre découverte. La famille se trouve alors définitivement plongée dans la tourmente et déchirée par les mensonges et les secrets soigneusement enfouis jusque-là.
Sylvie Yvert se glisse dans les pas de Madame Royale et donne voix à cette femme au destin hors du commun qui traversa les événements avec fierté et détermination. Sous sa plume délicate et poignante, la frontière entre victoire collective et drame intime se trouble pour révéler l’envers du décor de cette histoire de France que nous croyons connaître.
La Grande Guerre vient de se terminer avec son lot de morts, de destructions et de malheurs. Dans le village minier de Faymoreau, un accident grave se produit lorsqu’un coup de grisou provoque l’effondrement d’une galerie, causant la mort de trois travailleurs. Deux autres malheureux, dont Thomas Marot, sont prisonniers dans les entrailles de la Terre et les chances de les sauver sont minces. Lorsqu’elle apprend la tragédie qui frappe l’homme qu’elle aime depuis toujours, Isaure Millet se précipite sur les lieux, car même si Thomas s’apprête à se marier avec une ouvrière polonaise, elle espère toujours qu’il changera d’idée.
Or, l’événement prend une tournure inattendue lorsqu’on retire des décombres le corps d’une des victimes: elle a été assassinée d’une balle dans le dos… Qui a pu commettre ce meurtre dans un moment pareil? Lorsqu’un policier parisien attitré à l’enquête, Justin Devers, arrive à Faymoreau, les mineurs, ceux que l’on surnomme les « gueules noires », s’enferment dans un mutisme qui exaspère l’enquêteur. La vérité parviendra-t-elle à s’extirper de cette histoire tordue, aussi sombre que les galeries de cette mine de charbon où tant de drames se sont joués? C’est ce qu’espère l’inspecteur Devers, tombé sous le charme d’Isaure, tout comme Jérôme, le frère de Thomas.
1842. Deux des soeurs Brontë Charlotte et Emily, âgées de 26 et 24 ans, quittent leur foyer austère pour Bruxelles, où elles vont suivre des cours de français. D’un naturel enjoué et curieux, Charlotte rêve de conquérir sa liberté.
Sur place, elle et sa soeur font connaissance de Claire Héger, la directrice du pensionnat qui les héberge, et de Constantin, son époux, qui y enseigne le français. Charlotte voit en cet homme le symbole de l’intelligence et de la virilité. Ce maître, qui joue de son pouvoir sur ses jeunes élèves, devient vite l’objet de ses fantasmes, tant intellectuels, physiques que sentimentaux.
Le retour en Angleterre est rude, d’autant qu’avant son départ Constantin lui a avoué qu’il partageait ses sentiments. Charlotte n’aura dès lors qu’une idée : fuir et retourner à Bruxelles pour vivre sa passion, quitte à s’y consumer…
Nous sommes en 1937, et tout va mal pour Francis Scott Fitzgerald. Il est ruiné, miné par l’alcool, en panne d’inspiration, et Zelda, l’amour de sa vie, est internée dans un asile. Elle est loin l’époque où leur couple défrayait la chronique. L’Âge du Jazz est terminé, avec ses fêtes, son glamour, ses extravagances. Répondant à une proposition de la Metro Goldwyn Mayer, Fitzgerald joue sa dernière carte et débarque à Hollywood comme scénariste. Ses collègues se nomment Dorothy Parker, Ernest Hemingway, Humphrey Bogart. Dans une soirée, il croise la ravissante Sheilah Graham, une journaliste mondaine dont il tombe follement amoureux. Il se remet à écrire, s’efforce de ne plus boire, rend visite à Zelda avec sa fille Scottie.
Mais comment continuer à vivre quand le monde semble s’effriter autour de soi ? « Toute vie est un processus de démolition », avait-il écrit dans La Fêlure (1936). Quelques années plus tard, cette phrase sonne comme un avertissement du destin.
Avec grâce et subtilité, Stewart O’Nan trace le portrait romanesque du plus attachant – parce que le plus fragile – des écrivains de la « Génération perdue » inventée jadis par Gertrude Stein.
Angleterre, 1911
Alors que sa sœur cadette s’apprête à faire son entrée dans la bonne société à l’occasion du bal des débutantes, Lady Catherine Davenport sème le trouble sur le domaine familial de Berkley Hall en refusant de se marier.
Éprise de liberté et de reconnaissance, Lady Catherine se rapproche de Lydia, une femme de chambre au caractère bien trempé et qui a du mal à supporter sa condition de domestique.
Ensemble, elles vont décider d’un tout autre chemin…
Angleterre, 1941. Accusée d’avoir agressé le père d’un de ses élèves, Lara Penrose, une jeune enseignante, choisit pour éviter la prison de partir enseigner en Australie. Quand elle arrive à Shady Camp, bourgade reculée au nord de l’île continent, c’est le choc. D’abord, il n’y a pas d’école. Et puis la région est infestée de crocodiles. Mais Rick va régler le problème. Dès leur première rencontre, Lara est séduite par cet homme, éconduisant le Dr Jerry qui lui faisait jusque-là une cour assidue…
Stan et Charmaine ont été touchés de plein fouet par la crise économique qui consume les États-Unis. Tous deux survivent grâce aux maigres pourboires que gagne Charmaine dans un bar sordide et se voient contraints de loger dans leur voiture… Aussi, lorsqu’ils découvrent à la télévision une publicité pour une ville qui leur promet un toit au-dessus de leurs têtes, ils signent sans réfléchir : ils n’ont plus rien à perdre.
À Consilience, chacun a un travail, avec la satisfaction d’oeuvrer pour la communauté, et une maison. Un mois sur deux. Le reste du temps, les habitants le passent en prison… où ils sont également logés et nourris ! Le bonheur. Mais le système veut que pendant leur absence, un autre couple s’installe chez eux avant d’être incarcéré à son tour. Et Stan tombe bientôt sur un mot qui va le rendre fou de désir pour celle qui se glisse entre ses draps quand lui n’y est pas : » Je suis affamée de toi. «
Cinq ans plus tôt, en plein milieu de la nuit, Rosa s’est dirigée vers la jetée, elle a plongé son regard dans le tourbillon de l’eau et a sauté. Brillante élève à Cambridge, la jeune femme venait tout juste de perdre son père… mais aussi de trouver le grand amour. Alors, pourquoi se suicider et renoncer à l’avenir heureux qui s’annonçait ? C’est la question qui, depuis cinq ans, hante Jar, son ancien petit ami. Il ne peut pas s’empêcher de voir Rosa partout où il se trouve : un visage dans un train, une figure familière dans la foule… Au fond de lui-même, le jeune homme n’a jamais accepté la version officielle du drame, d’autant que le corps de Rosa n’a jamais été retrouvé. Et puis, un jour, tout bascule. Il reçoit un mail : « Trouve-moi, Jar. Trouve-moi avant eux. »…
Le Dr Rodney Prince n’a jamais vu une fille comme Kate Hannigan dans le quartier sale et pauvre où il prodigue ses soins. Sa beauté et son intelligence surpassent de loin celles de Stella, son épouse, si raide, si froide, si calculatrice, et elle exerce sur lui une attirance irrésistible. Mais leur amour à peine naissant alimente une rumeur malsaine parmi les habitants du quartier. Car il défie toutes les règles de la bonne société édouardienne…
Pour immortaliser leur passion, le duc d’Aquitaine, Guillaume le Troubadour, et sa maîtresse Dangereuse de Châtellerault décident de marier leurs enfants. Un an plus tard, Aliénor d’Aquitaine naît au château de Belin, à quelques lieues de Bordeaux. Orpheline de mère à huit ans, Aliénor passe sa jeunesse entre son père le duc Guillaume X et sa grand-mère Dangereuse. La Cour d’Aquitaine vit au rythme des festivités, des chasses, des tournois et des chevauchées militaires, séjournant tantôt dans le palais de l’Ombrière à Bordeaux, tantôt dans la tour Maubergeon de Poitiers, tantôt encore au château de Talmont, haut lieu de vénerie au bord de l’Océan.
Le duché d’Aquitaine est alors plus puissant que le royaume de France et s’étend du Poitou aux Pyrénées et de l’Atlantique jusqu’à l’Auvergne. Guillaume le Troubadour a laissé en héritage un art de vivre immortalisé par la poésie courtoise et les cours d’amour. Aliénor baigne dans cette atmosphère et reçoit une éducation lettrée et sportive. L’héritière du duché est une cavalière accomplie, lit et écrit le latin, l’oc et l’oïl. Foulques de Mirelune est né le même jour qu’Aliénor. Orphelin, il est recueilli par Dangereuse qui l’élève avec Aliénor. Page, écuyer et troubadour, il accompagne le dernier duc dans son pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle. Contre toute attente, celui-ci trouve la mort par empoisonnement. Aliénor a alors quinze ans Son héritage suscite bien des convoitises. Par son lignage, sa personnalité et ses qualités, la jeune duchesse ne peut épouser qu’un roi.
Nous en avons quelques uns en commun ?
je te souhaite d’etre sélectionnée 🙂