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Le temps d'un café

Masse critique Babélio spécial jeunesse: C’est de la bombe!!!

Bonjour bonjour mes lapinous!! Babélio fête le printemps à sa manière!! Et quelle chance pour nous!!! Le site nous offre une sélection pour cette masse critique spécial jeunesse absolument fabuleuse!!! Evidemment, j’ai craqué sur plein plein de titres!!  Venez voir! Un don du ciel… Roxane, dix-huit ans, a plongé dans la délinquance quand ses parents …

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Masse critique Babélio 2019: On se la joue mauvais genre

Bonjour les loustics! Babélio nous a offert, ce matin, la possibilité de se faire plaisir! Eh oui, c’est la masse critique Spécial Mauvais Genre! Je vous avoue tout de suite qu’il y a eu plusieurs titres qui m’ont appelé à cor et à cri! Je vous montre? L’imitation est la plus terrifiante forme de flatterie. …

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Masse critique Babélio: Le non-fiction, ça déchire!

Hello les fripouilles!! C’est déjà la seconde masse critique de l’année, chez Babélio! Une masse critique immmmmmmense, d’ailleurs!! Décidément, ils aiment faire les choses en grand! Le thème de ce nouvel événement est le non-fiction. J’y ai trouvé mon bonheur! « Je m’appelle Éric Normandin, mais en 1995 j’ai décidé de me faire connaître sous …

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La première masse critique de Babélio de 2019: c’est du lourd!

Coucou les amis!!

Ca y est, l’année 2019 est vraiment commencée, avec la toute première masse critique de Babélio!!

Il y a du choix, à ne plus savoir où donner la tête!!

Pour ma part, j’ai choisi quelques jolis titres qui me font très envie!

Plus qu’un roman : un appel au bonheur !
L’auteur de Beignets de tomates vertes nous conte, dans ce roman choral, l’histoire d’un petit village du Missouri, Elmwood Springs, depuis sa fondation en 1889 jusqu’à nos jours. Les années passent, les bonheurs et les drames se succèdent, la société et le monde se transforment, mais les humains, avec leurs plaisirs, leurs peurs, leurs croyances, leurs amours, ne changent guère. Et c’est la même chose au cimetière puisque, loin de jouir d’un repos éternel, les défunts y continuent leurs existences, sous une forme particulière. Au fil des décès, ils voient ainsi arriver avec plaisir leurs proches et leurs descendants, qui leur donnent des nouvelles fraîches du village. Tout irait ainsi pour le mieux dans ce monde, et dans l’autre, si d’inexplicables disparitions ne venaient bouleverser la vie, et la mort, de cette paisible petite communauté.

On retrouve dans ce roman revigorant en diable, peuplé de personnages plus attachants les uns que les autres, toute la tendresse, le charme fou et la philosophie heureuse de Fannie Flagg.

Tomas, dit Tomi, juif et hongrois, se retrouve dans le trou noir concentrationnaire avec toute sa famille.
Affecté à l’atelier de réparation des uniformes rayés alors qu’il ne sait pas enfiler une aiguille, il y découvre le pire de l’homme et son meilleur : les doigts habiles des tailleurs, leurs mains invaincues, refermant les plaies des tissus, résistant à l’anéantissement.
Des confins de l’Europe centrale au sommet de la mode française, de la baraque 5 aux défilés de haute couture, Où passe l’aiguille retrace la vie miraculeuse de Tomi, déviée par l’histoire, sauvée par la beauté, une existence exceptionnelle inspirée d’une histoire vraie

Une ancienne légende vénitienne raconte que, sous l’archipel, sommeille un monstre – dragon ou bête de l’Apocalypse – que seuls les gardiens de la lagune tiennent en respect…

Nous sommes en 1162, des ossements enfouis sous les décombres d’une église font ressurgir un passé que beaucoup auraient préféré garder secret… Quelques jours plus tard, un cadavre est retrouvé dans le canal du Rialto. Un meurtre qui entache le nom du doge Vitale Michiel II. Malédiction, crime politique ou vengeance ?
Hugues de Tarse aura besoin de toute sa sagacité et de celle d’Eleonor de Fierville pour comprendre à quel point les Vénitiennes jouent un rôle fatal dans cette sombre histoire d’amour, de jalousie et de haine. 

« La vie fait parfois de toi quelqu’un qu’il t’arrive de ne plus reconnaître. Quelqu’un de radicalement différent de la personne que tu t’attendais à devenir. Je pense que d’une certaine façon, j’ai de la chance. Je peux montrer sur une carte l’endroit exacte où le cours de ma vie a changé à jamais. J’aimerais y retourner. Voir où j’ai commencé, avant de finir, je crois. » 

M. Baxter a quatre-vingt-quatorze ans lorsqu’une chute dans son escalier le condamne à la maison de retraite. Cet homme qui a vécu mille vies s’accommode mal de la routine de Melrose Gardens. Ses vieux jours, il veut en profiter à tout prix, et troquer la télévision, le thé, et les antidouleurs contre du bon vin, de la bonne musique et des divertissements dignes de ce nom. Accompagné d’un jeune infirmier qui traverse une période sombre, Baxter se lance dans une folle équipée pour rendre hommage à son amour perdu. 
À mesure que le vieillard lui raconte ses souvenirs, son compagnon de route comprend que la vie n’est pas destinée à être subie ; que le monde est vaste et magnifique ; que la gentillesse est une force. Et que la meilleure façon d’honorer les morts est de vivre pleinement.

Des côtes de Cornouailles jusqu’aux contreforts de l’Himalaya

Cornouailles, 1876. Après la mort de leur père, Helen, 16 ans, et son frère sont au bord de la ruine. Ian, un mystérieux étranger aussi riche que séduisant, lui fait alors une offre. Si elle l’épouse et le suit en Inde, elle ne manquera plus jamais de rien. Helen, d’abord réticente, n’a d’autre choix que d’accepter cette proposition.
Très vite, les couleurs et les odeurs exotiques de l’Inde ensorcellent la jeune femme. Mais pourra-t-elle rester heureuse aux côtés d’un homme au passé si trouble ? Cessera-t-il un jour d’être un étranger à ses yeux ? D’autant que Ian cache un secret qui pourrait bien compromettre leur relation…

Peut-on encore aimer après un mariage fondé sur le mensonge ? 
Ceylan, 1935. Louisa Reeve, fille d’un riche négociant britannique en pierres précieuses, est l’heureuse épouse d’Elliot, un séduisant et intrépide homme d’affaires. Tout bascule lorsque Louisa fait face à de nombreuses fausses couches et qu’Elliot passe le plus clair de son temps à Cinnamon Hills, une plantation de cannelle. Après sa mort brutale, la jeune femme se retrouve seule pour percer le mystère de ses nombreuses absences. Retournant à la plantation, elle rencontre Leo, le propriétaire des lieux, pour qui elle éprouve une étrange attirance. Lorsque la trahison d’Elliot éclate au grand jour, Louisa n’a que Leo vers qui se tourner même si celui-ci n’est pas celui qu’il semble être. 
Une grande fresque d’amour et de trahison par l’auteure internationalement reconnue de La Mariée de Ceylan.

Etudiante en droit à Harvard, Alexandria Marzano-Lesnevich est une farouche opposante à la peine de mort. Jusqu’au jour où son chemin croise celui d’un tueur emprisonné en Louisiane, Rick Langley, dont la confession l’épouvante et ébranle toutes ses convictions. Pour elle, cela ne fait aucun doute : cet homme doit être exécuté. Bouleversée par cette réaction viscérale, Alexandria ne va pas tarder à prendre conscience de son origine en découvrant un lien tout à fait inattendu entre son passé, un secret de famille et cette terrible affaire qui réveille en elle des sentiments enfouis. Elle n’aura alors cesse d’enquêter inlassablement sur les raisons profondes qui ont conduit Langley à commettre ce crime épouvantable.

Dans la lignée de séries documentaires comme Making a Murderer, ce récit au croisement du thriller, de l’autobiographie et du journalisme d’investigation, montre clairement combien la loi est quelque chose d’éminemment subjectif, la vérité étant toujours plus complexe et dérangeante que ce que l’on imagine. Aussi troublant que déchirant. 

Destins croisés de deux icônes.
Automne 1957. Douze ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, Otto, le père d’Anne Frank, rend visite en Suisse à une étoile montante du cinéma, Audrey Hepburn. Il veut la persuader d’interpréter le rôle de sa fille dans un lm qui va lui être consacré.
Printemps 1929. Deux filles voient le jour, Audrey à Bruxelles, Anne à Francfort. Toutes les deux marqueront l’histoire.
Les deux adolescentes partagent bien des points communs. Toutes deux ont été contraintes de quitter très jeunes leur pays natal. Audrey, issue de la haute société européenne, est envoyée dans un pensionnat anglais. Juifs, Anne et sa famille fuient aux Pays-Bas.
Toutes deux sont délaissées par leur mère et trouvent refuge dans la danse pour l’une, dans l’écriture pour l’autre.
La demande d’Otto réveille en Audrey de douloureux souvenirs. Ses parents, sa mère en particulier, ne frayaient-ils pas avec de hauts dignitaires nazis ?

Et vous, qu’avez-vous sélectionné?

Le temps d'un café

Masse critique babélio spécial jeunesse

Bonjour bonjour les copains!

Comment allez-vous?

On se retrouve une nouvelle fois pour la jolie, fabuleuse, énorme masse critique de Babélio, dédié à la jeunesse!!

Autant vous dire tout de suite qu’il y a de superbes titres proposés!

J’ai craqué sur quelques-uns d’entre eux…

Juillet 1928, les rues de Londres sont désertes, il fait chaud et les familles chics sont parties en vacances. Deux enfants de 9 ans, les voisins de la famille Fleming, sont approchés par un homme étrange se présentant comme l’associé du docteur Fleming, lui aussi parti en villégiature pour l’été. Pour d’obscures raisons, il leur demande de se procurer la clé du labo et de mettre la main sur des documents importants. Cela va trop loin, il faut prévenir Fleming ! Le début d’un été riche en rebondissements et en découvertes scientifiques majeures pour l’avancement de la médecine avec la découverte de la pénicilline.

« Cher journal, J’ai pris la décision de te raconter ma vie parce qu’elle va prendre un tournant incroyable et complètement fou. Je m’appelle Anna Pavlova, j’ai dix ans et, dans deux jours, j’entrerai à la prestigieuse École Impériale de Ballet de Saint-Pétersbourg. »

Dans cette nouvelle série, Anna confie tout à son journal ! Sa passion pour la danse, les leçons avec Mme Korsakov, la préparation de l’examen d’entrée… et ses premiers pas à l’école de ballet.
À travers ce récit historique, c’est la vie de la grande héroïne Anna Pavlova qui est racontée. Reconnue comme la plus grande ballerine de tous les temps et illustre interprète de la Mort du Cygne.
En bonus : un joli marque-page en forme de chausson et une double-page documentaire, sur la vraie Anna Pavlova.

Londres, 1887. Prise dans le carcan de la société victorienne, Elizabeth, jeune journaliste indépendante, n’a d’autre choix pour exercer son métier que de passer un accord avec un journaliste qui lui sert de nom de plume. Un accord funeste : quand ce dernier est assassiné sous ses yeux, Elizabeth, devenue gênante, est sommairement abattue…
… pour se réveiller dans sa propre tombe.

Commence alors pour elle une toute nouvelle « existence ». Sous la surveillance d’un étrange chaperon, Elizabeth rejoint, à son corps défendant, les rangs des Revenants, des morts-vivants chargés de traquer ceux qui tentent de repousser la venue de leur dernière heure.
Elle œuvre désormais pour le compte de Sa Majesté la Mort elle-même, une activité bien loin du repos éternel…

Aucune histoire ne mérite qu’on meure pour elle…
Imaginez que vous puissiez vous glisser dans la peau de votre héroïne préférée… Katniss, par exemple ! Le rêve, non ? Du moins, jusqu’à ce que vous vous rendiez compte que vous êtes incapable de tirer à l’arc ou de grimper aux arbres, et que vous n’avez pas le moindre instinct de survie. Mais pas de panique, vous pouvez toujours choisir de retourner à votre petite vie tranquille de fan, dans le monde réel. Ce qui n’est malheureusement pas le cas de Violet, coincée dans son roman favori…

La famille Pagett est ruinée et emménage dans un immense manoir dont personne ne semble vouloir. Cette maison étrange a appartenu à Denver Kristoff, un écrivain du début du XXe siècle. Les enfants, Cordelis, quinze ans, Brendan, douze ans, et Eleanor, huit ans font connaissance avec les voisins, dont Dahlia, la fille un peu folle de Kristoff. Bientôt, les phénomènes bizarres se multiplient… jusqu’au jour où Dahlia se transforme en sorcière maléfique ! Les trois enfants se retrouvent alors mystérieusement seuls et projetés dans le décor d’un livre diabolique…

Un hôtel somptueux, caché dans les nuages.
Des intrigues à tous les étages.
Et au milieu de tout cela, Fanny, une jeune stagiaire de 17 ans.
Comme le reste du personnel, elle a fort à faire pour offrir aux clients un séjour exceptionnel en cette fin d’année.
Elle est loin de se douter qu’elle va bientôt se retrouver au beau milieu d’une aventure périlleuse.
Elle est loin de se douter qu’elle risque non seulement de perdre son emploi, mais aussi son cœur.

Être transparente au lycée, rarement invitée en soirée et ignorée dans sa propre famille, c’est une blessure, ça fait mal. Mais être invisible pour de vrai, se rendre en salle des profs incognito et disparaître dans les moments embarrassants… ça commence à devenir beaucoup plus intéressant !
À quinze ans, Esther cesse d’être une fille ordinaire et voit un nouveau monde s’ouvrir à elle. Pour l’adolescente trop discrète, la vie devient soudain passionnante. Et de plus en plus dangereuse.

Laissez-vous prendre par le frisson de la transparence.

Je m’appelle Snow.
J’ai 17 ans et je suis internée dans un hôpital psychiatrique depuis 11 ans.
Je suis amoureuse de Bale.
J’ai des colères… glaçantes. Littéralement glaçantes. Un fou vous dira toujours qu’il n’est pas fou, mais je vous promet que je ne délire pas. En voici la preuve…

Et vous? Sur quoi avez-vous craqué?

Le temps d'un café

Masse critique mauvais genre 2018

Hello mes petits lecteurs!

Octobre… Halloween… Mauvais genre.. Ca se tient, non? Babélio l’a bien compris, et nous propose une nouvelle masse critique dans ce thème!

Je dois vous dire qu’il y a de nombreux titres intéressants! Voilà ceux que j’ai retenu.

Et vous?

Veillée par une lune rose, Wink, au Nouveau-Mexique, est une petite ville idéale. À un détail près : elle ne figure sur aucune carte. Après deux ans d’errance, Mona Bright, ex-flic, vient d’y hériter de la maison de sa mère, qui s’est suicidée trente ans plus tôt. Très vite, Mona s’attache au calme des rues, aux jolis petits pavillons, aux habitants qui semblent encore vivre dans l’utopique douceur des années cinquante. Pourtant, au fil de ses rencontres et de son enquête sur le passé de sa mère et les circonstances de sa mort (fuyez le naturel…), Mona doit se rendre à l évidence : une menace plane sur Wink et ses étranges habitants. Sera-t-elle vraiment de taille à affronter les forces occultes à l’œuvre dans ce lieu hors de l’Amérique ?

À partir de pages inédites retrouvées dans les dossiers du célèbre créateur de Dracula, son arrière-petit-neveu, Dacre Stoker, a coécrit avec J. D. Barker, auteur de littérature fantastique, ce roman fascinant qui dévoile les véritables origines de Dracula, mais aussi celles de Bram Stoker. 1868. Bram Stoker, vingt et un ans, est reclus dans une tour, confronté à un mal indescriptible. Armé d’un crucifix, d’eau bénite et d’un fusil, il prie pour survivre à cette nuit, la plus longue de son existence. Décidé à coucher sur le papier ce dont il a été témoin, Bram écrit sans relâche, narrant les événements qui l’ont conduit jusqu’ici…
Enfant maladif, Bram a passé ses premières années alité chez ses parents, à Dublin où sa nanny, Ellen Crone, a pris soin de lui, à sa manière… Quand une série de morts surprenantes se produit dans une ville voisine, Bram et sa soeur Matilda constatent l’étrange comportement d’Ellen. Le mystère s’épaissit de façon terrifiante jusqu’au jour où leur nourrice disparaît subitement de leur vie.
Des années plus tard, Matilda, de retour d’un séjour d’études à Paris, révèle à son frère qu’elle y a aperçu Ellen… et le cauchemar qu’ils pensaient terminé depuis longtemps ne fait que commencer !

Et soudain l’humanité se mit à régresser….

Parc Kruger, Afrique du Sud.

Des animaux, des plantes, qui retrouvent leur forme préhistorique. En quelques jours, devant des touristes effrayés, la réserve offre un spectacle surnaturel.

Dépêchée en urgence, Anna Jauffret, une jeune paléontologue française, tente de comprendre cette régression sidérante.

Mais alors qu’elle sillonne le Parc Kruger, c’est le choc : une première victime humaine est signalée, non loin d’un port.

L’homme arbore des mâchoires proéminentes, est couvert de poils, ne parle plus. Il a été mordu par un rat.

Bientôt, à New York, Paris, Genève, mais aussi en Chine et au fin fond de la Sibérie, des homo-erectus apparaissent en meute, hagards, déboussolés, semant la panique dans la population.

Ce qui n’était qu’une hypothèse hasardeuse devient un cauchemar planétaire.

Partout, des milices anti-préhistoriques se forment. Les gouvernements sont dépassés, les chercheurs plongés dans un abîme d’angoisse : de quel virus s’agit-il ?

A l’ONU, le débat fait rage : les erectus sont-ils encore des hommes ? Faut-il les considérer comme des ancêtres à protéger ou des bêtes sauvages à éliminer ?

Anne, elle, a tranché. Son compagnon, Yann, a été infecté. Jusqu’au dernier moment, elle s’accroche à l’espoir de sauver l’homme qu’elle ne reconnaît plus…

Quand quelques lignes en bas de la colonne des brèves révèlent la découverte d’un squelette de bébé sur un chantier de la banlieue de Londres, la plupart des lecteurs n’y prêtent guère attention. Mais pour trois femmes, cette nouvelle devient impossible à ignorer.
Angela revit à travers elle le pire moment de son existence : quarante ans auparavant, on lui a dérobé sa fille à la maternité. Depuis, elle cherche des réponses.
Pour Emma, jeune éditrice en free lance, c’est le début de la descente aux enfers, car ce fait divers risque fort de mettre son secret le plus noir à jour et de détruire sa vie à jamais.
Quant à Kate, journaliste de renom et avide d’une bonne story, elle flaire là le premier indice d’une affaire qui pourrait bien lui coûter quelques nuits blanches.
Car toutes les histoires ne sont pas bonnes à être publiées… Encore moins quand elles font resurgir des vérités que personne ne souhaite connaître.

Chine du Nord, juin 1995. Shen Ming, jeune et brillant professeur, est suspecté d’avoir assassiné une lycéenne, quelques jours après, il est poignardé près de l’école, dans une usine désaffectée. Neuf ans plus tard, le mystère s’épaissit. Les présumés meurtriers du professeur sont envoyés, eux aussi, au royaume des morts.

La rumeur se répand alors : et si Shen Ming avait traversé la rivière de l’oubli pour se réincarner et se venger ?

Maître du suspense, Cai Jun nous réserve un final stupéfiant.

Il signe un thriller aux confins du réel, tout en brossant un portrait saisissant de la Chine d’aujourd’hui.

La Rivière de l’Oubli est le roman de la vie après la mort, de la vengeance parfaite, mais aussi de cette lueur qui, toujours, finit par transpercer l’obscurité.

Les souvenirs sont parfois meurtriers

Été 1986. David et Samuel ont 12 ans. Comme chaque année, ils séjournent au bord de l’océan, dans le centre de vacances appartenant à l’employeur de leurs parents. Ils font la connaissance de Julie, une fillette de leur âge, et les trois enfants deviennent inséparables. Mais une ombre plane sur la station balnéaire et les adultes deviennent de plus en plus mystérieux et taciturnes. Puis alors que la semaine se termine, Julie disparaît.
30 ans plus tard, David est devenu écrivain, Samuel est son éditeur. Depuis le drame, ils n’ont jamais reparlé de Julie. Un jour, chacun reçoit une enveloppe. À l’intérieur, un manuscrit énigmatique relate les évènements de cet été tragique, apportant un tout nouvel éclairage sur l’affaire.

Jusqu’où peut-on s’immiscer dans la vie de ses proches ?
Callie a toujours vécu dans l’ombre de sa sœur, Tilda, à qui tout réussit. Celle-ci est actrice et forme un couple heureux avec Felix, un riche banquier, alors que Callie vit seule et végète dans la librairie où elle travaille. Si elle admire toujours autant sa sœur, elle ne peut néanmoins s’empêcher de penser que quelque chose se cache sous ce vernis de perfection. Tilda ne serait-elle pas sous l’emprise de Felix, dont les comportements obsessionnels sont de plus en plus inquiétants ? Ou bien Callie se fait-elle des illusions ? N’est-ce pas plutôt elle qui a un problème avec la réussite de Tilda ? Lorsque Felix décède d’une crise cardiaque, les relations entre les deux sœurs prennent un tour complètement inattendu.

La jalousie, la culpabilité, le remords… dans ce roman au suspense hitchcockien, Jane Robins joue sur tous les registres des liens familiaux. D’une étonnante acuité psychologique, elle dessine des personnages à l’humanité poignante, jusque dans leurs failles et leurs excès, pris dans une intrigue où il est impossible jusqu’à la fin de démêler le vrai du faux.

Jusqu’où peut-on s’immiscer dans la vie de ses proches ?
Callie a toujours vécu dans l’ombre de sa sœur, Tilda, à qui tout réussit. Celle-ci est actrice et forme un couple heureux avec Felix, un riche banquier, alors que Callie vit seule et végète dans la librairie où elle travaille. Si elle admire toujours autant sa sœur, elle ne peut néanmoins s’empêcher de penser que quelque chose se cache sous ce vernis de perfection. Tilda ne serait-elle pas sous l’emprise de Felix, dont les comportements obsessionnels sont de plus en plus inquiétants ? Ou bien Callie se fait-elle des illusions ? N’est-ce pas plutôt elle qui a un problème avec la réussite de Tilda ? Lorsque Felix décède d’une crise cardiaque, les relations entre les deux sœurs prennent un tour complètement inattendu.

La jalousie, la culpabilité, le remords… dans ce roman au suspense hitchcockien, Jane Robins joue sur tous les registres des liens familiaux. D’une étonnante acuité psychologique, elle dessine des personnages à l’humanité poignante, jusque dans leurs failles et leurs excès, pris dans une intrigue où il est impossible jusqu’à la fin de démêler le vrai du faux.

Sarah est depuis sept ans sans nouvelles de son mari, Philipp, disparu au cours d’un voyage en Colombie. Jusqu’au jour où on lui annonce qu’il vient d’être libéré par le gang qui l’avait kidnappé.
Après tant d’années, à quel point son mari aura-t-il changé?
Sarah se prépare au pire.
Mais lorsque l’homme identifié comme étant Philipp arrive à l’aéroport, Sarah est catégorique : ce n’est pas son mari.
Pourtant, l’inconnu semble tout savoir sur elle et n’hésite pas à la menacer. Si elle dit quoi que ce soit sur lui, il dévoilera à son tour le secret que Sarah garde depuis si longtemps, un secret qui risque de détruire sa vie.
Qui est cet homme? Que veut-il ?
Et qui, au bout du compte, dit vraiment la vérité?

Le temps d'un café

Masse critique Babélio spéciale rentrée!

Bonjour bonjour!!

La rentrée est là aussi chez Babélio, puisque le site nous offre la première masse critique de l’année littéraire. Et quelle masse!!

Il y en avait vraiment pour tous les goûts, vous avez remarqué?

En tout, j’ai choisi quelques titres qui me tentaient bien!

Et vous? Qu’avez-vous choisi?

Un roman féministe original, dont le ton oscille entre humour et gravité, cynisme et légèreté.
Jusqu’où iriez-vous par amour… pour votre animal de compagnie ? Emma, célibataire endurcie et mal dans sa peau, apprend que sa petite chienne, l’amour de sa vie, est atteinte d’une maladie grave et que seuls des traitements au coût exorbitant pourront la sauver. Qu’à cela ne tienne, pour payer les frais vétérinaires, et malgré l’aversion que cela lui inspire, Emma accepte de participer à une émission de téléréalité qui transforme des candidates au physique disgracieux en
canons de beauté, à coups de chirurgie plastique.

De son côté, Faouzi est un adolescent perdu, en quête de valeurs, et terrassé par le récent décès de sa mère. En conflit avec son père, et avec ses soeurs qu’il juge trop émancipées, il décide de squatter une résidence avec ses nouveaux frères, qui lui ont promis la paix spirituelle… à condition qu’il suive leurs traces.

Alors que l’une est à l’aube de sa transformation physique et l’autre en voie de radicalisation, Emma et Faouzi verront leurs chemins se croiser. Pourront-ils s’entraider ou vont-ils s’attirer mutuellement des ennuis qu’ils n’auraient pu soupçonner ?

Tu seras si jolie…, dont le ton oscille entre humour et gravité, est un cri de révolte contre l’exploitation outrancière de l’apparence de la femme dans notre société, tandis qu’ailleurs, celle-ci n’a aucun droit, pas même celui de montrer son visage. Et si le statut de la femme était tout simplement au coeur du choc des civilisations ?

Katharina, mère de deux enfants, est débordée par un quotidien qui ne lui fait pas de cadeaux. Son mari a accepté un job à Berlin, loin de chez eux, et elle est la plupart du temps livrée à elle-même. Elle s’occupe de tout son petit monde, assommée de listes à cocher et de tâches à accomplir. Ce vendredi, alors qu’elle découvre une boule dans son sein, ses préoccupations vont prendre une autre tournure. Et les questions affluer : si elle devait partir, que laisserait-elle en héritage ? est-elle devenue la fourmi invisible d’une famille qu’elle aime mais qui ne la voit plus ? En dépeignant la vie d’un foyer moderne pris dans ses contradictions, Mareike Krügel nous donne à réfléchir sur le temps qui passe et les petits riens qui jalonnent une existence. D’un regard aiguisé où l’humour le dispute aux larmes, elle nous offre le portrait d’une femme qui est tout sauf ordinaire.

« Mon nom est Thoutmosis, et j’ai construit un monde.
Un monde aux frontières menacées par les ténèbres et la barbarie.
Un monde qui aurait pu disparaître sous le poids de l’avidité, du mensonge et de la médiocrité.
Mais j’ai combattu, jour après jour, avec l’aide des dieux pour que rayonne la lumière, et qu’elle nourrisse les humains.
Et mon royaume fut de ce monde. »

Dans la suite des grands romans qui ont fait son succès, Christian Jacq nous fait revivre l’incroyable histoire du pharaon Thoutmosis III (1504-1450), celui que l’on surnomma plus tard le Napoléon égyptien.

Redoutable stratège, guerrier intrépide, Thoutmosis repoussa toutes les attaques contre l’Égypte. Mais l’homme était aussi un savant qui ne cessa de vouloir améliorer le sort de son peuple. Follement épris de la musicienne Satiâh, il fut le premier roi égyptien à être appelé Pharaon.

Passion, combats, sagesse ancestrale et recherche de l’harmonie, Christian Jacq, avec ce roman, nous plonge dans les aventures et les secrets d’un des plus grands rois d’Égypte.

Vous allez adorer faire leur connaissance?Sara, mère de famille s’ennuie dans sa vie bourgeoise et monotone. Aussi l’emménagement, dans son petit quartier londonien, d’un nouveau couple bobo à souhait, est accueilli chaleureusement. Invitée à la crémaillère de leurs nouveaux voisins, Sara et son mari sont fascinés. Tant de charisme, de spontanéité et de talent chez ces artistes tout juste revenu d’Espagne. Lou et Gavin sont simplement? irrésistibles. Au contact de Lou, Sara commence progressivement à changer. Bienveillance ou jalousie, amitié ou obsession, confiance ou trahison. La frontière est mince et la rue facile à traverser. Auteur de plus d’une vingtaine d’ouvrages pour la jeunesse, Felicity Everett vit désormais en Angleterre, après quatre ans passés en Australie. 

Pour s’occuper de son père malade et assurer la survie de l’entreprise familiale de marrons glacés, Maurine revient vivre auprès de sa soeur dans son village natal de Collobrières. Là, sur les terres de son enfance, la jeune médecin se replonge bientôt dans le drame qui défraya la chronique trente ans plus tôt : un couple mort brûlé vif dans une maison voisine. Mais sa curiosité provoque de violentes réactions au village et bientôt, les passions se déchaînent…

New York, 1910. Jane Prescott, femme de chambre, jouit d’une réputation exemplaire, et d’un esprit affuté qui lui permet de voir bien au-delà du mode de vie mondain et fastueux des riches parvenus chez qui elle sert. Jane est ainsi la première à comprendre ce que les fiançailles de sa jeune maîtresse avec le très en vue Norrie Newsome, déjà promis à une autre, ont de scandaleux. Et quand ce dernier est retrouvé mort, elle est aussi la mieux placée pour trouver qui avait intérêt à le voir disparaître. Dans un contexte social incandescent, le coupable est à chercher aussi bien dans les milieux anarchistes que les demeures bourgeoises. Car Jane sait que, autant dans la bonne société que dans les entrailles abandonnées de la ville, la haine et la violence couvent sous la surface, et peuvent éclater à tout moment…

Cela fait plus de cinquante ans que la famille Turner habite Yarrow Street, rue paisible d’un quartier pauvre de Detroit. La maison a vu la naissance des treize enfants et d’une foule de petits-enfants, mais aussi la déchéance de la ville et la mort du père.
Quand Viola, la matriarche, tombe malade, les enfants Turner reviennent pour décider du sort de la maison qui n’a désormais plus aucune valeur, la crise des subprimes étant passée par là.

Garder la maison pour ne pas oublier le passé ou la vendre et aller de l’avant ? Face à ce choix, tous les Turner, de Cha-Cha, le grand frère et désormais chef de famille, à Lelah, la petite dernière, se réunissent. Et s’il fallait chercher dans les secrets et la mythologie familiale pour trouver la clef de l’avenir des Turner et de leur maison ?

Et si c’était à refaire ?
En soufflant ses bougies d’anniversaire, Ellie, soixante-quinze ans, fait un vœu : retrouver pour un jour ses vingt-neuf ans et tout recommencer différemment. Hélas, tout le monde sait que ce genre de vœu n’a aucune chance de se réaliser.Le lendemain matin, devant son miroir, Ellie frôle la crise cardiaque : une beauté à couper le souffle lui fait face. Aucun doute possible : son vœu a été exaucé ! Dans le corps retrouvé de sa jeunesse, elle se sent prête pour une folle journée d’aventures et de plaisirs. Peu importe que sa famille se demande qui est cette étrangère qui occupe l’appartement de la bonne vieille Ellie et utilise ses cartes de crédit. Seule Lucy, sa petite-fille, a découvert le secret…

Victor, journaliste, part en Amérique latine en 1910 inaugurer un opéra. Mêlé à la révolution mexicaine et aux trafics d’armes, il trouve refuge auprès des derniers Aztèques. Horrifié par les sauterelles grillées ou iguanes farcis dont on croit l’honorer, il survit à l’aide d’un breuvage miraculeux à base de sucre, de banane et du cacao hérité du dieu Quetzacoatl.
De retour à Paris, bravant une malédiction, il joue à l’alchimiste pour réinventer la recette sacrée et la faire découvrir à ses enfants, au voisinage, puis à la France entière, jusqu’aux tranchées de la Grande Guerre. Le Banania est né.

Écrit à partir des carnets de reportage de son inventeur, voici l’histoire vraie d’une aventure à peine croyable qui nous emmène à travers trois continents, deux civilisations et le Paris des Années folles.

Sheilah Graham, de son vrai nom Lily Shiel, issue d’une famille juive venue d’Ukraine dans les années 1910, est abandonnée par sa mère à l’âge de cinq ans dans un orphelinat londonnien. À sa sortie, pour survivre, elle vend des brosses à dents, avant de rencontrer un employeur galant, Sir John Gillam qui, sous le charme de sa beauté et de son tempérament, l’épouse alors qu’elle n’a que dix-neuf ans (il en a quarante-deux). Grâce à lui, elle fréquente la haute société britannique, rencontre entre autres Randolph Churchill, un « amant de première classe », et le marquis de Donegall, qui voudra à son tour l’épouser. En 1934, avec l’accord de son mari dont elle divorcera peu après, elle part aux États-Unis où elle devient chroniqueuse pour divers journaux. Installée à Hollywood, le monde du cinema est à ses pieds. En 1937, elle rencontre Scott Fitzgerald. Leur histoire d’amour est fulgurante, tumultueuse, durant les trois dernières années de la vie de l’écrivain, dont la notoriété littéraire est sur le déclin. La dépendance à l’alcool de Fitzgerald est terrible, elle manque à plusieurs reprises de ruiner leur passion, mais malgré ses accès de violence et des comportements insupportables, Sheilah Graham lui conservera son amour jusqu’à la fin (il meurt dans ses bras en 1940), après l’avoir aidé à retrouver un dernier élan créatif pour écrire Le Dernier Nabab, resté inachevé.
Ce biopic écrit d’une plume alerte, emporte le lecteur dans une histoire d’amour émouvante et méconnue.

Depuis sa plus tendre enfance, Izzy a toujours raffolé des fêtes de Noël, quand Londres scintille de guirlandes colorées et que flotte dans l’air un doux parfum de gingembre et de cannelle… Mais cette année, le Cupcake Café ne lui laisse guère le temps de flâner dans les rues enneigées. À l’approche des fêtes, les commandes se multiplient !
C’est alors qu’Austin, son amoureux, lui apprend qu’il a décroché un poste à New York et part étudier cette proposition en or. Izzy voit son univers douillet et gourmand se fissurer. Comment ignorer les milliers de kilomètres qui la séparent désormais de l’homme qu’elle aime ? Doit-elle renoncer au Cupcake Café qui est toute sa vie et sauter dans un avion ? Ou au contraire rester à Londres et tenter d’oublier Austin ? Une chose est sûre : armée de sa bonne humeur et de sa poche à douille, Izzy est prête à tout pour que la magie de Noël opère encore cette année !

Le temps d'un café

Les immortelles

Hello !

Comment allez-vous?

J’ai reçu un excellent mail ce matin, m’annonçant que j’avais été sélectionné pour l’un des titres proposés par la Masse critique Babélio!!

Et vous? Avez-vous eu des nouvelles?

En tout cas voila ce que je vais recevoir

Arletty, Annabella, Danielle Darrieux, Edwige Feuillère, Gaby Morlay, Michèle Morgan… Les interviews des grandes figures du cinéma français des années 50-60 rassemblées, commentées et analysées par Henry-Jean Servat, le confident des stars.
Elles ont tourné avec les meilleurs réalisateurs du XXe siècle, Marcel Carné, Sacha Guitry, Jean Cocteau, René Clément, Henri-Georges Clouzot… Joué dans des films qui font aujourd’hui pleinement partie du patrimoine français : Les Enfants du paradis, Quai des brumes, Hôtel du Nord, Le Miroir à deux faces, Le Diable au corps, Le Roman d’un tricheur, Le Rouge et le Noir…
Leur visage a fait la une des magazines, elles ont été adulées, admirées, désirées mais, contrairement aux stars d’aujourd’hui qui parlent de leur vie privée sur les réseaux sociaux, elles savaient cultiver une certaine forme de mystère. Elles se livraient peu.
Il fallait tout le professionnalisme d’Henry-Jean Servat pour les amener doucement aux confidences. Elles évoquent leur vie d’artiste, parfois leur vie après le cinéma, leur nouveau challenge – comme Danielle Darrieux qui remonte sur les planches après plusieurs années d’absence.

Henry-Jean Servat est un passionné de cinéma, à tel point qu’il en fait son métier. Il a débuté, entre autres, comme critique théâtral pour le journal Libération. Le portrait d’Annabella qu’il écrit lors de la disparition de l’actrice attire le regard de Roger Thérond, patron de Paris Match de l’époque. Il deviendra ensuite grand reporter pour cet hebdomadaire, spécialisé dans les interviews de stars de cinéma.
Les interviews publiées dans cet ouvrage proviennent de Libération.

Le temps d'un café

Masse critique Babélio juin 2018

Hello les passionnés!

Beaucoup d’entre nous, ce matin, attendait le dernier coup de l’horloge à 7h, pour pouvoir commencer à choisir une (ou plusieurs) lectures proposés par la nouvelle masse critique de Babélio.

Lorsque je suis allée faire un tour la semaine dernière, je n’avais pas vu grand chose qui me plaise vraiment. Pourtant, ce matin, il y avait une foule de nouvelles choses qui avaient été ajoutées, et qui me plaisait vraiment.

« Des histoires qui dépassent l’entendement, des meurtres violents, des enlèvements sauvages, des jalousies farouches, des addictions fatales, des héritages maudits.
Passionnant de voir surgir la bête parmi les dorures, la soie, entre le Picasso et la Ferrari, où le sang coule autant que les larmes. J’ai enquêté sur les aventures de familles bouleversées par un trop-plein de possessions, d’ambitions, de plaisirs faciles ; je suis tombée sur Getty, Niarchos, Onassis, Gucci, Pastor ; que des noms synonymes de succès salis par des drames que je croyais connaître. Le kidnapping de Patty Hearst, passée dans le camp de ses kidnappeurs, l’oreille
du petit-fils Getty coupée par ses ravisseurs italiens dont l’infâme grand-père ne voulait pas payer la rançon ; le jeune Rockefeller qui, croyait-on, s’était noyé en Papouasie, et bien d’autres… j’ai découvert une vérité contrastée, nuancée, des doutes qui craquellent les versions officielles. »

Dans la lignée de Marley et moi, une histoire d’amitié hors norme entre une jeune fille pétillante et son chien adoré. Espiègle, touchant, un récit initiatique dans lequel l’auteur se découvre et se construit, main dans la patte avec sa meilleure amie…

Dès le premier regard, entre Lauren, petit bout de femme d’une vingtaine d’années, et Gizelle, énorme mastiff de 70 kilos, c’est le coup de foudre. Inséparables, elles vont traverser les petits boulots sous-payés, les galères d’apparts trop petits, les coups de blues passagers, mais aussi les joies de Central Park et les premiers émois des relations amoureuses…

Et puis la nouvelle tombe. Gizelle est atteinte d’un cancer incurable. Mais pas question de se laisser abattre : soirée Netflix, dégustation de hot-dogs au homard, recherche effrénée de la meilleure des crèmes glacées, road trip de folie… Les deux amies se concoctent une bucket list d’enfer !

En offrant à Gizelle ses derniers petits bonheurs, Lauren va se fabriquer des souvenirs inoubliables et retrouver le chemin de la confiance et de la sérénité.

Août 1944. Après une enfance heureuse en Pologne, Élie Buzyn subit l’indicible : la déportation, l’assassinat des siens, Auschwitz puis la marche de la mort jusqu’à Buchenwald. Il a 15 ans.
Le camp est libéré le 11 avril 1945. Comment, alors, retourner à la vie ? Porté par les voix du passé, il reconstruit ailleurs ce qui a été détruit. Étrange périple de Buchenwald à la France, en passant par la Palestine et l’Algérie, étrange voyage de la mort à la vie.
Devenu chirurgien-orthopédiste, il s’engage auprès des laissés-pour-compte et de ceux que les nazis avaient voulu éliminer : témoins de Jéhovah, malades psychiatriques, personnes âgées… Un jour, il comprend qu’il est temps de témoigner.
De l’ombre à la lumière, du silence à la parole, un chemin de vie unique retracé avec Etty Buzyn, son épouse, écrivain et psychanalyste.

Il n’est jamais trop tard pour se lancer «  J’ai quatre-vingt-dix ans, je prends la route.  » Voilà la réponse donnée par Miss Norma aux médecins qui lui proposaient une chimiothérapie et une fin de vie rapide.Lorsque Miss Norma apprend qu’elle a un cancer, l’avenir de la vieille dame semble promis à une succession de traitements harassants. Plutôt que de se laisser abattre et d’attendre dans son lit d’hôpital ce qui pourrait être ses derniers jours, elle décide de partir? en road-trip.Accompagnée de son fils Tim, de sa belle-fille Ramie et de leur caniche géant, elle explorera successivement pendant plus de deux ans le Grand Canyon, le Mont Rushmore, la Nouvelle-Orléans?Imprégné de la sagesse, du courage et de l’esprit généreux de cette remarquable nonagénaire, Le voyage de Miss Norma raconte ses expériences sur la route avec une jovialité irrésistible. C’est le récit d’une aventure qui change la vie, une aventure choisie pour nous montrer qu’il n’est jamais trop tard pour se lancer, pour insuffler l’espoir ou pour ouvrir de nouvelles portes.

Quand l’intime se mêle au politique ou au pouvoir médiatique : sept portraits de femmes blondes audacieuses, puissantes, parfois sombres, qui font démentir tous les préjugés imbéciles attachés à la blondeur.

Dans ce deuxième livre, Agnès Grossmann s’intéresse aux femmes blondes et célèbres.
Pourquoi ? De tout temps, la blondeur a été synonyme de beauté et de noblesse, mais aussi de fragilité, de faiblesse de caractère, voire de bêtise. On ne pouvait pas être belle et intelligente à la fois.
Pour aller au-delà des préjugés, comme elle l’avait fait dans Les Salopes de l’histoire, Agnès Grossmann nous raconte les destins hors normes, souvent scandaleux, toujours passionnants de sept grandes figures féminines, sept blondes qui appartiennent chacune à l’une des représentations de la blondeur.
Elle nous entraîne sur le mont Olympe en compagnie de la déesse de l’amour Aphrodite (la déesse), aux côtés de Jeanne d’Arc (la sainte) à la tête d’une armée de douze mille hommes pour aller délivrer Orléans, dans les studios d’Hollywood avec la jeune Grace Kelly (la blonde hitchcockienne) qui découvre l’univers angoissant du maître du suspense, et aussi, afin d’illustrer le côté obscur du pouvoir, nous suivrons Magda Goebbels (la blonde aryenne) dans sa folie meurtrière qui l’a poussée à assassiner ses six enfants dans le bunker d’Hitler lors de la chute du troisième reich.

Arletty, Annabella, Danielle Darrieux, Edwige Feuillère, Gaby Morlay, Michèle Morgan… Les interviews des grandes figures du cinéma français des années 50-60 rassemblées, commentées et analysées par Henry-Jean Servat, le confident des stars.
Elles ont tourné avec les meilleurs réalisateurs du XXe siècle, Marcel Carné, Sacha Guitry, Jean Cocteau, René Clément, Henri-Georges Clouzot… Joué dans des films qui font aujourd’hui pleinement partie du patrimoine français : Les Enfants du paradis, Quai des brumes, Hôtel du Nord, Le Miroir à deux faces, Le Diable au corps, Le Roman d’un tricheur, Le Rouge et le Noir…
Leur visage a fait la une des magazines, elles ont été adulées, admirées, désirées mais, contrairement aux stars d’aujourd’hui qui parlent de leur vie privée sur les réseaux sociaux, elles savaient cultiver une certaine forme de mystère. Elles se livraient peu.
Il fallait tout le professionnalisme d’Henry-Jean Servat pour les amener doucement aux confidences. Elles évoquent leur vie d’artiste, parfois leur vie après le cinéma, leur nouveau challenge – comme Danielle Darrieux qui remonte sur les planches après plusieurs années d’absence.

Henry-Jean Servat est un passionné de cinéma, à tel point qu’il en fait son métier. Il a débuté, entre autres, comme critique théâtral pour le journal Libération. Le portrait d’Annabella qu’il écrit lors de la disparition de l’actrice attire le regard de Roger Thérond, patron de Paris Match de l’époque. Il deviendra ensuite grand reporter pour cet hebdomadaire, spécialisé dans les interviews de stars de cinéma.
Les interviews publiées dans cet ouvrage proviennent de Libération.

Connaissez-vous Hypathia, mathématicienne et philosophe du IVe siècle ? Nicole Lepaute et Hélène Metzger, dont les travaux ont révolutionné le monde de la science ? Avez-vous entendu parler de Victoria Woodhull qui osa se présenter aux élections présidentielles américaines, alors que les femmes n’avaient pas le droit de vote ? Elles sont Grecques, Italiennes, Françaises, Anglaises, Américaines ou Allemandes et ont toutes en commun une volonté et une détermination étonnantes.
Leurs vies sont surprenantes. Voici le parcours de 18 femmes d’exception, de l’Antiquité à nos jours. Ces portraits plus exceptionnels les unes que les autres montrent qu’être femme dans une société souvent misogyne nécessite courage, détermination et volonté pour choisir son mode de vie… ou simplement le droit d’exister.

Qui se cache derrière la momie hurlante ? Macron a-t-il trempé dans le meurtre de Tibère ? La machine d’Anticythère, inventée par les Grecs, est-elle l ancêtre antique de nos ordinateurs ? Qu’est devenue la Sainte-Ampoule ? Pourquoi a-t-on entièrement réinventé au XIXe siècle le mythe de Vercingétorix ? Le sang du prophète Mahomet coulait-il dans les veines de nos anciens rois ? Où se trouve le coeur de Saint Louis ? Shakespeare a-t-il vraiment existé ? La Joconde était-elle en réalité un homme ? L’assassinat de l’amiral Darlan à Alger en 1942 a-t-il été organisé par le comte de Paris ? La pègre chinoise a-t-elle fait assassiner Albert Londres ?
En Sherlock Holmes des temps enfuis, Philippe Delorme enquête sur 60 énigmes historiques, destins singuliers, étrangetés archéologiques, impasses judiciaires ou curiosités naturelles. De la plus haute Antiquité à l’actualité la plus récente, l’Histoire dévoile ses mystères, mais garde parfois sa part d ombre pour le plus grand plaisir de notre imagination !

Et vous, qu’avez-vous choisi?

Le temps d'un café

Masse critique Babélio: Jeunesse et Young adult

Bonjour les amis!

Il y avait déjà quelques temps que je n’avais pas participé à une Masse critique. Mais cette, fois, je ne pouvais pas résister!

Le thème, jeunesse et Young adult, me plaît toujours beaucoup.

Du coup, j’ai repéré quelques jolies petites choses!

Je vous surveille. Je vous épie. Je connais tous vos secrets, vos mensonges et vos trahisons. Comment cela est-il possible ? Mais parce que je suis l’une des vôtres. Je suis vous. Alors prenez garde. Signé Mlle V.

Paris, 1907
Une sorcière kidnappe des enfants pour les emmener sur la lune…
Sous l’apparence trompeuse d’une charmante gouvernante anglaise, Miss Pook convainc la jeune Élise de quitter la Terre pour vivre avec elle dans son château sur la lune.
Mais là-haut, vivent des créatures aussi merveilleuses que maléfiques, et un terrible complot se prépare..

Quand elle emménage à Broken Falls, une nouvelle vie commence pour Kacey. Tout le monde ici est tellement gentil. Et elle se fait même des amies, Bailey et Jade, qui l’accueillent à bras ouverts. Mais, soudaine, ces dernières se montrent étrangement distantes. Et elles omettent de l’inviter à la plus grosse soirée de l’année.

Kacey, décidée à confronter ses amies, n’en aura pourtant jamais l’occasion : après la fête Bailey disparaît sans laisser de traces. Broken Falls ne semble plus si chaleureuse. Surtout pour elle, la nouvelle.

Kacey est sur le point d’apprendre deux choses très importantes : parfois, les apparences peuvent se révéler trompeuses. Et parfois, quand on est la nouvelle, il ne faut faire confiance à personne.

La montre que Reuben a trouvée est un véritable trésor… ou une malédiction ?
Au lieu d’aller à l’école, Ruben préfère mille fois explorer la Nouvelle-Ombrie. Parcourir les ruelles
désertes, escalader les façades, se faufiler dans les moindres passages… Jusqu’au jour où il se retrouve coincé au sommet d’un immeuble abandonné et découvre une montre ancienne. Ruben n’est pas au bout de ses surprises : véritable trésor, cet objet suscite la convoitise de bien des gens, et donne à son porteur le pouvoir d’invisibilité… Ruben et sa complice d’aventure, Penny, vont devoir protéger leur trouvaille, coûte que coûte…

Vivre avec un démon – un véritable démon ! – à l’intérieur de soi n’est pas chose facile… Surtout si votre famille, après l’avoir découvert, veut vous faire disparaître…

Prosper Redding, pourtant, va devoir s’habituer. Alastor, le démon qui, progressivement, prend possession de lui, ne semble pas décidé à le laisser tranquille. Il a des comptes à régler avec la famille Redding et Prosper fait partie de son plan.

Prosper pourra-t-il compter sur l’aide de son oncle Barnabas et de sa cousine Nell ? Ou sera-t-il obligé, comme l’ont fait ses ancêtres, de pactiser avec Alastor ?

Car les Redding pourraient s’avérer plus dangereux et démoniaques que le démon lui-même… Et Alastor serait alors seul capable de le protéger !

Vous êtes-vous déjà retrouvé avec une créature fraîchement orpheline sur les bras ou dont personne ne veut ? Nous avons la solution !

Bienvenue au Foyer pour Créatures Ingérables et Bâtardes, une institution dirigée par la redoutable Mlle Furonkle !
Cette femme méchante et acariâtre considère que ses jeunes pensionnaires qui vivent dans la peur n’existent que pour souffrir et la servir. Hybrides mi-animaux, mi-humains, ces pupilles travaillent comme des forçats à l’école autant qu’à l’usine et ont l’interdiction de se livrer à des activités d’enfants de leur âge, et surtout de chanter ou de faire de la musique.
Le Wonderling, sorte de renard à une oreille et au cœur pur et qu’on appelle Numéro 13 (d’après le médaillon avec lequel on l’a trouvé) à défaut de véritable prénom, n’a jamais connu d’autre maison. D’une timidité maladive, il prend pourtant la défense d’une jeune camarade oiseau, Babiole, qui va lui faire deux dons en retour : un vrai prénom – Arthur – … et une amitié indéfectible ! Tous deux vont parvenir à s’échapper du Foyer et vivre d’incroyables aventures au cours desquelles la formidable destinée d’Arthur va se révéler.

« Cher journal, J’ai pris la décision de te raconter ma vie parce qu’elle va prendre un tournant incroyable et complètement fou. Je m’appelle Anna Pavlova, j’ai dix ans et, dans deux jours, j’entrerai à la prestigieuse École Impériale de Ballet de Saint-Pétersbourg. »

Dans cette nouvelle série, Anna confie tout à son journal ! Sa passion pour la danse, les leçons avec Mme Korsakov, la préparation de l’examen d’entrée… et ses premiers pas à l’école de ballet.
À travers ce récit historique, c’est la vie de la grande héroïne Anna Pavlova qui est racontée. Reconnue comme la plus grande ballerine de tous les temps et illustre interprète de la Mort du Cygne.
En bonus : un joli marque-page en forme de chausson et une double-page documentaire, sur la vraie Anna Pavlova.

Emily Claquevent a vécu toute sa vie sur un bateau. Pourtant, aussi étrange que cela puisse paraître, en douze ans elle n’a jamais mis un pied dans la mer, pas plus que dans une piscine. Sa mère a bien trop peur des accidents aquatiques.
Voilà pourquoi, en cette nouvelle année scolaire, elle est impatiente d’assister à son premier cours de natation. Mais celui-ci lui réserve une surprise de taille. Si elle pressentait bien qu’elle prendrait plaisir à nager, elle ne s’attendait pas à se sentir littéralement comme un poisson dans l’eau. Encore moins à ce qu’une queue de sirène lui pousse !
La vie d’Emily devient tout d’un coup beaucoup plus compliquée, mais aussi bien plus palpitante ! Explorer le monde sous-marin, découvrir la vérité sur son père, cacher son secret à sa mère… Les aventures d’Emily Claquevent ne font que commencer !

Quel destin que celui de cette jeune duchesse, cousine de Louis XIV !

Anne-Marie aurait pu profiter des fêtes de la cour, mais elle a un tempérament de feu et choisit la révolte ! Elle sera frondeuse avec d’autres demoiselles aussi bien nées qu’elle… ce qui ne l’empêche pas de rêver au prince qui fera battre son cœur.

Voici son histoire…

Société très fermée recherche esprits logiques et cœurs aventureux.
À la lecture de cette étrange petite annonce, Gustave Eiffel, ingénieur fraîchement diplômé, tente sa chance. Le voici recruté par la S.S.S.S.S.S. : la Société Super Secrète des Savants en Sciences Surnaturelles, en charge de la protection du pays contre les créatures fantastiques. Après une formation musclée au combat, il rejoint une usine de métallurgie en tant que contremaître pour mener discrètement sa première enquête. On soupçonne en effet la présence d’un dangereux phénix, qui pourrait renaître de ses cendres et incendier la ville. Mais entre des ouvriers peu loquaces et un patron mystérieux, Gustave devra ruser pour découvrir la terrible vérité… Une enquête trépidante sur fond de Révolution industrielle !

Ce roman, c’est un projet qui me tenait vraiment très à cœur, dans un univers que j’affectionne tout particulièrement puisque mes premières armes en publication se sont faites dans le steampunk. Je suis à la fois excitée, heureuse et paniquée à l’idée de vous le présenter. Et quoi de mieux pour se faire qu’un petit résumé ? Alors on y va !

Rouille va vous raconter l’histoire de Violante, une jeune prostituée dans le Paris de 1897 qui a perdu la mémoire et ignore tout de son passé jusqu’à son âge.

Dans cette version steampunk de Paris, les plus grandes puissances européennes se sont lancées à l’assaut de la Lune et de nouveaux matériaux envahissent peu à peu la Terre, révolutionnant l’industrie et la médecine. Mais pas pour tout le monde. Dans les faubourgs, loin de l’hyper-centre protégé par le dôme sous lequel vivent les puissants, le petit peuple de Paris survit tant bien que mal. Dans ce monde où elle n’est qu’un objet permettant à ses patrons de gagner de l’argent, Violante tente de retrouver la trace de ses origines perdues. Alors qu’une vague de meurtres particulièrement horribles ensanglante la capitale, Satine, son amie et seul soutien, disparait dans d’étranges circonstances. Violante, elle, se voit offrir une porte de sortie à ce demi-monde violent qui la retient prisonnière, mais décide malgré tout de prendre part aux investigations.

Dans une France où la Révolution n’a jamais eu lieu, une épidémie mystérieuse décime la population…
Angie, dix-sept ans, vient d’avoir son bac. Elle s’apprête à fêter sa réussite avec ses amis Clémence et Matt quand sa mère lui rend une visite surprise après plusieurs années d’absence : la duchesse de Noailles a décidé qu’il était temps pour sa fille, Angélique, de faire son entrée à la cour du roi Louis XXIV au château de Versailles.
Angie, qui a grandi dans le quartier populaire de Belleville, au cœur de Paris, décide d’obéir, par curiosité plus que par devoir.

Malgré son mépris pour la noblesse décadente française, la jeune femme va découvrir avec fascination les sombres intrigues des salons royaux…

Matéo n’aurait jamais dû hériter du don de sa mère.
Il n’aurait jamais dû entendre les pleurs des fantômes.
Désormais, il n’a d’autre choix qu’accepter son héritage… ou sombrer dans la folie !

C’est au temps de la Commune, au milieu des horreurs de la semaine sanglante, qu’il débute son apprentissage…

Matéo Soler sait que les fantômes existent. Il le sait parce que sa mère en a aidé des dizaines à trouver le repos, jusqu’à ce qu’elle-même meure, des années auparavant. Ce que le jeune garçon ne pouvait pas deviner, par contre, c’est qu’il hériterait de son pouvoir. Devenu Passageur à son tour, le voilà contraint de lutter contre un trushal odji, une âme affamée. Pour s’en libérer, Matéo n’a d’autre choix que de rejoindre l’âme dans son époque d’origine afin d’y apaiser sa mort. Mais alors qu’il est propulsé au temps de la Commune et au milieu des horreurs de la semaine sanglante, il comprend que sa tâche ne sera pas si facile…

Les aventures de Max, 13 ans, et sa cousine Alex, 17 ans, à travers les histoires – bien plus réelles qu’ils ne l’auraient cru – d’un des plus célèbres écrivain français : Jules Verne !
Le tome 1 :
Alors qu’Alex et son cousin Max découvrent un manuscrit inédit de leur aïeul Jules Verne, tous deux se retrouvent soudainement entraînés, à bord d’un sous-marin, dans une aventure qui suit étonnamment l’intrigue de Vingt mille lieues sous les mers. Et si les récits de Jules Verne dépassaient la simple fiction ?

Et vous, qu’avez-vous choisi?