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Romans

Le champ des martyrs de Jean-Luc Aubarbier

Dordogne, 1994. Pour écrire un roman, Julien Leclerc se plonge dans la vie de la dernière châtelaine d’un village périgourdin. Lors de son enquête, il découvre un champ des martyrs, sur lequel plane un mystère, lié à l’Occupation : le massacre à la fin de la guerre d’un groupe de très jeunes soldats allemands.   …

Romans

La vengeance du petit bagnard de Florence Roche

Marius a juré de se venger des sévices endurés au cours des années passées dans le bagne pour enfants de l’île du Levant. Un drame familial doublé d’une énigme policière à suspense.  Marius l’a reconnue aussitôt qu’il a posé le regard sur elle et humé son parfum : la tortionnaire de son enfance. Quatre années …

Romans

La collectionneuse de mots oubliés de Pip Williams

Esme est née entourée de mots. Orpheline de mère, elle passe son enfance dans le « Scriptorium » à Oxford, où son père et une équipe de lexicographes, sous la direction du Dr Murray, rassemblent des définitions et des citations pour constituer le tout premier dictionnaire d’Oxford.  Cachée sous la table de tri, Esme remarque un jour …

Romans

Les souvenirs et les mensonges aussi… de Karine Lebert

À Honfleur, en 1938, Pauline brave l’opinion publique en épousant Joachim, un réfugié allemand qui a fui la montée du nazisme. Les unions franco-allemandes sont mal acceptées et le couple est mis à l’index. Quand la guerre éclate, Pauline quitte tout pour suivre son mari, entré en clandestinité.  En 1946, dans un Berlin occupé par …

Romans

Les sept châtiments de Jordi Llobregat

Dans une petite station de ski des Pyrénées, située à la frontière de l’Espagne et de la France, un homme est retrouvé mort au fond des eaux glacées d’une piscine. Il est menotté et ses paupières sont cousues. Alex Serra, inspectrice aux homicides de la police de Barcelone, est envoyée sur place pour mener l’enquête …

Documents, Littérature jeunesse

Si l’histoire m’était contée… de Richard UNGLIK

Edition: Casterman Nombre de pages: 256 pages 0 % <iframe style= »width:120px;height:240px; » marginwidth= »0″ marginheight= »0″ scrolling= »no » frameborder= »0″ src= »//ws-eu.amazon-adsystem.com/widgets/q?ServiceVersion=20070822&OneJS=1&Operation=GetAdHtml&MarketPlace=FR&source=ac&ref=tf_til&ad_type=product_link&tracking_id=aufildespage-21&marketplace=amazon&region=FR&placement=220315358X&asins=220315358X&linkId=1ae466b5f8e8cdcf8e3373e556f31a44&show_border=true&link_opens_in_new_window=true&price_color=333333&title_color=020c14&bg_color=f9d8d8″> </iframe><blockquote><strong>Résumé</strong>: Toute l’Histoire de l’humanité racontée à travers des mises en scène de personnages Playmobil ! Depuis les hommes préhistoriques jusqu’à la conquête spatiale, découvrez avec Playmobil® l’Histoire comme on ne vous l’a jamais racontée… < p style= »text-align: center; »>Merci à …

sorties littéraires

A paraître: Les pourquoi de l’Histoire de Stéphane Bern

Sortie littéraire

Edition: Albin Michel

Nombre de pages: 250 pages

Date de sortie: 02/05/2018

Savez-vous pourquoi Anne de Bretagne a été couronnée reine de France par deux fois ? Pourquoi Mazarin a failli dormir sur la paille ? Pourquoi dit-on « en voiture, Simone » ? Pourquoi François Ier a dû employer la ruse pour conquérir la belle Françoise de Foix ? Pourquoi le drapeau américain se compose de treize bandes horizontales ? Pourquoi les rois de Sicile ont été normands ? Pourquoi Le Radeau de la Méduse fit scandale ? Pourquoi dit-on que Paris vaut bien une messe ?

Avec son légendaire talent de conteur, Stéphane Bern nous dévoile les grands mystères des petites histoires à travers 100 événements qui racontent notre patrimoine.

sorties littéraires

A paraître: Le grand bêtisier des rois de France d’Alain Dag’Naud

Sortie littéraire

Edition: Larousse

Nombre de pages: 220 pages

Date de sortie: 21/02/2018

« Le roi est mort, vive le roi ! «
Partez à la rencontre de nos souverains
et découvrez l’impressionnant florilège de trois siècles de bêtises.
François Ier fait prisonnier à Pavie en 1525 après s’être précipité dans les rangs ennemis, le pape enthousiaste après le massacre de la Saint-Barthélemy en 1572, les mignons de Henri III et ceux de son frère cadet qui se jalousent et s’entretuent en duels, Henri IV sur le point de déclencher une guerre pour les beaux yeux d’une gamine de 14 ans, Louis XIV, son goût de la guerre spectacle et le gouffre financier et humain de Versailles… De la Renaissance à Marie-Antoinette, la bêtise a largement eu le temps de s’exprimer !
Truffé de citations décalées et d’anecdotes insolites, le Grand Bêtisier des Rois de France offre une relecture originale et amusante d’une période majeure de notre Histoire.

Une tranche d'histoire

Florence Foster Jenkins

Florence Foster Jenkins

J’ai découvert l’histoire de Florence Foster Jenkins au hasard des choix de films que je fais. J’aime particulièrement ces films qui s’arrêtent sur des personnages méconnus de l’histoire. Et celui-ci en faisait partie.

Film de  Stephen Frears

Date de sortie: 2016

Durée: 1h51

Synopsis: L’histoire vraie de Florence Foster Jenkins, héritière new-yorkaise et célèbre mondaine, qui n’a jamais renoncé à son rêve de devenir une grande cantatrice d’opéra. Si elle était convaincue d’avoir une très belle voix, tout son entourage la trouvait aussi atroce que risible. Son “mari” et imprésario, St Clair Bayfield, comédien anglais aristocratique, tenait coûte que coûte à ce que sa Florence bien-aimée n’apprenne pas la vérité. Mais lorsque Florence décide de se produire en public à Carnegie Hall en 1944, St Clair comprend qu’il s’apprête à relever le plus grand défi de sa vie…

Les faits

Narcissa Florence Foster naît en 1868 à Wilkes-Barre (Pennsylvanie). Enfant, elle suit des cours de musique, et exprime le désir de partir étudier la musique à l’étranger. Comme son riche père refuse de payer ses études, elle s’enfuit à Philadelphie avec Frank Thornton Jenkins, un médecin qui devient son mari et lui transmet la syphilis. Ils divorcent en 1902.

Elle vit dès lors en tant qu’enseignante et pianiste. À la mort de son père en 1909, elle hérite d’une fortune qui lui permet d’entamer la carrière de cantatrice que ses parents et son mari avaient découragée. Elle s’implique dans la vie musicale de Philadelphie, en fondant et finançant le Club Verdi, prend des cours de chant et commence à donner des récitals en 1912.

La mort de sa mère en 1928, alors que Florence a 60 ans, lui fait gagner une liberté accrue et les ressources supplémentaires pour poursuivre sa carrière.

En dépit de son manque évident de sens musical, Florence Foster Jenkins est entièrement persuadée de son talent extraordinaire. Elle n’hésite pas à se comparer aux sopranos connues, telles Frieda Hempel et Luisa Tetrazzini. Elle considère les éclats de rire qui ne manquaient pas de se produire durant ses concerts, comme provenant de rivales rongées de « jalousie professionnelle ». Consciente des critiques, elle rétorquait : « Les gens pourront toujours dire que je ne sais pas chanter, mais personne ne pourra jamais dire que je n’ai pas chanté. »Lorsqu’on écoute ses enregistrements, il apparaît clairement qu’elle avait un très faible sens de la gamme et du rythme et était à peine capable de tenir une note. On peut entendre son accompagnateur tenter de compenser ses variations de tempo et ses erreurs rythmiques. Néanmoins, elle devient très rapidement populaire grâce à son talent « peu académique ». Son public l’adore, plus pour l’amusement qu’elle procure que pour sa compétence musicale. Les critiques la décrivent souvent en des termes équivoques, qui ont certainement aidé à attiser la curiosité du public.

Les airs auxquels la « cantatrice » s’attaque lors de ses récitals sont un mélange de grands airs du répertoire d’opéra, de Wolfgang Amadeus Mozart, Giuseppe Verdi et Richard Strauss (tous largement au-delà de ses capacités), ainsi que des Lieder de Johannes Brahms et des Clavelitos de Joaquín Valverde Sanjuán (un succès redemandé et bissé), et de chansons composées par elle-même et son accompagnateur, M. Cosmé McMoon. Florence Foster Jenkins porte souvent des tenues sophistiquées, dessinées par elle-même, apparaissant sur scène drapée de tulle et portant des ailes. Pour les Clavelitos, il lui arrivait de jeter des fleurs dans le public, secouant un éventail et exhibant encore plus de fleurs dans sa chevelure.

Lors d’un accident à bord d’un taxi en 1943, elle découvre qu’elle peut chanter un « fa encore plus haut qu’avant ». Au lieu de poursuivre la compagnie de taxis, elle envoie une boîte de bons cigares au conducteur.

Malgré les demandes de son public pour qu’elle se produise plus souvent, elle restreint ses rares apparitions à quelques endroits favoris, et son récital annuel se tient à la salle de bal du Ritz-Carlton à New York. L’auditoire de ses récitals est toujours limité à son fidèle club féminin et à d’autres hôtes choisis – elle supervisait elle-même la distribution des billets tant convoités.

À 76 ans, Florence Foster Jenkins cède finalement à la demande de son public et se produit au Carnegie Hall le . Les billets pour l’événement se vendirent des semaines à l’avance et de nombreuses célébrités y assistèrent, comme la danseuse et actrice Marge Champion, l’auteur de chanson Cole Porter, le compositeur Gian Carlo Menotti, l’actrice Kitty Carlisle et la soprano Lily Pons avec son mari, le chef d’orchestre André Kostelanetz (qui composa une chanson pour Jenkins à chanter ce soir-là). Puisqu’il s’agissait de sa première apparition « publique », les critiques de journaux ne pouvaient pas être empêchés d’y assister. Leurs commentaires, sarcastiques et acerbes, touchèrent durement Jenkins, selon McMoon.
 
Deux jours après le concert au Carnegie Hall, lors de ses achats au magasin de musique G. Schirmer, Jenkins est victime d’une crise cardiaque. Elle meurt un mois plus tard, le 26 novembre 1944, à l’âge de 76 ans, à son domicile, l’hôtel Seymour, à Manhattan
 

Les hypothèses et les anecdotes

 
Elle aurait déclaré: «Les gens peuvent dire que je ne sais pas chanter, mais personne ne pourra jamais dire que je n’ai pas chanté.» Encore aujourd’hui, l’un des programmes les plus demandés dans les archives du Carnegie Hall est son concert. Selon une rumeur persistante, elle aurait inspiré le dessinateur Hergé pour son personnage de la Castafiore…
 
Certains prétendent que les 32 ans de sa carrière de cantatrice sont un canular élaboré, ce qui semble en contradiction avec d’autres avis alléguant que sa mort, après le concert du Carnegie Hall, est le résultat de la dérision dont elle fut l’objet de la part des critiques. Quoi qu’il en soit, aucune de ces deux théories ne peut être prouvée. Tout indique que jusqu’à sa mort, Florence Foster Jenkins traversa toute sa vie d’artiste avec le même sentiment de plénitude heureuse et confiante.
Source du texte: Wikipédia