Le temps d'un café

Top ten tuesday #53: Un parfum de terre…

Hello les loustics!

On retourne aux sources aujourd’hui, avec Frogzine! Un vrai retour à la terre, à l’essentiel.

En effet, elle nous propose de présenter dix livres dont la couverture a un rapport à la terre.

Je mets donc les romans de terroir à l’honneur, puisque, après tout, c’est le thème principal.

C’est parti!

Et comme d’habitude: Un clic sur la couverture pour atteindre la chronique correspondante.

Est-ce le hasard ou le diable qui les a fait se rencontrer ? Pourquoi le jeune séminariste enquête-t-il sur cette femme cachée au fond des bois ? Pour lui pardonner ce qu’elle lui a fait ? Il y a pourtant des vérités qu’il vaut mieux laisser aux ténèbres… La veine noire de Daniel Cario.En 1958. Dans une maison isolée au plus profond de la forêt, une femme tient captif un jeune homme d’une vingtaine d’années. Démence, vengeance… Que lui veut-elle ? Elle va jusqu’à abuser de lui. Après des jours de doutes, d’angoisses et d’émotions troubles, Silvère Lavarec parvient à fuir. Mais comme pour redonner à cette pauvre âme égarée ?qui a contre toute attente réveillé ses sens endormis ? une certaine dignité, le religieux veut reconstituer l’histoire de celle dont il a découvert par hasard l’identité : Blandine de Quincy. Sous le sceau du secret de la confession auprès de ceux qui l’ont connue, Silvère entrevoit peu à peu le chemin qui a conduit cette femme de trente-six ans, bien née, vers la folie, la solitude et l’obsession de la maternité. Car sa vie est une succession de tragédies et de violences… La mission de Silvère, aussi charitable soit-elle, n’est-elle pas risquée ? Car il ne le sait pas encore, mais il est déjà damné…

1895. Sarah Thibault, 17 ans, vit avec ses parents et sa sœur Lydie dans le Val de Loire, où la famille exploite un vignoble.

À la suite du décès de son époux, la mère de Sarah est contrainte de vendre le domaine à une famille de négociants, les Lemieux, dont le fils aîné épouse Lydie.

Mais une nouvelle tragédie oblige les deux sœurs à quitter la France. Sarah, qui n’a pas abandonné son rêve de devenir viticultrice, gagne la Napa Valley, en Californie.

Sur place, elle fait la connaissance d’un certain… Philippe Lemieux, qui s’est lui aussi lancé dans l’aventure viticole.

Les deux Français décident d’associer leurs talents. Mais les affaires et l’amour peuvent-elles faire bon ménage ? D’autant que Sarah cache un indicible secret…

Dans la lignée des romans de Tamara McKinley et Sarah Lark, le destin d’une jeune femme courageuse qui n’a d’autre choix que l’exil pour réinventer sa vie.

Eugénie a 26 ans quand elle revient sur les terres familiales. Fille et petit-fille de sorcière, Eugénie a grandi en orphelinat après la mort précoce de ses parents dans des circonstances qu’elle était trop petite pour comprendre.

Dans les Cévennes, au milieu du XIXe siècle, le récit d’une belle amitié entre deux familles liées par le travail de la mine, faisant fi de leurs différences d’origine.

En 1830, les Théraube habitent le mas du Joncas, accroché à la montagne cévenole. Les temps sont durs. Sur cette terre ingrate, la vigne et la châtaigneraie donnent peu. Le père fait embaucher son fils Emile, treize ans, par la Compagnie des mines de chemin de fer. En « dessous », l’adolescent découvre un univers de poussière omniprésente et poisseuse. Et la fraternité des « gueules noires », lorsque, victime d’un coup de grisou, il est sauvé par un mineur piémontais, Pépino Maggiore.

C’est le début d’une amitié forte entre les deux familles, et d’un amour entre Julien, frère d’Emile, et Anna, fille de Pépino. Mais les villageois voient d’un très mauvais oeil cette liaison entre gens du pays et étrangers…

Dans les Cévennes, la lignée des Vilette, gentilshommes verriers, va-t-elle s’éteindre avec Elias, dernier du nom ? Une descendance inespérée scelle l’avenir de toute une dynastie et attise les rivalités de clans…

Au XVIIe siècle, en Cévennes, la lignée des Vilette, gentilshommes-verriers, va-t-elle s’éteindre faute d’héritier ? Elias de Vilette, dernier du nom, après la mort de son épouse, est face à un choix cornélien. Il vient d’être père d’un petit François, fruit de ses amours avec une servante. Légitimer ce bâtard serait enfreindre les strictes règles de la corporation.

Mais un remariage tardif et inespéré avec une jeune noble bien dotée sera couronné par la naissance d’un fils. Légitime cette fois. Pourtant, le talent et la vertu de François vont bouleverser les certitudes d’Elias et sceller l’avenir de toute une dynastie..

A une vie tracée par son père, Aubin, l’héritier du mas de Castanhal, a préféré l’aventure. La construction de la ligne de chemin de fer entre Paris et la Méditerranée sera pour le jeune homme le terrain d’intenses initiations et de rencontres en ce milieu du XIXe siècle.

Tout doit être immuable au mas du Castanhal où le maître des lieux, Lazare Pradier, trace pour ses enfants, Aubin et Adélie, des chemins de vie calqués sur le modèle des anciens. A l’insu de son ombrageux époux, Blanche les instruit de son mieux d’un savoir reçu d’un viel abbé. Adélie récoltera les premiers fruits de cet enseignement en quittant le Castanhal pour s’occuper des enfants d’un ingénieur des mines.

Les premiers émois amoureux d’Aubin, cruel apprentissage, vont ouvrir à l’héritier du Castanhal d’autres horizons Comme celui de la construction d’une ligne de chemin de fer qui sera pour lui le champ d’intenses découvertes : celle de l’amitié, d’abord, qui le liera à Pierre, un cadet dépossédé et jeté sur les chemins de misère ; celle de la satisfaction du travail accompli ; celle de l’amour enfin !

Et tant pis si les plans minutieusement établis par Lazare s’en trouvent bouleversés Le voyage initiatique de son fils Aubin en fera un homme dont Lazare pourra être fier

De 1899 à 1918, dans le décor des Vosges et de leurs vignes, le destin de Louise, fille de vigneron, qui gagne sa liberté et l’amour après sa rencontre avec trois hommes.

Au premier jour des vendanges de 1899, Louise fête ses dix-huit ans sur les pentes du Montfort. Son père, Charles Vinot, viticulteur sur ces coteaux des Vosges, veille sur elle comme sur sa vigne : sans relâche.

Quitte à sacrifier son bonheur, il est prêt à la marier à un vieux garçon dont la parcelle avoisine la sienne.

Mais le phylloxéra, ce fléau, ruine les vignobles. Grâce aux conseils d’un pépiniériste réputé du pays et d’un spécialiste alsacien, la vigne de Vinot sera reconstituée. Le temps d’une passion avec un ingénieur venu du Nord, le bonheur de Louise sera épargné, jusqu’à ce que cet homme révèle sa nature profonde.

Le travail patient de la terre et du vin, la paix retrouvée avec son père suffiront-ils pour que Louise, jeune rose à peine éclose, emportée par le tourbillon de l’Histoire, s’ouvre enfin au bonheur et à la liberté ?

Dans le Haut Forez, une histoire d’amour qui vire au huis clos familial quand argent, suspicion et convoitise s’en mêlent. Surtout quand la belle épousée, plus riche qu’elle ne le pensait, devient la proie, plus maligne qu’il ne la soupçonnait, d’un beau-père retors et sans scrupules…

Agé d’à peine vingt ans, Louise quitte un père qui ne l’a jamais aimée pour épouser Robert Chevrier, de quinze ans son aîné. Au fil des jours, dans l’austère maison familiale des Chevrier, enchâssée dans les sapins, la jeune femme perd ses illusions en raison de l’omniprésence de son beau-père, « le Vieux ». Son époux, propriétaire à Fontbonne d’une entreprise de maçonnerie – qui a prospéré pendant l’Occupation… – est trop accaparé par ses affaires, de plus en plus ambitieuses. Il guette aussi l’enfant qui tarde à venir. Ce qui cristallise quelques tensions au sein du couple. Au décès de son père, Louise devient l’unique héritière d’une dynastie de fermiers prospères et… d’un patrimoine rondelet. Elle décide de n’en rien révéler à son mari. En ce début des années 1970, le temps des femmes et de leur émancipation est en marche. Louise a des projets : passer son permis de conduire, trouver une activité histoire de s’affranchir de l’oppressante promiscuité avec « le Vieux ».

Mais ce dernier a l’oeil à tout et est prêt à tout…

Un roman noir, constuit comme un huis clos, qui va crescendo.

Sur la Côte d’Opale, durant les Années folles, une modeste fille de pêcheurs est prête à tout pour changer de condition. C’est au Royal Picardy, considéré comme le plus bel hôtel du monde, que son destin va basculer…

Les Années folles, sur la Côte d’Opale. Laurette vit au port d’Etaples, où ses parents sont simples pêcheurs. A quinze ans, elle est bien décidée à changer le cours de son existence et à côtoyer le beau monde. Non loin, la superbe station du Touquet-Paris-Plage, en pleine expansion, attire le gotha du monde entier et fait rêver la jeune fille. Grâce à une rencontre providentielle, Laurette entre comme femme de chambre au prestigieux Royal Picardy, considéré alors comme le plus bel hôtel du monde.

Son rêve impossible serait-il enfin à portée de main ?

Comment Rachel Woodley, jeune gouvernante sans famille et sans argent, devient Vera Morton, aristocrate à la mode.

À la mort de sa mère, Rachel découvre une coupure de presse qui fait voler en éclats toutes ses certitudes : son père, qu’elle croyait décédé, est bel et bien en vie. Mieux encore, il a une autre fille.

En quête d’explications, la jeune femme part pour Oxford où elle fait la connaissance de Simon Montfort, aristocrate et journaliste mondain. Ensemble, ils échafaudent un plan pour approcher le père de Rachel, le comte d’Ardmore : elle devient la pétillante Vera Merton, une cousine éloignée de Simon. Il l’introduit dans l’aristocratie londonienne, elle lui fournit en retour de quoi alimenter sa chronique. Un échange de bons procédés qui n’est pas sans risque… Rachel découvre bientôt les dessous de ce monde sans pitié.

Et vous, quel est votre top ten?

aufildespages chroniqueuse littéraire

2 Comments on “Top ten tuesday #53: Un parfum de terre…

  1. J’ai entendu parler de ‘ la fille du maitre chai » je l’ai noter sur ma liste de livre. Les couvertures font bien penser à la terre donc bon choix.

Donnez moi votre avis