Bullet journal

The bullet journal #17

Salut la compagnie!

Ma reprise de boulot, c’était lundi. Et depuis, on a déjà repris un rythme de croisière. Même si j’avoue la tête qui fourmille d’idées!

Qu'ai-je fait la semaine dernière?

Cette semaine aura été l’occasion de visionner plusieurs films.
J’ai commencé par De l’eau pour les éléphants
J’ai ensuite choisi un film sur Netflix: Lavender.
A voir, il est très bien fait!
Pour terminer avec les films, j’ai aussi regardé Vanity Fair avec Rheese Witherspoon.
Le décor est superbe, les acteurs super mais le scénario n’est pas si original que ça.
Je vous parlais la semaine d’une surprise que je préparais pour mes prochains envois.
La voilà!!
Je me suis plongé avec délices dans la lecture des chapitres 3 et 4 d’Outlander. Arrrgh mais je ne peux rien vous dire!!
Avec des amis, on s’est fait une soirée couscous-trivial pursuit. C’était génial!

Que vais-je faire cette semaine?

Préparer un interview qui se déroulera le 5  février. Non, je ne vous dirai rien de plus pour l’instant hihi
Préparer mon carnet, celui reçu lors du week-end cadeau, pour qu’il reçoive mes notes concernant les films et séries que je regarde. Je remarque que, de plus en plus, j’aime en parler. Une idée à venir, qui sait…
Lire les chapitres 5 et 6 d’Outlander que j’attends avec graaaaande impatience!!
Broder un peu devant un film ou deux!
Je pense que je vais confectionner un tiramisu ou une autre douceur. Il y a longtemps que je n’en ai plus fait, et chéri m’en réclame à cor et à cri!

La découverte de la semaine

Nous étions nombreux à l’attendre!! Grâce au groupe Facebook Challenge littéraire: Week-end à 1000 et à ses organisatrices, nous voilà pour une année de folie en matière de week-ends à 1000 pages et de semaines à lire! Avouez qu’il y a de quoi faire. Le must, dans tout ça, c’est que cela va tomber pratiquement chaque fois pendant mes congés! Elle est pas belle, la vie?

Le thème de la semaine

Pour vous aider à préparer vos jolies Pal pour les semaines et week-ends à lire, je vous propose des livres sur le thème des… livres et de la lecture!
 Le goût de la lecture est une histoire intime que les lecteurs aiment partager, un plaisir solitaire qui très vite devient un festin de papier. C’est une vieille histoire entre soi et tes livres. Le goût de la lecture est souvent un bonheur d’enfance qui vous éclaire toute une vie. Il est parfois le fruit d’une éducation ou du voisinage familier d’une bibliothèque. Mais il en est de la passion des livres comme de toutes les passions : les coups de foudre et les coups du hasard très souvent s’en mêlent… Parmi tous ces lecteurs fous de livres, il y a bien sûr les écrivains. Consommateurs boulimiques de papier imprimé, ils évoquent volontiers la naissance de cette passion de lire qui est la source de leur écriture. Promenade en compagnie de Jean-Jacques Rousseau, Elias Canetti, Montaigne, J.M.G. Le Clézio, Henry Miller, John Ruskin, Alberto Mangue!, Jorge Semprun, Daniel Pennac, Marcel Proust, Michèle Lesbre, Nathalie Sarraute, Pascal Quignard, Georges Perec et bien d’autres…
Original, superbement illustré et très intelligent, Que voit-on quand on lit ? est une méditation sur la lecture et le pouvoir d’évocation des mots.
Que voit-on quand on lit ? Quelles sont les images que les mots font naître dans nos esprits ? À quoi ressemble Anna Karénine ? Ses cheveux sont-ils aussi noirs et bouclés qu’on l’imagine ? Êtes-vous parvenu à vous faire une image d’Ismaël, le héros de Moby Dick ? Quel genre de marin pouvait-il être ? Comment est décoré le salon de Mrs Ramsay du Voyage au phare ? S’inspire-t-il de la demeure de Virginia Woolf ? Peter Mendelsund, créateur de certaines des plus belles couvertures de l’édition américaine, et très grand lecteur, s’interroge sur les images créées par la lecture et nous convie à une promenade illustrée au pays des livres.
Quelques indices sur une page – la forme d’une oreille, le mouvement d’une chevelure, l’opacité d’un brouillard – nous aident à nous représenter les personnages et les lieux. Mais nous faisons évidemment appel à nos propres expériences aussi. En s’appuyant sur des extraits de romans, des photographies, des dessins, des cartes, des couvertures de livres…, mais également sur un sérieux travail d’investigation, sur son expérience personnelle de lecteur et sur sa passion pour la littérature, Peter Mendelsund nous démontre que la lecture n’est pas un acte passif. Le passage des lettres en noir sur fond blanc aux images colorées qui naissent dans nos imaginations permet bien des écarts et nous laisse un espace de liberté. Avec l’autorisation implicite d’un auteur, nous participons pleinement à la création d’un récit, nous composons avec les ellipses, les impasses et les enjambements du langage écrit linéaire.
Le titre évoque la nostalgie qu’éprouve Lola au souvenir de l’époque, il y a plus de quinze ans de cela, où avec son mari Matias, un amoureux des livres comme elle, elle travaillait dans l’édition et contribuait à construire une Espagne démocratique et culturelle.
Puis la lutte en 1936 et la survie chèrement payée sous le régime franquiste ont détruit leur maison d’édition. Décidé cependant à ne pas renoncer à sa passion, le couple tient désormais une modeste librairie dans le cœur de Madrid.
Leur quotidien est bouleversé lorsqu’Alice, une Anglaise quinquagénaire, pénètre dans leur petite librairie. Elle prend rapidement l’habitude d’y retrouver Lola, qui à sa demande, accepte de lui faire la lecture d’un manuscrit intriguant, La fille aux cheveux de lin, qui trône dans la vitrine. Une amitié sincère voit le jour à mesure que les deux femmes découvrent ensemble les aventures de Rose, une jeune orpheline élevée dans la campagne normande et qui se révèle être la fille illégitime du duc d’Ashford. Lola et Alice l’ignorent encore, mais cette histoire pourrait bien lier leur destin pour toujours…
Quelques mois après la perte de son mari, décédé d’une crise cardiaque, Nettie décide de chercher un travail. Femme au foyer, elle n’a pas vraiment d’expérience professionnelle à faire valoir. Elle se tourne alors vers sa passion : la lecture. Peu à peu, elle se forge une clientèle hétéroclite, hommes et femmes, enfants et adultes, tous à la recherche du plaisir simple d’écouter une histoire avant de s’endormir.
Mais cette activité implique une intimité avec ses  » habitués  » qu’elle n’avait pas prévue… Elle devient alors, malgré elle, confidente, amie, conseillère. Son projet inattendu aura des retombées surprenantes qui lui redonneront goût à la vie. On s’attache à cette femme blessée par la vie qui, grâce aux livres, prodigue et reçoit affection et tendresse. Il y a du Tracy Chevalier dans l’univers subtil de Vonne van der Meer et son écriture élégante et douce.
À 10 ans, Calypso n’a pas d’ami et trouve refuge dans les livres de sa bibliothèque, qu’elle dévore. Sa solitude prend fin le jour où arrivent dans sa classe une nouvelle, Mae, qui bouscule ses habitudes de lectrice solitaire et lui ouvre les horizons insoupçonnées de l’amitié.
Amitié qui tombe à pic, car à la maison les choses tournent de moins en moins ronds. Le père de Calypso, veuf depuis 5 ans, vit muré dans son travail et son silence. Il s’est attelé à la écriture d’une histoire encyclopédique du citron. Par une froide soirée d’automne, ces maudits agrumes vont brusquement déverser sur la vie de Calypso une amertume parfaitement inattendu… Il faudra toute l’amitié de Mae et la générosité de sa famille pour que cette découverte acide devienne le point de départ d’un chemin de guérison ou l’amour, enfin, pourra resurgir !
« Victoria voulait une vie d’aventures, une vie folle, une vie plus grande qu’elle. Et l’on disait tout autour d’elle : « Victoria rêve.  » […]
Mais depuis quelque temps, un monde imaginaire débarquait dans son existence. Elle avait l’impression d’une foule de personnages qui descendaient de sa bibliothèque en rappel pour venir semer leur pagaille.
Victoria voulait savoir ce qui lui arrivait. Y avait-il un lien avec les livres qui disparaissaient de sa chambre ? Toutes ces pages étaient-elles en train de se glisser à l’intérieur de sa vie ?
Cela devenait sérieux, étourdissant, comme une invasion. »
Toute ressemblance avec des personnages existant ou ayant existé n’est certainement pas fortuite…
Le livre a simplement été déposé dans sa boïte aux lettres. Sans cachet de la poste, sans aucun message. Depuis qu’elle l’a commencé, Catherine ne dort plus. C’est sa vie qu’elle lit, révélée sur le papier par un inconnu.
Un certain E. J. Preston qui sait tout d’elle.
Même son secret le mieux enfoui…
 Des Mille et Une Nuits aux ouvrages les plus contemporains et d’Aragon à Zweig, Les 1 001 livres proposent une sélection des romans qui peuvent marquer une vie.  » Avant de vous livrer à votre tour en silence à la lecture enchantée des mille et un livres qui sont ici recensés, jetez-vous donc, lecteur ou lectrice, dans cet ouvrage où vous sont présentés, sous forme d’esquisses, tant de rêves et d’aventures. Ce n’est pas encore tout à fait le paradis de la lecture qui vous est offert aujourd’hui : c’est son programme nécessaire et très précieux, ses échantillons, son délicieux avant-goût. Ouvrer le livre. Un vertige vous prend. Toute la beauté, toute la grandeur du monde, tout ce qu’il y a d’éternel dans notre vie passagère se déroule sous vos yeux. Abus tenez entre les mains ce que nos anciens Grecs appelaient, selon la formule de Thucydide,  » un trésor pour toujours » « .
Les six cents photos en couleurs – portraits, couvertures de livres, affiches des adaptations cinématographiques – ajoutent encore au plaisir de la découverte.
 Voilà c’est ici que je referme mon cahier. A la semaine prochaine!

aufildespages chroniqueuse littéraire

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