
Hôpital psychiatrique de Gaustad, Oslo. À l’aube d’une nuit glaciale, le corps d’un patient est retrouvé étranglé dans sa cellule, la bouche ouverte dans un hurlement muet. Dépêchée sur place, la troublante inspectrice Sarah Geringën le sent aussitôt : cette affaire ne ressemble à aucune autre…
Et les énigmes se succèdent : pourquoi la victime a-t-elle une cicatrice formant le nombre 488 sur le front ? Que signifient ces dessins indéchiffrables sur le mur de sa cellule ? Pourquoi le personnel de l’hôpital semble si peu à l’aise avec l’identité de cet homme interné à Gaustad depuis plus de trente ans ?
Pour Sarah, c’est le début d’une enquête terrifiante qui la mène de Londres à l’île de l’Ascension, des mines du Minnesota aux hauteurs du vieux Nice.
Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va lier son destin à celui d’un journaliste d’investigation français, Christopher, et découvrir, en exhumant des dossiers de la CIA, une vérité vertigineuse sur l’une des questions qui hante chacun d’entre nous : la vie après la mort…
Et la réponse, enfouie dans des laboratoires ultra secrets, pourrait bien affoler plus encore que la question !
Inspiré par des découvertes et des événements réels, Le Cri renvoie à nos peurs les plus intérieures. Un thriller sur la folie des hommes et le danger d’une science dévoyée, transformée en arme fatale.
[…] Le cri de Nicolas BEUGLET […]
[…] Sarah Geringën, inspectrice redoutable norvégienne, est appelée sur une affaire tout à fait particulière. En se rendant à l’hôpital psychiatrique de Gaustad, elle ne sait pas encore que le cadavre qu’elle va y découvrir va l’emmener très loin. Un homme, mort d’une façon bizarre, se révèle être un patient amnésique, à qui l’on a donné le nom de 488, qui a vécu plus de 30 ans dans cet hôpital sans que personne ne sache pourquoi. Sarah, devant l’absurdité de la mort (les premières hypothèses sont qu’il se serait étranglé lui-même), entame une enquête plus approfondie. Et l’horreur peut commencer… En lire plus… […]
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