Bullet journal

Bullet journal #19

Qu'ai-je fait la semaine dernière?

J’ai fait une boulimie de films, comme vous allez le voir!
D’abord, j’ai terminé ma série en cours: the sinner. Comme je le disais la semaine dernière, la fin était assez prévisible, même si on a droit à quelques petites surprises.
Il passait à la télévision samedi soir, et j’adore ce film. Je l’ai déjà vu de nombreuses fois, mais il me plaît toujours autant!
J’ai ensuite découvert un film, sorti l’année dernière. Un biopic du père de Winnie l’Ourson, que j’ai savouré comme il se doit.
Pour continuer dans ma lancée, j’ai aussi regardé un film traitant d’un autre personnage haut en couleur: Florence Foster Jenkins!
Pour terminer mon week-end (qui était en mode pyjama), j’ai visionné un film que j’aime également énormément. Plus ancien, mais avec une Jodie Foster et un Richard Gere au faîte de leur âge d’or cinématographique!
Vous savez que j’aime énormément l’Histoire avec un beau H majuscule. Mais peut-être ne connaissez-vous pas encore ma passion pour les anecdotes de l’Histoire, celles qui ne font pas les grands livres d’histoires, mais qui nous proposent un florilège de personnages hauts en couleur et hors du commun?
C’est ce que je compte vous faire découvrir. Le samedi donc, jour de la semaine que je dévoue à l’Histoire sur mon site, vous verrez donc de temps en temps apparaître des figures méconnues mais combien intéressantes.
Vous vous rappelez, la semaine dernière, je vous disais que je comptais me pencher un peu plus sur mes films et séries. Je prends de plus en plus de bonheur à découvrir de nouveaux horizons de ce côté-là également. 
Eh bien, grâce à Lecture enfant parent, je participe à un challenge qui va me permettre de blablater encore un peu plus avec vous!
Avec Vibration Littéraire, nous avons prévu une lecture commune pour un livre que nous venons de recevoir toutes les deux
Pour accompagner tous ces films, j’ai bien sûr brodé. Je dois dire que j’y ai mis du coeur, et que mes doigts sont restés sensibles deux jours. Mais le jeu en valait la chandelle, puisque j’ai presque terminé mon abécédaire!

Que vais-je faire cette semaine?

Je compte bien terminer mon abécédaire. Ainsi, je pourrai reprendre celui que j’avais commencé le premier janvier, pour ma troisième nièce.
Regarder un film ou une série issu(e) d’un livre. J’ai hâte de pouvoir vous parler de cette comparaison. Je fourmille d’idée!
Mettre au point mes premiers articles dont je viens de vous parler
Je me prévois un week-end lecture. Je me fais plaisir, et chéri adore piocher pour moi dans ma Pal. Ca me laisse toujours une surprise!

La découverte de la semaine

Une autre sortie littéraire, prévue pour le mois d’avril, me fait trépigner d’impatience!

Les puissants tome 2: Egaux – Vic James

C’est la suite de cette dystopie que j’avais découvert l’année dernière, chez Nathan jeunesse.

Les puissants tome 1: Esclaves de Vic JAMES

Le thème de la semaine

Vous ayant parlé de personnages historiques, un peu plus haut, j’ai bien envie de vous présenter quelques très belles biographies à découvrir
Avec ses 2,5 milliards de livres vendus dans le monde, Agatha Christie (1890-1976) est l’auteur le plus lu après Shakespeare. Et seule la Bible dépasse son oeuvre en nombre d’exemplaires vendus ! Romancière anglaise, adorée par le public français, qui la découvrit en 1927, elle a créé deux personnages mythiques du roman policier : Hercule Poirot et Miss Marple. Son oeuvre a été maintes fois adaptée au cinéma et à la télévision, rassemblant toujours de nombreux spectateurs.

François Rivière dresse le portrait de cette femme secrète, pétrie de morale mais expert ès poison (elle connaît tous les secrets mortels des poisons) dont l’oeuvre est lue et relue par les petits et les grands

« La première fois que je suis monté sur scène, je ne voulais plus en redescendre.
La première fois que j’ai fait l’amour, c’était dans le hall de l’immeuble, à la va-vite, avec ma voisine de palier.
La première fois que j’ai dit « papa », c’était en parlant de moi.
La première fois que j’ai dit « maman », j’avais cinquante ans.
La première fois que je suis mort, je n’ai pas aimé ça, alors je suis revenu. »
Née dans un village du Darfour vers 1868, Bakhita est enlevé à 7 ans par des négriers qui vont la revendre sur le marché aux esclaves d’El Odeïd, en plein coeur du Soudan. Passant de maître en maître, tous aussi cruels et impitoyables, elle est rachetée à Khartoum par le cousul d’Italie et atterrie à Gênes avant d’être donnée à un couple habitant près de Venise. Placée chez les sœurs de la charité canossienne en attendant de repartir avec eux au Soudan, elle demande à y être baptisée puis à être religieuse au grand effroi de ses maîtres qui lui font un procès.

Dans les années 30, sa biographie est publiée avec succès, elle incarne pour tous l’histoire édifiante de l’esclave devenue fille de Dieu et devient objet de propagande sous Mussolini.

Telle est l’authentique histoire de Bakhita, morte en 1947 et canonisée en 2000 dont l’auteur s’empare avec une rare empathie et un incomparable talent d’écriture pour en restituer au-delà des images pieuses et de l’hagiographie les drames et l’incompréhension.

 Quand la police de l’Ohio arrête l’auteur présumé de trois, voire quatre viols de jeunes femmes, elle croit tenir un cas facile : les victimes reconnaissent formellement le coupable, et celui-ci possède chez lui la totalité de ce qui leur a été volé. Pourtant, ce dernier nie farouchement. Ou bien il reconnaît les vols, mais pas les viols. Son étrange comportement amène ses avocats commis d’office à demander une expertise psychiatrique. Et c’est ainsi que tout commence… On découvre que William Stanley Milligan possède ce que l’on appelle une personnalité multiple, une affection psychologique très rare qui fait de lui un être littéralement « éclaté » en plusieurs personnes différentes qui tour à tour habitent son corps. Il y a là Arthur, un Londonien raffiné, cultivé, plutôt méprisant, et puis Ragen, un Yougoslave brutal d’une force prodigieuse, expert en armes à feu. Et bien d’autres. En tout, vingt-quatre personnalités d’âge, de caractère, et même de sexe différents. L’affaire Billy Milligan a fait la une des journaux américains, fascinés par ce cas et par la lutte qu’ont menée les psychiatres et Billy lui-même pour essayer de « fusionner » en un seul individu ses 24 personnalités. Quant au livre, construit comme un véritable drame shakespearien, il est le résultat de mois et de mois de rencontres et d’entretiens entre Daniel Keyes et… Ragen, Arthur, Allen et les autres.
Le 2 mars 1998, la jeune Natascha Kampusch va pour la première fois à l’école à pied. Elle est enlevée sur la route par Wolfgang Priklopil, un ingénieur électricien d’une trentaine d’années. Elle réussira à s’échapper après 3096 jours.

Voici le récit de cette captivité terrible : pendant dix ans, elle restera enfermée dans une pièce de 5 mètres carrées, la plupart du temps dans le noir et pendant les six années suivantes elle sera son esclave domestique.

Sous le joug de la violence et surtout d’un terrible harcèlement psychique de son agresseur, elle réussira à résister à sa séquestration et à s’enfuir.

Un récit bouleversant et terriblement émouvant.

Née en 1920, Deborah Devonshire est la cadette et la dernière représentante des six légendaires sœurs Mitford, qui défrayèrent la chronique en Grande-Bretagne.

Devenue duchesse de Devonshire et châtelaine de Chatsworth, elle se chargea de restaurer ce Versailles anglais. Ses chroniques, qui ont enthousiasmé la presse française, distillent le must de l’humour Mitford. La duchesse douairière vous parle avec la même verve de son enfance excentrique, de ses poules bien vivantes ou en porcelaine, de son dieu Elvis Presley, des vêtements inusables qu’elle achète dans les foires agricoles, de son sac à main bourré de rations de survie ou encore de ces visiteurs de Chatsworth qui croient qu’elle porte un diadème du matin au soir.

 La biographie d’Angelina Jolie qui a fait scandale aux Etats-Unis. « Je collectionne les couteaux, avoue Angelina Jolie, mais également les éditions originales de livres ». On croit tout savoir de l’actrice : sa vie amoureuse tumultueuse, ses préférences sexuelles, son expérience des drogues, son penchant pour la scarification et les tatouages. Pourtant le mystère demeure. Que s’est-il passé pendant ses brefs mariages avec Jonny Lee Miller et Billy Bob Thornton ? Et qu’en est-il de sa relation avec Brad Pitt ? Quelle est l’origine du conflit venimeux qui l’oppose à son père, l’acteur Jon Voight, depuis des années ? Pourquoi être devenue mère de six enfants en à peine six ans ? Comment cette jeune actrice tourmentée a-t-elle été nommée, à 35 ans, ambassadrice des Nations unies et élue par Forbes en 2009 « célébrité la plus puissante du monde » ? D’une douche partagée avec Leonardo DiCaprio après la cérémonie des Golden Globes en 1998 à la passion dévorante qu’elle a inspirée à Mick Jagger, en passant par la façon dont elle a jeté son dévolu sur Brad Pitt avant même de l’avoir rencontré, cette biographie, illustrée de photographies inédites, est riche en révélations sulfureuses. Après des centaines d’heures d’entretien avec les proches de l’actrice, Andrew Morton nous entraîne dans l’univers d’Angelina et lève le voile sur la face cachée de l’icône, depuis son enfance torturée jusqu’à son engagement actuel pour les causes humanitaires. Révélant au passage les nombreux démons contre lesquels elle a dû se battre, certains insoupçonnables jusqu’alors, c’est au final l’histoire d’une véritable renaissance qu’il nous conte.
 Philomena, une Irlandaise ayant accouché adolescente dans un couvent, a perdu son petit garçon, adopté contre son gré et dont elle n’a plus jamais eu de nouvelles. Le jour des 50 ans de la naissance de son fils, en 2002, elle en parle pour la première fois à la fille qu’elle a eue plus tard. Avec un journaliste, Martin Sixsmith, elle part à la recherche de son fils.
 Voilà, c’est ici que je referme mon cahier. 
A la semaine prochaine!

aufildespages chroniqueuse littéraire

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